Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Intelligent, sensible, profond, ce beau film illustre avec acuité le sentiment de révolte des uns et des autres, l'impossibilité de trouver une issue à ce qui emprisonne, mais aussi le rôle essentiel que joue la parole (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Elle vit à Jérusalem, lui à Gaza. Difficiles correspondances dans un film qui se tient sur une ligne fragile. (...) Le film scrute le quotidien de leurs existences, de leurs consciences. Ils apprendront à se libérer d'eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
(...) les deux heures du film passent sans ennui, les paysages sont sublimes, et les acteurs bien plaisants (...). Pas ed quoi crier au chef- d'oeuvre. Mais, un soir d'été où l'on sent un peu de vague à l'âme.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
(...) pour que ça soit romantique à donf, il faut des balades sur la plage et de la tragédie. Ouf, il y en a des masses. Seuls manquent à l'appel les chabadabadas de rigueur.
Le cinéaste : inexistant ; les acteurs : insipides et désabusés (même le vieux Paul) ; la mise en scène : télévisuelle ; la promo du film : sensationnelle. Tout cela, vous le savez, car ce film, vous l'avez déjà vu maintes fois.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) la laideur des chromos qui composent chaque plan risque de donner envie de vomir aux estomacs fragiles, tandis que les amateurs de cinéma pourraient se navrer de ce que quelques bons comédiens se livrent à ces grimaces déshonorantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Hormis la présence attachante de Paul Newman en père alcoolo et médiateur (...), on a du mal a trouver des circonstances atténuantes à ce mélo trop bien huilé : musique insupportablement mièvre de Gabriel Yared, rebondissements ad hoc...
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
Intelligent, sensible, profond, ce beau film illustre avec acuité le sentiment de révolte des uns et des autres, l'impossibilité de trouver une issue à ce qui emprisonne, mais aussi le rôle essentiel que joue la parole (...).
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Une bouteille à la mer se regarde comme on feuillette un livre de la collection "Arlequin". Avec la larme à l'oeil et le sourire en coin.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Elle vit à Jérusalem, lui à Gaza. Difficiles correspondances dans un film qui se tient sur une ligne fragile. (...) Le film scrute le quotidien de leurs existences, de leurs consciences. Ils apprendront à se libérer d'eux-mêmes.
L'Obs
Ce film est au cinéma ce qu'une chanson de Julio Iglesias est à la musique : si on est d'humeur, c'est parfait. Sinon...
Le Parisien
(...) bienvenue à Nunucheland.
Les Echos
(...) les deux heures du film passent sans ennui, les paysages sont sublimes, et les acteurs bien plaisants (...). Pas ed quoi crier au chef- d'oeuvre. Mais, un soir d'été où l'on sent un peu de vague à l'âme.
Les Inrockuptibles
(...) pour que ça soit romantique à donf, il faut des balades sur la plage et de la tragédie. Ouf, il y en a des masses. Seuls manquent à l'appel les chabadabadas de rigueur.
Cahiers du Cinéma
Une Bouteille à la Mer ressemble à un lieu anodin dont tout le monde (même Paul Newman, excellent mais gâché) s'est absenté.
Chronic'art.com
Le cinéaste : inexistant ; les acteurs : insipides et désabusés (même le vieux Paul) ; la mise en scène : télévisuelle ; la promo du film : sensationnelle. Tout cela, vous le savez, car ce film, vous l'avez déjà vu maintes fois.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
(...) la laideur des chromos qui composent chaque plan risque de donner envie de vomir aux estomacs fragiles, tandis que les amateurs de cinéma pourraient se navrer de ce que quelques bons comédiens se livrent à ces grimaces déshonorantes.
Première
Hormis la présence attachante de Paul Newman en père alcoolo et médiateur (...), on a du mal a trouver des circonstances atténuantes à ce mélo trop bien huilé : musique insupportablement mièvre de Gabriel Yared, rebondissements ad hoc...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Seuls peut-être les amateurs de voiliers haut de gamme piocheront de quoi baver d'envie.