Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
La Croix
par Arnaud Schwartz
Chaque image, chaque personnage, chaque geste porte son lot de références, Le Village de carton aborde avec profondeur nombre de thèmes à la gravité certaine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
aVoir-aLire.com
par Jean-Claude Arrougé
Enfin présent sur les écrans français, ce film d’Ermanno Olmi est une œuvre salutaire d’une grande actualité. Avec un Michael Lonsdale éblouissant...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaroscope
par La rédaction
Uen sorte de drame sacré, àa la stylisation naïve et profonde, pour réveiller les coeurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Critikat.com
par Benoît Smith
"Le Village de carton" n’est pas sans quelque beauté, mais on se surprend à rêver de ce qu’aurait pu atteindre un tel film entre les mains d’un autre cinéaste vétéran, plus radical pour faire du cinéma avec du théâtre : Manoel de Oliveira.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Franck Nouchi
On pourra trouver le dispositif, d'essence théâtrale, un tantinet lourdingue. De même les dialogues, un rien didactiques. Restent la force du propos, la rigueur de la mise en scène et le formidable numéro d'acteur de Michael Lonsdale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Ermanno Oli, malgré son talent, ne peut tenir jusqu'à la dernière minute son allégorie, qui s'éteint avant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Alain Spira
Avec ce film allégorique à la photographie et aux cadrages admirables, l’Italien Olmi se rapproche de la problématique artistique et sacrificielle d’un Tarkovski. Tourmenté à souhait, Michael Lonsdale explore ici avec brio un rôle qui n’est pas vraiment de composition. Plutôt confidentiel, ce film exigeant mérite de rencontrer ses ouailles cinéphiliques.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Lorenzo Codelli
Ce cri de douleur sincère du cinéaste (...) passera à l'histoire, hélas, comme l'une des trop rares "cloches d'alarme" sonnées au nadir le plus sombre du monothéisme berlusconien.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
A 82 ans, Ermanno Olmi, palme d’or en 1978 avec "l’Arbre aux sabots", orchestre ce huis clos théâtralisé de façon inégale, d’abord pesante dans sa mise en place puis plus inspirée. Osant même un finale surprenant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Le film est sombre, esthétiquement beau, théâtral.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Le Village de carton" évoque plus une pièce de théâtre, où il aurait plus sa place que dans une salle de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Ce huis-clos oppressant à la symbolique pesante (les christes que l'on déboulonne...) s'étouffe de désespoir et peine à dégager du sens.
La Croix
Chaque image, chaque personnage, chaque geste porte son lot de références, Le Village de carton aborde avec profondeur nombre de thèmes à la gravité certaine.
aVoir-aLire.com
Enfin présent sur les écrans français, ce film d’Ermanno Olmi est une œuvre salutaire d’une grande actualité. Avec un Michael Lonsdale éblouissant...
Le Figaroscope
Uen sorte de drame sacré, àa la stylisation naïve et profonde, pour réveiller les coeurs.
Critikat.com
"Le Village de carton" n’est pas sans quelque beauté, mais on se surprend à rêver de ce qu’aurait pu atteindre un tel film entre les mains d’un autre cinéaste vétéran, plus radical pour faire du cinéma avec du théâtre : Manoel de Oliveira.
Le Monde
On pourra trouver le dispositif, d'essence théâtrale, un tantinet lourdingue. De même les dialogues, un rien didactiques. Restent la force du propos, la rigueur de la mise en scène et le formidable numéro d'acteur de Michael Lonsdale.
Les Fiches du Cinéma
Ermanno Oli, malgré son talent, ne peut tenir jusqu'à la dernière minute son allégorie, qui s'éteint avant.
Paris Match
Avec ce film allégorique à la photographie et aux cadrages admirables, l’Italien Olmi se rapproche de la problématique artistique et sacrificielle d’un Tarkovski. Tourmenté à souhait, Michael Lonsdale explore ici avec brio un rôle qui n’est pas vraiment de composition. Plutôt confidentiel, ce film exigeant mérite de rencontrer ses ouailles cinéphiliques.
Positif
Ce cri de douleur sincère du cinéaste (...) passera à l'histoire, hélas, comme l'une des trop rares "cloches d'alarme" sonnées au nadir le plus sombre du monothéisme berlusconien.
TéléCinéObs
A 82 ans, Ermanno Olmi, palme d’or en 1978 avec "l’Arbre aux sabots", orchestre ce huis clos théâtralisé de façon inégale, d’abord pesante dans sa mise en place puis plus inspirée. Osant même un finale surprenant.
Télérama
Le film est sombre, esthétiquement beau, théâtral.
Franceinfo Culture
"Le Village de carton" évoque plus une pièce de théâtre, où il aurait plus sa place que dans une salle de cinéma.
Première
Ce huis-clos oppressant à la symbolique pesante (les christes que l'on déboulonne...) s'étouffe de désespoir et peine à dégager du sens.