Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Marianne
par Aude Lancelin
Le cinéaste danois livre avec "Nymphomaniac" une de ses oeuvres les plus puissantes et les plus dérangeantes.
Transfuge
par Damien Aubel
La vie sexuelle de Joe (Charlotte Gainsbourg) sert d'abord de trame à une de ces brillantes conversations cérébrales, en forme de dissection philosophique.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Par-delà ses relents de chair triste, un mélodrame glacial à la mystifiante beauté.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
En dépit de la censure et des coupes, le premier volet du diptyque de Lars von Trier s’avère d’une richesse cinématographique et d’une densité émotionnelle indéniables.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette oeuvre audacieuse, poétique et métaphysique, résolument polyphonique, est traversée d'éclairs d'humour, et de génie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Florence Colombani
Excentrique, abonné aux scandales, il cache sous les oripeaux de la polémique une nature inquiète, mélancolique, misanthrope. (...) Incapable d'abandon et de plaisir, mécanique et cérébrale dans son rapport au sexe, compulsive et autodestructrice, elle incarne l'autre visage de Lars von Trier. (...) Preuve ultime qu'un artiste ne décrit jamais autre chose que lui-même.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Lars von Trier aborde la pornographie par la forme du roman picaresque et livre un film brouillon, énergique et déconcertant, qui s'interroge moins sur le sexe que sur la manière de raconter des histoires.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Metro
par Jennifer Lesieur
Le réalisateur offre un nouveau portrait de femme inédit au cinéma, jusqu'au-boutiste, audacieux sans tomber dans le vulgaire, au grand dam de ses détracteurs.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TF1 News
par Romain Le Vern
"Nymphomaniac" ressemble à une hydre à deux têtes, un corps en ébullition, en pleine expérimentation. Les premiers chapitres posent les bases d'une odyssée passionnante.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Lourdement œdipien et volontiers antimachiste, ce "scènes de la vie vaginale" est un film d’une tristesse d’autant plus vénéneuse qu’elle se nimbe de douceur et d’innocence.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Aurélien Ferenczi
POURC'est un film dont on sort en s'interrogeant, et en interrogeant son voisin : sur ce qu'on a vu et sur le sens de ce qu'on a vu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Ce premier volume censuré tient la plupart de ses promesses, mais ne réconciliera pas les admirateurs et détracteurs d’un Lars von Trier toujours aussi provocant et controversé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Plus subtile que provocatrice, cette œuvre brillante n’a rien de sensuellement excitant. Il s’agit d’un film d’auteur aux frontières du cinéma expérimental : en bref, de ce que l'on pouvait antendre d'un long-métrage de Lars von Trier.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Louis Blanchot
Au fond, la provocation chez LVT (hybridation formelle, mélange de trash et de haute culture) n'existe qu'en proportion d'une pudibonderie moraliste assez désuète.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Jean Roy
Ce qui est dit et montré est précis jusqu’à la crudité, mais simultanément très intellectuel et stylisé, un peu à la manière de ce qu’avait tenté Alain Robbe-Grillet à une époque.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Paris Match
par Yannick Vely
Et s’il réserve des grands moments de mise en scène – l’ouverture sur Rammstein, l’insensé split-screen final, les jeux de surimpression sur l’image -, ce montage très cut n’a pas la puissance formelle des meilleurs films du démiurge danois – «Dogville», «Melancholia».
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Loup Bourget
Si la réussite est inégale, ce qui n'est guère en doute est la virtuosité du cinéaste, (...), il voulait donner des exemples de tous les styles, de tous les genres, de tous les affects.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Admettons pour l'heure que, s'il est toujours difficile de prendre au sérieux Lars Von Trier comme cinéaste, on peut commencer à le trouver intéressant comme dépressif.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ecran Large
par Simon Riaux
LVT se désintéresse totalement de son film pour se préoccuper uniquement de son impact supposé. Prétentieux, scolaire et puéril.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Nymphomaniac" ne fait pas exception, dont les redites lassent le spectateur aussi sûrement que l'encombrent les multiples plans de nature gynéco ou urologique, où il arrive que les dialogues tournent au bavardage, quand ils ne versent pas carrément dans le verbiage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
En attendant le "Volume 2", difficile de dire si le film est misandre ou misanthrope, féministe ou misogyne, philosexuel ou sexophobe, hors morale (Joe) ou conflit de morale (Seligman)...
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) le film ressemble à un étrange collage de scènes d’un intérêt très inégal. (...) Lars von Trier semble éprouver quelque difficulté à préciser son propos lorsque celui-ci pourrait devenir moins illustratif et un peu plus abouti (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Didier Péron et Julien Gester
Le fatras d’angoisses et de branlettes qui tente ici de percuter le monde comme le nouveau chef-d’œuvre, vendu comme un «porno» qu’il n’est évidemment pas du tout, signé d’un maestro désormais vaguement maudit, est exactement le genre de chose dont on aimerait être épargné.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
CONTRELa misogynie de Lars von Trier rejoint le vide de sa pensée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Marianne
Le cinéaste danois livre avec "Nymphomaniac" une de ses oeuvres les plus puissantes et les plus dérangeantes.
