Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film est surtout un trip sensoriel, une pure expérience cinématographique dénuée de toute logique apparente. Mais c'est sans doute dans sa dimension documentaire qu'il est le plus impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Martin
"The Oregonian" est un peu l'enfant radioactif d'"Eraserhead" et de "La Colline a des yeux" filmé par un émule de George A. Romero. Une vraie bizarrerie et un bel hommage au cinéma fantastique des 70's.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Rurik Sallé
On peut trouver le temps un peu long (malgré la durée réduite du film), mais l'aventure s'avérera au final réjouissante pour les spectateurs-voyageurs.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
TF1 News
par Romain Le Vern
Affichant un mépris souverain envers les conventions usuelles du récit, "The Oregonian" ne raconte rien et ne nous épargne rien, mais ça fait partie de son charme. C'est du cinéma alternatif et indépendant, abrasif et expérimental pourvu d'une capacité à créer des images irréelles, à la fois angoissantes, drôles et fascinantes.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Critikat.com
par Carole Millerili
Avec "The Oregonian", Calvin Lee Reeder pousse à bout le dispositif stylistique et esthétique de ses courts, au risque de perdre bon nombre de spectateurs en cours de route. Vaste supercherie ou oeuvre géniale, difficile de faire son choix...
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Eithne O'Neill
Pour les indéfectibles du cinéma dit expérimental et délibérément laid, seuls.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
Il n'y a aucune logique à chercher dans ce premier film sous influence lynchienne qui essaie de se trouver une place entre cinéma expérimental et horreur bricolée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Cécile Mury
(...) le réalisateur abandonne toute velléité narrative et use de l'étrangeté comme d'un prétexte (...) N'est pas Lynch qui veut.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Le film est surtout un trip sensoriel, une pure expérience cinématographique dénuée de toute logique apparente. Mais c'est sans doute dans sa dimension documentaire qu'il est le plus impressionnant.
Les Fiches du Cinéma
"The Oregonian" est un peu l'enfant radioactif d'"Eraserhead" et de "La Colline a des yeux" filmé par un émule de George A. Romero. Une vraie bizarrerie et un bel hommage au cinéma fantastique des 70's.
Mad Movies
On peut trouver le temps un peu long (malgré la durée réduite du film), mais l'aventure s'avérera au final réjouissante pour les spectateurs-voyageurs.
TF1 News
Affichant un mépris souverain envers les conventions usuelles du récit, "The Oregonian" ne raconte rien et ne nous épargne rien, mais ça fait partie de son charme. C'est du cinéma alternatif et indépendant, abrasif et expérimental pourvu d'une capacité à créer des images irréelles, à la fois angoissantes, drôles et fascinantes.
Critikat.com
Avec "The Oregonian", Calvin Lee Reeder pousse à bout le dispositif stylistique et esthétique de ses courts, au risque de perdre bon nombre de spectateurs en cours de route. Vaste supercherie ou oeuvre géniale, difficile de faire son choix...
Positif
Pour les indéfectibles du cinéma dit expérimental et délibérément laid, seuls.
Première
Il n'y a aucune logique à chercher dans ce premier film sous influence lynchienne qui essaie de se trouver une place entre cinéma expérimental et horreur bricolée.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
(...) le réalisateur abandonne toute velléité narrative et use de l'étrangeté comme d'un prétexte (...) N'est pas Lynch qui veut.