Mon compte
    Nymphomaniac - Volume 1
    Note moyenne
    3,3
    3794 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Nymphomaniac - Volume 1 ?

    339 critiques spectateurs

    5
    33 critiques
    4
    109 critiques
    3
    90 critiques
    2
    56 critiques
    1
    22 critiques
    0
    29 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 février 2020
    Lars von Trier aime surprendre le spectateur en tournant des films aux genres divers et variés. Avec "Nymphomaniac", le cinéaste s'attaque à un sujet subversif qui, dans ses mains, ne peut donner qu'un film lui-même subversif. Heureusement, on évite le piège du "choquer pour choquer" et ce long métrage s'appuie sur un scénario assez solide et intelligent tout en proposant des scènes de sexe explicites. La principale qualité de "Nymphomaniac" est sa réalisation. Von Trier fait montre de tout son talent pour apporter du sel à son intrigue. Cette intrigue qui a tendance à être un peu redondante, souffrant aussi de quelques longueurs.Si "Nymphomaniac" ne m'a pas plus emballé que cela, je reconnais à son réalisateur la volonté de toruner des films atypiques. Et voir des films qui sortent des sentiers battus, c'est déjà un bon point.
    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 février 2020
    Au delà ce que souhaite évoquer Van Trier. spoiler: Justesse et compassion ne rendent pas nécessairement un film beau.
    cinéman
    cinéman

    42 abonnés 806 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 janvier 2020
    C'est vulgaire, débile, malsain.. et pire que tout : un film porno qui veut faire intellectuel, donc qui paraît très prétentieux. Les bobos diront qu'on est trop bêtes pour comprendre… mais désolé ce film n'apporte strictement rien ! C'est même l'inverse, c'est dépressogène. Faut être cinglé pour réaliser ça.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 décembre 2019
    Offre une approche bien différente de la sexualité que celle mise en avant par la société. Ce film pousse à réflexion
    Théo Pouillet
    Théo Pouillet

    6 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2019
    Assez divisé sur cette histoire érotique, presque pornographique, qui est à la fois bien construite et dotée de scènes intéressantes, mais également un peu longue, mal découpé et censuré au regret du réalisateur. À voir la partie 2.
    Cat R
    Cat R

