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Votre avis sur The Outsider ?
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Années 50 au Japon. Fait prisonnier pendant la seconde guerre mondiale, Nick sort de prison pour retrouver un yakuza à qui il a rendu service. Pour lui rendre l'ascenseur, ce yakuza fait entrer Nick dans son monde très fermé où le mutisme et l'efficacité de Nick va faire des merveilles pour son clan. Malheureusement les conflits menacent et la présence de Nick au sein du clan n'est pas forcément très appréciée... De ce pitch très accrocheur, le réalisateur du très réussi "Les oubliés" tire un film moyen, semblant passer à côté de l'immense potentiel de son sujet que l'on aurait aimé voir entre des mains plus expertes (celles de Martin Scorsese ou de Paul Schrader par exemple). Il faut dire que l'écriture est classique, nous servant des personnages que l'on a déjà vu mille fois, du vieux chef de clan irréductible au frère d'armes japonais en passant par le mutisme du personnage principal. Un personnage incarné par un Jared Leto en mode pilote automatique avec une expression au compteur et un air blafard de vampire qui font regretter que Michael Fassbender ou Tom Hardy, d'abord castés, n'aient pu s'impliquer dans le film. C'est dommage car Martin Zandvliet sait construire une ambiance et fait reposer le tout dans une atmosphère très feutrée rappelant le meilleur de certains polars. Hélas, le scénario mou et le manque de flamboyance de l'ensemble empêchent cette histoire pourtant fascinante de s'offrir à nous telle qu'elle aurait pu l'être...
The Outsider nous plonge dans une histoire de la mafia japonaise soit les Yakuza, où les familles cherchent le pouvoirs ou l'Alliance, Jared Léto , américain donne un regard de l'étranger qui suit et découvre cette culture mafieuse, et qui petit à petit va devenir un "frère" pour le reste des membres de la famille. Un scénario tres bon qui monte en tension, des plans plus que convainquant, un travail technique de la photographie sur les plans jouant sur un aspect sombre et une colorimétrie qui rentre parfaitement dans son univers. Je recommandé fortement de découvrir ce petit bijou !
c'est très bien , mais je ne veux pas en dire plus, car ne pas froisser le modérateur comme la fois précédente...
L'histoire se laisse regarder. Une mise en scène sobre, classe, une ambiance particulière. Un Jared Leto auquel on a rien à reprocher : muet, charismatique, imposant, on sent que le personnage à du vécu et qu'il ne parle jamais inutilement. Bien dommage cependant de ne pas savoir d'où il vient, pourquoi il veut faire parti de la mafia, son passé et le futur qu'il convoite... Bien que cela entretienne le mystère autour du personnage, j'aurais aimé en connaître un minimum, à l'image de la scène avec son ancien collègue. Hormis cela le film se laisse regarder, bien que les personnages soient assez peu intéressant hormis Leto. Un film très réaliste, une tension omniprésente tout le long du film
Après il n'est pas exceptionnel pour autant et ne révolutionne en rien le genre. En bref, un bon film particulier mais sans prétention
3/5
Après il n'est pas exceptionnel pour autant et ne révolutionne en rien le genre. En bref, un bon film particulier mais sans prétention
3/5
Très bon film sur le thème d'un prisonnier américain emprisonner au Japon et qui va rejoindre l'autre côté de la barrière à sa sortie de prison : la mafia Japonaise et de ses célèbres Yakuza à qui il rejoindra par la récompense d'une libération d'un prisonnier fessant partie de ce clan. Une simple bannalitée qui se transformera plus tard en une grande histoire...
Bonne surprise en lisant les avis .. faut avouer que j'y ai réfléchi à 2 fois,mais pas déçu, impeccable sur bcp de points , le rythme assez calme colle plutôt bien à cet univers , Jared Leto plutôt convaincant, allez y les yeux fermés .
Pour avoir sauvé un éminent membre des Yakuzas enfermé avec lui dans les prisons nippones durant la Deuxième Guerre, un Américain déraciné et sans famille est accueilli à sa sortie de taule en 1954 par son ex-compagnon de cellule et accepte d’intégrer sa puissante famille de maffia japonaise.
