Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
chrischambers86
13 713 abonnés
12 426 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 16 janvier 2015
Un direct-to-dvd à laisser filer dans la fosse commune tant il est navrant de sottise! On reconnait la patte du metteur en scène bulgare Todor Chapkanov qui sombre dans sa propre caricature en ne lèsinant pas sur les images de synthèses, plus navrantes les unes que les autres! Ici, les mèthodes sont mauvaises pour l'environnement et le mèchant de service (Robert Picardo) cherche du pètrôle pour se faire du fric! Autant dire que les harpons sont mauvais pour les baleines! Passons au loup-garou selon le père Chapkanov! Pas un cerf ni un lapin, juste un loup qui n'a rien d'effrayant et qui se montre plus fort qu'un hèlico! Le summum de la bêtise restera la sèquence animèe du valeureux guerrier, le courageux Skunnemoke qui ne supportait pas de vivre dans la dèfaite, racontèe à la manière d'une bande-dessinèe! Sans vouloir être dur, on a juste envie de conseiller au rèalisateur bulgare de regarder par exemple "An American Werewolf in London" de John Landis ou "The Howling" de Joe Dante et de revenir, après, sur le sujet! Sinon quelle mouche a piquè la belle Amber Bartlett d'accepter un rôle de secrètaire aussi ridicule et inutile ? (dèjà que sa filmo n'est pas gèniale)...
Les équipes d’une compagnie pétrolière profanent des territoires sacrés indiens d’où surgit un énorme loup baptisé le "Kachinawaya" qui a pour seul but d’exterminer tous les membres de la compagnie… Voilà pour le synopsis de ce "Monsterwolf" qui ne brille pas d’une folle originalité. La mise en scène s’avère en plus assez basique, même ceux concernant les attaques du monstre (ce dernier étant par ailleurs bien mal conçu) qui ne s’avèrent pas du tout flippante. Quant au casting, où l'on retrouve notamment la belle Léonor Varela (actrice qui interprétait Nyssa dans Blade 2) ou encore Robert Picardo, il fait vraiment le minimum syndicale. Bref si vous cherchez vraiment à vous faire une belle frayeur ne visionnez surtout pas ce téléfilm bas de gamme sinon vous risquez d’être fortement déçu.
Merci pour la sieste. Nouveau navet en vue pour Tu dors "Toshko" Chapkanov. Pas de lave ni de tornade. Encore moins de vampires. Cette fois-ci, place à un loup géant habité par l'âme d'un indien. C'est marrant parce que le petit dessin-animé narré par le sioux qui raconte l'histoire de cet indien est mieux réussi que le reste de Monsterwolf. Parce que oui avec ses effets spéciaux en carton, Monsterwolf n'est pas fameux. Ils auraient pu un peu mieux se fouler pour le loup. Ses proies sont toutes détestables entre l'avocate arrogante de retour au pays, l'industriel véreux, le mercenaire et son cigare à la bouche à qui on ne la fait pas et toute une clique de rednecks moustachus ne jurant que par la pizza, la bière et le match de foot du vendredi soir, on est gâté. Si encore c'était drôle. Ça ferait passer le temps. Mais il n'y a rien de positif à retirer de cette expérience. Ni cette vieille légende indienne idiote, ni spoiler: les traumatismes d'enfance de l'avocate l'ayant poussé à quitter le pays ni son petit ami, bad boy repenti, toujours amoureux d'elle. Ne mérite pas les une heure vingt-cinq qu'il m'a volées. A ranger bien au fond dans la poubelle.
Pourquoi faut-il que dans les films de ce genre, les "spécialistes" confondent toujours le pire des prédateurs avec un ours ou un coyote?! T'as déjà vu un coyote avec des sabres de dix centimètres à la place des dents?!! Là, c'est un foutu loup mutant les mecs, pas un coyote qui à massacré tous ces gens! Et pourquoi faut-il toujours que les monstres perdent systématiquement une dent sur les scènes de crime? C'est insensé! Certes, il s'agit là d'une piste, un indice pour le spectateur qui, oh mon Dieu, se demande bien ce qui se cache dans les ténèbres. Tu finis par imaginer une bête féroce complétement édentée à force de semer ses chicots sur le moindre péquenot étripé. Mais trêve de facétie. Pour en rire autant, il ne faut pas s'attendre à du grand cinéma face à ce Monsterwolf. Rien que le titre relève d'un génie artistique sans égale. Et comme je dis souvent, le titre est évocateur de ce qu'il illustre. En l’occurrence une série B tout ce qu'il y a de plus vilain et réalisée avec les faibles moyens du bord. La synthèse du loup ne ferait même pas rêver un adepte d'épouvante bas de gamme, bourré au crack. Le scenario reste dans une continuité logique, pas de surprise, c'est d'une fadeur incommensurable. Vu et revu, dépassé, as been; le genre de niaiserie dont je me serais bien passé. De grâce, passe ton chemin avant de crier au loup. 1,5/5