    1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 septembre 2019
    La prestation de Charlotte Gainsbourg
    Plutôt décevante
    Aucun intérêt
    Le sujet de la nymphomanie aurait pu être traité différemment.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 094 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2019
    On retrouve le story telling à la Lars von Trier avec un montage parfois hasardeux. L'histoire, elle, oscille entre le pseudo intellectuel et une réelle interrogation sur l'humanité en général. La fin déçoit vraiment.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    690 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juin 2019
    Appréhender le diptyque Nymphomaniac exige de passer outre la coupure entre le volume un et second, dans la mesure où ce n’est que par nécessité technique – afin de faciliter la diffusion en salles – que le film se divise en deux parties en réalité indissociables. Nous retrouvons ici le goût particulier de Lars Von Trier pour la construction mathématique et bien rangée à partir d’une matière brute et souvent insaisissable : ici, le désir sexuel, que les titres abstraits des parties viennent analyser à la manière d’une psychanalyse freudienne. Néanmoins, il serait inopportun de ranger l’œuvre dans la catégorie des films analytiques, car cela reviendrait à chercher à enfermer une énergie elle-même mobile et constamment redéfinie au gré des rencontres et des âges ; notons d’ailleurs que la figure du thérapeute et « meilleur ami » (sic) subit un renversement ultime de sa caractérisation qui déjoue aussitôt tout discours préconçu, toute thèse défendue. Si Nymphomaniac défend quelque chose, c’est davantage la propension de l’être humain à renier, à brimer, à censurer sa nature érotique – entendons le terme dans sa double acception de désir amoureux et sexuel – par conformisme avec les codes sociétaux en vigueur. Si Nymphomaniac explore quelque chose, c’est davantage un corps pris dans l’hésitation constante d’un assouvissement de sa nature ou d’une rétention de celle-ci, toutes deux sources de douleur et de plaisir. Ce lien entre souffrance et extase traduit littéralement le désir, et justifie la pensée analogique de Lars Von Trier qui cultive métaphores, allégories, images en tout genre. Si la structure du film se revendique de la polyphonie, à l’instar du thème traité, veillons toutefois à ne pas en attribuer l’exclusivité au cinéaste qui ne fait que réitérer une tradition philosophique – nous pouvons penser à Voltaire et à ses contes – qui se plaît à bâtir une réflexion à partir du mouvement de son protagoniste, de ses voyages tant physiques qu’intérieurs. Et les va-et-vient incessants entre instant de la narration et espace-temps narré n’en sont, en fin de compte, qu’une déclinaison pertinente et efficace. Nous pourrions reprocher à Von Trier le ralentissement parfois excessif de ses axes – surtout dans la deuxième partie – où les tableaux se succèdent de manière un peu trop automatique, mais passons. Nymphomaniac se pense comme le roman-fleuve de l’époque contemporaine, un fil directeur donnant lieu à de nombreux récits enchâssés, forme littéraire ici cinématographique et apte à rapporter les aléas du parcours de l’éros dans nos sociétés démocratiques. Le cinéaste revivifie un genre en adaptant les mœurs et les outrances : il s’agit bien, comme dans Artamène ou le Grand Cyrus, de jouer avec les conventions de la forme alors en vogue, conventions littéraires et organisatrices – logique de l’exposé scientifique et académique, central dans les sociétés occidentales –, conventions historiques et religieuses – connaissances des cultures occidentales et orientales –, conventions familières – la pêche, James Bond – etc. Le grand apport de Von Trier est imposé par le XXIe siècle : la pornographie. Et, en ce sens, le cinéaste se joue des clichés inhérents à la représentation du désir tant masculin que féminin dans ce genre de productions ; dès lors, si l’exploration sexuelle révolte le spectateur, c’est parce qu’elle lui renvoie un lot d’images ou détestées ou cultivées dans son intimité seule, dans tous les cas constitutives de sa mythologie personnelle. Nymphomaniac, un thème, une femme, une nuit : voilà les trois unités dramatiques respectées. Et dans ce théâtre rempli de sécrétions, de violences et de sexe, Lars Von Trier nous convie à une tragi-comédie déroutante et audacieuse qui prend pour horizon le combat de la femme dans une société régie par l’homme, combat dont la finalité doit conduire à imposer son droit à la jouissance strictement féminine. Un immense diptyque.
    Shawn777
    Shawn777