Transfuge
La vie sexuelle de Joe (Charlotte Gainsbourg) sert d'abord de trame à une de ces brillantes conversations cérébrales, en forme de dissection philosophique.
Cahiers du Cinéma
Par-delà ses relents de chair triste, un mélodrame glacial à la mystifiante beauté.
CinemaTeaser
En dépit de la censure et des coupes, le premier volet du diptyque de Lars von Trier s’avère d’une richesse cinématographique et d’une densité émotionnelle indéniables.
Le Journal du Dimanche
Cette oeuvre audacieuse, poétique et métaphysique, résolument polyphonique, est traversée d'éclairs d'humour, et de génie.
Le Point
Excentrique, abonné aux scandales, il cache sous les oripeaux de la polémique une nature inquiète, mélancolique, misanthrope. (...) Incapable d'abandon et de plaisir, mécanique et cérébrale dans son rapport au sexe, compulsive et autodestructrice, elle incarne l'autre visage de Lars von Trier. (...) Preuve ultime qu'un artiste ne décrit jamais autre chose que lui-même.
Les Fiches du Cinéma
Lars von Trier aborde la pornographie par la forme du roman picaresque et livre un film brouillon, énergique et déconcertant, qui s'interroge moins sur le sexe que sur la manière de raconter des histoires.
Metro
Le réalisateur offre un nouveau portrait de femme inédit au cinéma, jusqu'au-boutiste, audacieux sans tomber dans le vulgaire, au grand dam de ses détracteurs.
TF1 News
"Nymphomaniac" ressemble à une hydre à deux têtes, un corps en ébullition, en pleine expérimentation. Les premiers chapitres posent les bases d'une odyssée passionnante.
TéléCinéObs
Lourdement œdipien et volontiers antimachiste, ce "scènes de la vie vaginale" est un film d’une tristesse d’autant plus vénéneuse qu’elle se nimbe de douceur et d’innocence.
Télérama
POURC'est un film dont on sort en s'interrogeant, et en interrogeant son voisin : sur ce qu'on a vu et sur le sens de ce qu'on a vu.
aVoir-aLire.com
Ce premier volume censuré tient la plupart de ses promesses, mais ne réconciliera pas les admirateurs et détracteurs d’un Lars von Trier toujours aussi provocant et controversé.
20 Minutes
Plus subtile que provocatrice, cette œuvre brillante n’a rien de sensuellement excitant. Il s’agit d’un film d’auteur aux frontières du cinéma expérimental : en bref, de ce que l'on pouvait antendre d'un long-métrage de Lars von Trier.
Critikat.com
Au fond, la provocation chez LVT (hybridation formelle, mélange de trash et de haute culture) n'existe qu'en proportion d'une pudibonderie moraliste assez désuète.
L'Humanité
Ce qui est dit et montré est précis jusqu’à la crudité, mais simultanément très intellectuel et stylisé, un peu à la manière de ce qu’avait tenté Alain Robbe-Grillet à une époque.
Paris Match
Et s’il réserve des grands moments de mise en scène – l’ouverture sur Rammstein, l’insensé split-screen final, les jeux de surimpression sur l’image -, ce montage très cut n’a pas la puissance formelle des meilleurs films du démiurge danois – «Dogville», «Melancholia».
Positif
Si la réussite est inégale, ce qui n'est guère en doute est la virtuosité du cinéaste, (...), il voulait donner des exemples de tous les styles, de tous les genres, de tous les affects.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Chronic'art.com
Admettons pour l'heure que, s'il est toujours difficile de prendre au sérieux Lars Von Trier comme cinéaste, on peut commencer à le trouver intéressant comme dépressif.
Ecran Large
LVT se désintéresse totalement de son film pour se préoccuper uniquement de son impact supposé. Prétentieux, scolaire et puéril.
L'Obs
"Nymphomaniac" ne fait pas exception, dont les redites lassent le spectateur aussi sûrement que l'encombrent les multiples plans de nature gynéco ou urologique, où il arrive que les dialogues tournent au bavardage, quand ils ne versent pas carrément dans le verbiage.
Les Inrockuptibles
En attendant le "Volume 2", difficile de dire si le film est misandre ou misanthrope, féministe ou misogyne, philosexuel ou sexophobe, hors morale (Joe) ou conflit de morale (Seligman)...
La Croix
(...) le film ressemble à un étrange collage de scènes d’un intérêt très inégal. (...) Lars von Trier semble éprouver quelque difficulté à préciser son propos lorsque celui-ci pourrait devenir moins illustratif et un peu plus abouti (...).
Libération
Le fatras d’angoisses et de branlettes qui tente ici de percuter le monde comme le nouveau chef-d’œuvre, vendu comme un «porno» qu’il n’est évidemment pas du tout, signé d’un maestro désormais vaguement maudit, est exactement le genre de chose dont on aimerait être épargné.
Télérama
CONTRELa misogynie de Lars von Trier rejoint le vide de sa pensée.