Mon compte
    Nymphomaniac - Volume 1
    Note moyenne
    3,3
    3794 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Nymphomaniac - Volume 1 ?

    339 critiques spectateurs

    5
    33 critiques
    4
    109 critiques
    3
    90 critiques
    2
    56 critiques
    1
    22 critiques
    0
    29 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 janvier 2014
    Personnellement j'ai vraiment trouvé ça nul. Sans intérêt. Ca m'a donné tout sauf envie de voir le deuxieme volet. Peut etre que le deuxieme volet sauve le premier. En tout cas le premier vaut vraiment pas le coup, c'est de la provocation à deux balles. cest long et chiant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 janvier 2014
    Ce premier volet nous offre une plongée aussi fascinante que dérangeante à travers la biographie sexuelle de Joe.
    Lars von Trier nous livre une oeuvre d'une grande richesse cinématographique sans porter de jugement sur cette figure féminine extrême.
    Seemleo
    Seemleo

    65 abonnés 888 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2014
    Lars von Trier s'amuse énormément en réalisant son film. Je ne suis pas sûr que le spectateur est touché de la même manière. Le propos est mince pour un film de 2 heures et sa mise en images, diluée, répétitive et pseudo littéraire ne convainc pas. Soulignons l'intelligence de ce qui est tout de même proposé, la créativité de la mise en scène et le casting réussi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 janvier 2014
    Le film commence dans l'obscurité. Un moment oppressant par sa longueur.
    Puis on commence à entendre de faibles bruits.
    Enfin on voit la lumière.
    Le temps est pluvieux. Nous sommes dans une impasse d'un quartier dont on ne saurait dire si il est une ancienne zone industrielle ou un ghetto résidentiel. On entend la mélodie de la chute.., des éclaboussures..., du ruissellement...,des clapotis de la pluie. On est alors baigné dans un esthétisme visuel et auditif.
    Un passant de retour de ses commissions, aperçois une silhouette étendue sur le sol, la face contre terre, trempée par ce temps humide. Elle a le visage tuméfié. Il lui propose d'appeler les secours puis la police car visiblement cette femmes à été battue et violentée. Ce qu'elle refuse catégoriquement. Elle avance qu'elle est la seule responsable de la situation dans laquelle elle se trouve. Elle accepte cependant d'aller se réchauffer et boire un thé chez cet homme. Chez lui, il l'installe dans une couette bien chaude pour lui sécher et laver ses vêtements.
    Par la bienveillance et la curiosité de son hôte, elle commence à narrer les évènements qui ont conduit son semblable à la trouver dans cette situation, seule, abandonnée, frigorifiée au bout d'une ruelle. Depuis "le début", c'est a dire depuis sa tendre enfance avec ses parents et surtout son père dont elle est très attachée. Puis elle déroule les chapitres de sa vie selon les relances et les analogies que sont bienfaiteur lui expose tel le début d'une thérapie chez un psychiatre.

    Pour moi ce film est un chef oeuvre. Il y à tout: technique cinématographique, esthétisme, sentiment, émotions, sexe, décadence, philosophie, réflexion sur l'amour et nos rapport avec autrui. Cependant quelques raccords de plan sont mal montés, dû je pense au fait que ce film soit en partie censuré. La transition de la voie de Charlotte Gainsbourg entre les séquences narrées et jouées sont mal égalisées.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 janvier 2014
    Lourdingue, pompeux, ennuyeux, scandaleux... Du Lars Von Trier quoi!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 janvier 2014
    Beaucoup de seconde degré pour un film qui ne cherche pas à être prétentieux ni à nous donner de leçon sur quoi que ce soit! Il y a du sexe, oui, mais ce n'est jamais vulgaire et c'est souvent tourné en dérision également. De plus il y a quelques moments très touchants et les acteurs sont excellents.
    Il ne faut pas le voir comme le film choquant et hors du commun annoncé, mais plutôt simplement comme un Biopic sur la vie d'une jeune fille dont la principale préoccupation est le sexe (et surtout de rendre sa vie moins monotone). Et le réalisateur ne porte pas de jugement. C'est tout simplement un portrait de femme, qu'on suit avec attention, qui est prenant et qui donne envie de voir la suite!
    Georges F
    Georges F

    8 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2014
    Plutôt décevant, ce film manque d'unité, de structure: on a plutôt le sentiment que l'auteur a voulu surfer sur un thème à priori porteur, celui du sexe et peut être pour se donner bonne conscience, on intellectualise beaucoup. Le jeu des acteurs? Gainsbourg transparente, inconsistante, les acteurs venus du porno qui répètent leur rôle traditionnel, cela apporte quoi, exactement? et on se demande qui ira voir le volume 2 alors que le volume 1 s'est déjà envolé avec le vent?
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 janvier 2014
    Nymphomaniac débute par une absence d’images et une bande sonore évoquant quelque chose de glauque : un grincement peut-être, de l’eau qui s’écoule dans une geôle …. Chacun imagine ce qu’il veut ou ce qu’il peut. Puis, gros plan sur un corps féminin allongé par terre, dans une ruelle effectivement très glauque, un corps ensanglanté et couvert d’hématomes. A cette vision se surajoute une musique tonitruante, rythmée, un morceau du groupe de métal allemand Ramstein. L’on comprend alors que les deux heures suivantes vont être éprouvantes pour le spectateur.
    Suite sur le blog:
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 janvier 2014
    Encore un grand film de Lars Von Tiers ,très poétique ,mélancolique , passionant. Les acteurs sont formidables en particulier l'actrice qui joue charlotte gainsbourg jeune .Le scénario est , on ne s'ennuie pas une seconde .
    wellbec
    wellbec