    587 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2019
    Cette première partie du diptyque "Nymphomaniac" réalisé par Lars von Trier et sorti en 2013 n'est pas mal du tout ! Je précise que j'ai bien-sûr beaucoup entendu parler du réalisateur mais ce sont ici mes premiers pas dans sa filmographie. Même si c'est apparemment un réalisateur spécial, je me lance tout de même dans quelque chose de très particulier ! Ce n'est pas particulièrement le réalisateur qui m'attirait mais vraiment le synopsis et le sujet du film qui m'intriguaient beaucoup. C'est en gros l'histoire d'une femme qui est trouvée par terre, assez mal en point, par un homme, et elle lui raconte ensuite sa vie rythmée par la nymphomanie. Autant dire tout de suite que le film va comporter des scènes plus ou moins explicites et je voulais justement voir comment le film allait amener ces choses là. Je m'attendais à quelque chose dans le style de "Love" de Gaspar Noé et, bon pour l'instant je n'ai pas vu la deuxième partie, mais en tout cas, nous sommes dans quelque de plus "soft" même si ce n'est bien-sûr tout de même pas tout public. J'aime beaucoup le scénario, je le trouve très surprenant, j'avoue que je ne m'attendais pas spécialement à ça. Cette vie vu par Joe qui la raconte et qui la vit d'ailleurs d'une façon complètement détachée est très intéressant. Surtout qu'elle vit quand même des choses assez particulières, notamment cette scène avec Mrs H qui est complètement délirante et qui en est presque déstabilisante. J'avais un peu peur de m'ennuyer et puis finalement, non, le film passe d'ailleurs très vite, surtout si on rentre vraiment dedans. Les scènes de sexe sont donc explicites mais elles ne sont pas gratuites et ont toutes une raison d'être, je ne trouve d'ailleurs pas cela du tout choquant. C'est donc mon premier film de Lars von Trier et je ne sais pas s'il travaille toujours comme ça mais je trouve en tout cas ici la réalisation excellente ! J'aime beaucoup notamment, au début du film les parallèles qu'il fait entre la vie sexuelle de Joe et la pêche racontée par Seligman. En ce qui concerne les acteurs, nous avons, entres autres, Charlotte Gainsbourg, Stacy Martin, Stellan Skarsgård, Shia LaBeouf, Uma Thurman etc. qui sont vraiment très bons et très impliqués dans leur personnage. "Nymphomaniac - Volume I" est donc un film qui ne transcende pas mais qui reste malgré tout très intéressant.
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    105 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2018
    Un film qui a le mérite de montrer du sexe un peu plus cru que le standard cinématographique. En même temps, c’est un peu la seule chose qu’il fait, puisque à part des comparaisons et métaphores sur la pêche à la mouche (!), il n’y a pas bien grand-chose. Rien que le scénario est bizarre : une fille raconte sa vie (sous-entendre vie sexuelle) à un parfait inconnu qui l’écoute gentiment et viens même participer aux dialogues … Le film montre bien quelques jolies scènes dénudées mais ça ne suffit pas vraiment, on se demande où l’on va et quel est le but du film. Sur le milieu et la fin, il commence à tirer en longueurs, et ce n’est pourtant que le 1er volet, ou plutôt la première partie car une fois encore il s’agit d’un film de 4h coupé en 2 surement pour des raisons économiques. Encore une chose qui du point de vue du cinéphile ne passe pas très bien.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 mai 2018
    C’est une histoire follement intrigante, les aventures sexuelles d’une obsédé, un pur moment drôle, avec de vrais pornographes modèles d’acteurs pour les scènes très chaudes, ce n’est pas si mal que ça comme film de traité la manière dont est abordé la chose, destinés parfaitement aux vicieux pervers.
    David E.
    David E.

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2018
    Contrairement à ce que l'on pourrait penser le film n'est pas vulgaire. Il reflète certainement la vie. Certaines femmes sont réellement nymphomanes et bien souvent subissent cette situation. Les hommes, prédateurs et assoiffés de sexe se servent d'elles comme de défouloir.
    Joe, dans le film est une victime de ses besoins sexuels. Finalement il s'avère qu'il est plus facile de n'en avoir aucun.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    195 abonnés 2 511 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 avril 2018
    Film assez étrange (encore un de plus) de la part de Lars von Trier
    Ce film (surtout si on le regarde en version longue) est indécemment long.
    Les plans durent très longtemps (presque une minute de fond noir inutile entre l'apparition du titre et le 1er plan). En revanche, les décors de ruelles glauques sont bien réussis.
    Le parallèle entre la sexualité et la pêche me semble un peu tiré par les cheveux (d'autres parallèles bien plus évidents existent pour ces deux notions) et les explications sont bien souvent ennuyeuses. Le film a parfois même tendance à être dans le discours pseudo-intellectuel m'as-tu-vu (notamment avec la suite de Fibonacci).
    Les acteurs sont plutôt bien, Charlotte Gainsbourg en tête, mais même Shia LaBeouf est pas mal (alors que je ne le trouve pas bon dans ses autres rôles). En revanche, Stacy Martin ne m'a pas du tout convaincu, mais difficile de la blâmer car son rôle est assez difficile à comprendre.
    Le film est très cru sur le plan visuel, c'est parfois assez dérangeant (ce n'est pas le film à regarder avec un plateau-repas).
    C'est en revanche indéniablement bien filmée. La gêne dans la scène avec Mme H. est palpable spoiler: et la mort du père de Joe est très dure et marquante.

    Bref, ce n'est pas le genre de film que j'affectionne.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    87 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2018
    Première partie du film scandal de Lars von Trier. Mise en scène d'une beauté et d'une audace reconnaissable du maitre danois. Musique de Rammstein, sujet trash mais filmé de façon trés intelligente. Et casting bien trouvé. A voir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 janvier 2018
    Un premier volet original et innovant avec des discussions fascinantes entre Charlotte Gainsbourg et Stellan Skarsgård, des plans somptueux, un casting en or, une mise en scène brillante et un scénario bien écrit.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top