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Un visiteur
2,5
Publiée le 19 octobre 2012
Après la purge à sketch V/H/S, c'est avec circonspection que j'ai mangé cette galette. Ici, et comme dans tous les films de ce genre, le meilleur cotoie le pire. Le début est méchamment laborieux, avec ces 2 histoires à base de crapauds et d'amoureux éconduit, malgré les qualités reconnues des deux réals. Puis au moment où l'on commence à se dire que la vitesse rapide va encore fonctionner, arrive la perle. On touche presque au sublime avec cette première rencontre, magnifiquement filmée, d'une gamine avec la mort. L'achat du DVD peut presque se justifier par cette seule histoire qui, par sa simplicité, sa poésie et sa justesse arrive en moins de 10 minutes à nous remuer au plus profond. Après un tel choc, le sketch rigolard de maître Savini, nous permet de souffler et de retrouver un terrain gore plus inoffensif, mais tellement fun ! Ensuite, la claque qui fait gerber avec le traumatisant opus de K. Hussain : si vous tournez de l'oeil dès qu'une aiguille s'en approche, passez votre chemin. Ce mec a un réel talent, mais ses obsessions sont filmiquement presque insoutenables (cf l'atroce "subconscious cruelty") et l'estomac doit être vide à la vision de celles-ci. On retombe ensuite dans le ronron avec le dernier sketch, mais surtout avec le fil rouge qui les relie entre eux et qui achève le film sur une note de médiocrité et c'est bien dommage : 3 segments fortement recommandables sur 7, ça fait quand même un peu léger.
Le film porte bien son nom. A la manière d'un Creepshow, Terror Tract ou encore 3 Extrêmes, le film se décompose en 7 segments. J'avoue que l'envie d'arrêter le film lors des deux premiers m'a effleurer l'esprit plus d'une fois, mais ce qui vient ensuite est totalement jouissif, drôle, malsain, gore...bref "bizarre" que ça vaut le coup d’œil ! (PS : avoir un estomac bien accroché et ne pas avoir peur des aiguilles pour l'un d'entre eux).
Intérèssant. Est-ce que les évanouissements et vomissement dont j'ai entendu parlé sont justifiés ? Question de sensibilité je dirais ... Pour ma part ce n'est pas justifié, mais je ne dis pas pour autant que ce n'est pas gore !
Les squetchs semblent effectivement de valeurs inégales, mais tous apportent quelque chose de différent à l'ensemble. Certains beaucoup plus gore que d'autres (le premier n'est pas gore du tout, très étrange mais une ambiance malsaine très sympa aussi ...) . Aucun n'est "nul" ou inintérèssant. Je l'ai vu en projection unique avec JPP (producteur du film et auteur de Mad Movies) qui a confirmé qu'il y en aura bien un autre ... Je l'attend avec impatience !
J'ajouterais ... Même si je n'ai pas du tout tourné de l'oeil, âme sensible s'abstenir :) Petit budget pour un film avec effet spéciaux à l'ancienne, et l'effet de réel fonctionne à merveille ! Principal regret, de ce que j'en avais vu/entendu je m'attendais à plus gore encore ...
Des sketchs assez inégaux, qui frôlent souvent l'amateurisme, le fait-maison, mais dans le sens noble du terme. Il n'est donc pas rare de s'ennuyer devant certaines scènes très bavardes en attendant tranquillement le twist final. Ces courts-métrages valent surtout pour leur ambiance envoûtante et inquiétante qui ne renieraient pas Les contes de la crypte ou Creepshow. En revanche, si vous vous attendiez à voir beaucoup de gore, c'est plutôt gentil (hormis le dernier sketch). En somme, un bon petit plaisir coupable qui serait dommage de se priver. Un deuxième volet est prévu, et c'est tant mieux.