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2014
    Des scènes d'humour grinçant (Uma Turman en femme trompée) à des scènes choquantes voir limite (la mort du père qui se solde par une goutte), il est difficile de rentrer dans cette histoire âpre. Également, difficile d'avoir le point de vue de l'auteur, qui est entre la fascination, le jugement, la condamnation du désir. Reste un grand moment de cinéma avec des plans toujours aussi somptueux, une bande son sublime (Rammstein, Bach,...). Lars van Trier reste à part et au dessus et son film fait oeuvre. rare au cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 janvier 2014
    Prétentieux, illustratif et apathique.
    Prétentieux : il fait semblant d'aborder des grands sujets, de faire le malin, celui qui "fait du toc" juste pour donner un peu de flatterie au spectateur.
    Illustratif. Exemple du "génie" du metteur en scène. "Il est comme un chat" et paf , photo de chat. Il fait le coup deux fois de suite. Puis il refait le coup avec un guépard. Trois fois. C'est pas du cinéma, c'est du chromo.
    Apathique. Je n'ai rien compris à la nymphomanie de l'héroïne. Je n'ai rien ressenti, rien vécu. Ni son désir, ni son plaisir, ou son absence de plaisir, rien , un grand vide.

    Uma Thurmann est bien, l'explication de la musique polyphonique est bien, la musique du générique est prenante, le reste est horripilant de prétention et de vanité.

    C'était mon premier LVT. J'espère peut être voir un jour Melancholia, mais sinon basta, ce type est un faiseur
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 18 janvier 2014
    Dur dur dur
    sans aucun jeu de mot. Très instructif si vous voulez connaître les liens communs entre la pèche et la nymphomanie
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 janvier 2014
    Nymphomaniac... Jamais autant un film n'aura fait parler de lui de la première affiche jusqu'à la sortie du film. Et il en valait la peine. Car le sujet, la nymphomanie, est très peu traité au cinéma, et je crois qu'avec cette oeuvre, on peut comprendre ou du moins essayer de comprendre cet attrait pour le sexe. J'ai adoré les liens avec la mouche et la nymphe, le croissant ou encore tous les autres objets qui lui rappel le passé. Le film parle de tout, de philosophie, de mathématiques, de la révolution russe ou encore de thé! Bien sûr les scènes sexuelles, pas cachées du tout, permettent de donner un sens au film, et de ne pas ennuyer. Cet oeuvre est artistique au même titre que "Melancholia"... J'ai bien aimé mais un peu lent. Hâte de voir le deuxième!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 janvier 2014
    Difficile de se faire un avis tout tranché : j'aime et j'aime pas. Mes impressions pour une première vision : on ne s'ennuie pas mais on ne se passionne pas non plus pour l'histoire de cette femme, racontée en ton monocorde par C. Gainsbourg, à un passant l'ayant ramassée dans la rue, monsieur friand (hélas ou pas) de métaphores, citations, tergiversations philosophiques et autres, bien joué par S. Skarsgard, acteur fétiche de Lars Von Trier. Pénible sentiment de voir à travers ce personnage, le réalisateur voulant nous donner des leçons et révélations sur tout. Fallait-il absolument entrecouper la narration par ces discussions-réflexions entre Gainsbourg et Skarsgard ? Pas sûr! Ce volume 1 s'intéresse à l'adolescence et au début de l'âge adulte de la nymphomane, jouée par la débutante et douée Stacy Martin. S. Labeouf surprend dans le rôle d'un des "amants-partenaires". Les scènes érotico-pornographiques (version ciné censurée) ne sont pas choquantes ou gratuites. Elles ne sont pas là pour exciter le spectateur mais pour montrer la glauque mécanique de la vie sexuelle de Joe.
    lara cr28
    lara cr28

    75 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2014
    On assiste pendant deux heures à une séance de divan. Et le spectateur jouit dès lors de cette position de voyeur propre à ce type de narration. La récupération psychanalytique du récit rétrospectif des aventures de Joe pose l’addiction sexuelle comme un objet d’étude et non de plaisir, puisqu’elle n’apporte finalement que destruction (Joe elle-même) et misère (scène magistrale de l’épouse bafouée). Si Joe se considère comme un être foncièrement mauvais, son sauveur tend à la décharger de toute morale et le récit de cette sexualité débridée et presque subie se déploie comme une collection de rencontres dont seule la fin du film commence à donner sens (les trois amants). LVT propose un mélange détonnant des genres et parvient à créer une esthétique particulière ; le film est constamment sous-tendu par un malaise, né du décalage entre la morale judéo-chrétienne et les interprétations métaphoriques de Seligman ( chasse à la mouche, polyphonie de Bach). Aussi la crudité de certaines scènes est transcendée par un lyrisme que LVT emprunte à Bergman, à T. Malick mais aussi à ses propres films, notamment Melancholia. A suivre…
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top