Jalousies, défiances entre les membres, guerre d’egos, guerres de gangs pour le contrôle des docks, traitrises, romance interdite, certes on a déjà vu cent fois ces thèmes dans le cadre de familles de la pègre, quelle qu’elle soit. Et je constate encore que c’est souvent le talent de la mise en scène qui fait la différence. Les développement et intrigues, les enjeux et tensions, sont bien menés, dans un thriller sombre en même temps qu’un drame humain présidé par l’assimilation et le don de soi d’un Blanc dans une famille yakuza, en principe très fermée à ce genre d’anomalies.
A travers les codes des règles de vie, d’amour, de travail, de valeurs et d’honneurs relatifs de son milieu d’adoption, le multi-métamorphe Jared Leto (ce type est un extra-terrestre ma parole) incarne cette fois l’aventure d’une insolite intégration. L’intensité émotionnelle s’impose, l’essentiel se comprend plus qu’il n’est montré ou prononcé, de même que la force des scènes parvient à émaner de la relative sobriété des caméras.
Jalousies, défiances entre les membres, guerre d’egos, guerres de gangs pour le contrôle des docks, traitrises, romance interdite, certes on a déjà vu cent fois ces thèmes dans le cadre de familles de la pègre, quelle qu’elle soit. Et je constate encore que c’est souvent le talent de la mise en scène qui fait la différence. Les développement et intrigues, les enjeux et tensions, sont bien menés, dans un thriller sombre en même temps qu’un drame humain présidé par l’assimilation et le don de soi d’un Blanc dans une famille yakuza, en principe très fermée à ce genre d’anomalies.
A travers les codes des règles de vie, d’amour, de travail, de valeurs et d’honneurs relatifs de son milieu d’adoption, le multi-métamorphe Jared Leto (ce type est un extra-terrestre ma parole) incarne cette fois l’aventure d’une insolite intégration. L’intensité émotionnelle s’impose, l’essentiel se comprend plus qu’il n’est montré ou prononcé, de même que la force des scènes parvient à émaner de la relative sobriété des caméras.
Porté par un Jared Leto froid et précis, The Outsider arrive à concilier cinema américain et cinema asiatique. Une histoire de Yakusa dans la lignée de la saga Outrage.
https://m.facebook.com/la7emecritique/
http://www.justfocus.fr/cinema/critique-de-the-outsider-de-martin-zandvliet-jared-leto-imperturbable.html
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Un bon film sur un sujet peu banal. Ma connaissance limitée de la société japonaise ne peut me faire dire si le scénario commet des impairs, mais le film marque un peu le pas avec quelques longueurs et ne réussit pas réellement à transmettre de franches émotions. Dommage car cela laisse un goût d'inachevé.
Bel aperçu d'Osaka, de son gang et des valeurs qu'incarnent les japonais dans un thriller haletant. Je recommande.