Six sketches liés entre eux de façon débile et relevant pour la plupart d'un grand n'importe quoi. Seuls émergent du lot The Mother of toads de Richard Stanley, une histoire de satanisme, de sorcière lubrique et de crapauds, et Wet dreams de Tom Savini, une histoire délirante de cauchemars imbriqués. Le reste n'a aucun intérêt, l'un des sketches prétentieux et suffisant se permettant même d'être complètement hors sujet. (Notes : 0, 4, 0 4, 0, ,0 ,0, ce qui fait une moyenne de 1)
Sketch 1 : Athmosphère dérangeante, personnages plutôt maîtrisés mais cadrage de téléfilm et scenario bidon. Sketch 2 : A la Tarantino, très très bon, même si j'ai du mal avec l'image qui fait 'cheap'
Donc donc donc... mouais. Aucune histoire n'est vraiment nulle, mais aucune histoire n'est vraiment bien non plus. Tout cela est très moyen, tant au niveau de l'intérêt des histoires que des scènes soi-disant gores bien trop timides pour un film déconseillé au moins de 16 ans (sauf peut être la dernière minute de la dernière histoire). Quant à l'histoire "fil rouge" du film (Theatre Guignol), heu... hum hum, je ne vois vraiment pas l'intérêt. Mais bon, pour les curieux, pourquoi pas...
Je n'ai jamais un film à sketch aussi mauvais ! Tout est plat et sans saveur ! Que ce soit la mise en scène ou les scénarios, Il n'y a aucune créativité, et aucune surprise. De plus les histoires paraissent bien courtes, du coup aucune tension ne s'installe et chaque histoire se termine abruptement. Les pantins du théatre sont ridicules et mal joués, on n'a vraiment l'impression de voir une caricature d'un théâtre de guignol. Le manque de moyens est flagrant aussi, les effets spéciaux sont moches et n'apportent rien.
Franchement, ce ne sont pas les bons films à sketch qui manquent (les contes de la nuit noire, terror tract ou encore trick or treat sont des chefs d'oeuvre à coté de ce theatre bizarre). J'ai bien préféré VHS certe dans un autre genre mais au moins certains segments sont intéressants.
Ce film à beau avoir des réalisateurs expérimentés, c'est un échec complet.
7 courts métrages dont les thèmes marient étonnamment horreur et spiritualité. Un spectacle de marionnettes force une femme à réaliser son emprisonnement dans sa propre fable. Un amateur de sorcellerie rencontre une vendeuse de bijoux occultes qui lui propose un exemplaire du Nécronomicon, mais attention, qui s’y frotte s’y pique. Un homme jaloux et paranoïaque mais qui adore néanmoins sa femme se réveille dans sa salle de bains avec du sang sur lui et une blessure à la main, il se souvient que la veille son épouse et son amant sont venus lui faire leurs confessions. Un homme qui maltraite son épouse subit la mauvaise conscience de ses propres rêves, mais pourrait surtout être perdu par ceux de sa femme. Une petite fille est témoin d’un double accident cruel et sanglant, elle pose toutes les questions possibles sur la mort et la vie à sa mère qui lui répond de manière parfaite. Une SDF sans rêve s’empare de ceux de ses victimes en leur volant leur visions, jusqu’à ce qu’elle découvre malgré elle comment accéder au rêve absolu. Un homme faible et amoureux supplie sa perverse compagne de ne pas le quitter, leur délire commun ayant toujours été dans l’écœurant excès de nourriture, ils vont s’offrir un dernier repas. L’horreur est absolument atroce, nous tord et nous glace sur nos fauteuils et forcent à la douleur, à la nausée et au détournement du regard, et parallèlement tous les épisodes touchent à la réflexion sociale et amoureuse, interpellent profondément à la philosophie de la vie, et même à la spiritualité la plus belle. Je ne m’attendais pas à tomber sur une pépite aussi prodigieuse et presque contre-nature. Comme je n’en reviens toujours pas je cours retourner le voir.
des effets spéciaiux de mauvaise qualité acteurs bof exemple : le mec soit trop gentil soit trop macho et les nanas des beautés fatales ou des véritables cruches et les histoires quant à elles sont a dormir debout et ils osent programmer une suite... ce film peut êtreexcellent pour les amateurs de navets.
On ne reste pas indemne, il faut y voir des exercices de style, des clins d'oeil (lost high way, Mulholland drive) et la partie The Accident qui offre à elle seule une bonne raison de voir cette "compilation".