Juste dommage qu’il ne soit pas traduit en français. Excellent film autrement avec quelques scènes violentes
"The outsider" est un très bon film qui m'a surpris sur de nombreux points et notamment l'histoire qui certe simple, dégage une force très intéressante et cela grâce à des personnages très bien retranscrient à l'écran. On arrive à suivre la trame car le film prend son temps, permettant aux spectateurs de ce plonger plus facilement dans l'univers des Yakazu durant les années 1955, où le japon est en pleine reconstruction suite à la seconde Guerre Mondial. De plus la force du film réside aussi dans pleins d'autres domaines dont un qui est "le respect de la culture japonaise" que je trouve juste parfait dans ce film puisqu'on retrouve de nombreux rites et histoire mythologique qui donne un côté plus philosophique. Désormais, si on passe aux acteurs, on constate que Jared Leto est parfait dans son rôle de Nick et dégage une vrai fraicheur au personnage, le rendant énigmatique et intéressant à la fois. Tadanobu Asano est pour moi le meilleur acteur du film et possède un charisme hallucinant, rendant son personnage poignant. C'est simple, j'ai été bluffé par son jeu. On peut aussi affirmer que Kutsunu Shiori, Scott Takeda et Yoshimi Watada sont justes excellents dans leur rôle et surtout ce dernier qui m' a agréablement surpris dans sa gestion de l'espace . De plus la musique m'a marqué au fer rouge puisque c'est rare qu'une b.o me donne autant de frisson et un stress
spoiler:
lors de la scène où les 2 clans se déclarent la guerre
, provoquant le début de fusillades courtes mais très réalistes. Toutefois j'enlève 1 point car le film à de nombreuses longeurs qui cassent le rythme du film, mais ce qui me choque le plus (et cela est un avis personnel) c'est pourquoi est ce que le protagoniste est un americain et comment ce dernier peut-il devenir un Yakuza? Okay je veux bien que le clan soit tourné vers des principes moraux, telle que le courage, l'honneur et surtout la famille et que Nick a réussi à ce faire respecter, mais je ne comprend pas comment un américain peut-il devenir Yakuza. En Bref un film très divertissant qui donnent un cocktail très savoureux mais dont les longeurs viennent donner une touche trop amère, Dommage. 4/5
, provoquant le début de fusillades courtes mais très réalistes. Toutefois j'enlève 1 point car le film à de nombreuses longeurs qui cassent le rythme du film, mais ce qui me choque le plus (et cela est un avis personnel) c'est pourquoi est ce que le protagoniste est un americain et comment ce dernier peut-il devenir un Yakuza? Okay je veux bien que le clan soit tourné vers des principes moraux, telle que le courage, l'honneur et surtout la famille et que Nick a réussi à ce faire respecter, mais je ne comprend pas comment un américain peut-il devenir Yakuza. En Bref un film très divertissant qui donnent un cocktail très savoureux mais dont les longeurs viennent donner une touche trop amère, Dommage. 4/5
Un bon film noir, pesant et plein de silences. je ne connais le Japon et le milieu Yakuza mais il m'a semblé convaincant, pas racoleur. C'est violent et on est sous tension tout le long du film, la menace est partout ! Acteurs inconnus sauf Leto qui est très bien avec sa gueule d'ange ambivalent. Je recommande ce film !
Un film sur la mafia japonaise somme toute classique mais réussi, grâce à son rythme dynamique, son immersion dans les coutumes d'un gang post seconde guerre mondiale et sa sobriété scénaristique. 0.5 pour l'interprétation intense de Jared Leto!
Thibault F.
Petite curiosité " made in" Netflix avec The Outsider. Ou une arlésienne cinématographique de la décennie 2010. Le pitch est assez atypique : la vie d'un soldat américain après la 2nd guerre mondiale sur le sol nippon. Ce dernier étant passer de prisonnier au grade de Yakusas. Pour ce rôle, la production fait appel à Jared Leto - le dispensable joker de Suicide Squad. Dire que j'ai une assez mauvaise opinion de l'acteur à la suite de son rôle iconique serait un euphémisme. Jared Leto adopte un sous-Keanu Reeves dans The Outsider. Il est stoïque, sans état d'âme. Physiquement présent mais mentalement ailleurs ce qui rappelle étrangement la posture de John Wick... Vous ne trouvez pas ? L'intégralité du casting est 100% japonais à l'exception du petit rôle de Emile Hirsh assez bluffant. Malheureusement, son rôle est limité à quelques minutes et 2 scènes. Quel gâchis ! Du côté de la technique, c'est plus réjouissant : le Japon d'après-guerre est fidèlement illustré sous le regard de Martin Zandvliet. Dire qu'on a une explosion visuelle serait mentir mais les efforts du chef opérateur sont louables.On nous dépeint un Japon des années 50 austère et gangrené par les gangs qui tentent de contrôler le marché économique (dont le secteur portuaire semble être important). Mention également à la BO sublime (Sune Martin - un inconnu au bataillon). En bref, un film international qui reste basique et largement dispensable. On retrouve plusieurs oeuvres de meilleures qualités dans ce genre. On peut également ressentir quelques longueurs et une certaine lassitude après les 120 mn de visionnage. Pas fou.
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