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    End of Watch
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    Le cinéphile
    Le cinéphile

    701 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2020
    End of Watch est certainement le meilleur film de David Ayer. Il raconte le quotidien de la police dans les quartiers chauds de L.A en mélangeant astucieusement les genres : buddy movie, film d'action, style documentaire, polar, film social et politique. Grosse maîtrise du sujet.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 juin 2020
    On reconnaît bien la patte de David Ayer avec ses films de gangs/ policier , un tres bon polar , noir ,pleins d'actions et une façon de tournée à la première dans certaines scènes très efficace .
    bobbyfun
    bobbyfun

    43 abonnés 1 253 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 janvier 2020
    Immergé dans le quotidien de la police, avec un parti pris réaliste trop timide et trop irrégulier pour nous accrocher réellement.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 085 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 décembre 2019
    Le cinéma de David Ayer m'a à une époque convaincu; il fallait donc que je vois End of Watch depuis un petit bout de temps, la présence de Jake Gyllenhaal dans le rôle principal aidant bien à la détermination de trouver le bon moment. Et s'il est venu, surement que je lui ai accordé du temps trop tard pour l'aimer : désormais au courant des excès visuels du réalisateur et de son manque d'esthétisme flagrant, la pilule ne pouvait que très mal passer.

    Ayer, comme à son habitude friand de vulgarité et d'excès en tous genres, réserve pour son film ses pires effets bling-bling pour représenter une culture de la rue qu'il caricature constamment, en montrant notamment la bande de petits voyous parler comme des charretiers sans un pet d'intelligence à revendre; ses antagonistes, s'ils sont très eu développés, sont rendus désagréables par la stupidité des dialogues qui leur sont assenés, ces derniers renvoyant à ce qu'on trouve de pire dans les clichés des polars à tendance expéditive.

    C'est cliché, constamment attendu et d'une laideur visuelle qui détruit tout le sens de la démarche : le projet étant à la base de nous présenter une sorte de faux documentaire sur le quotidien des policiers dans les quartiers chauds de Los Angeles, David Ayer, surement trop peu inventif pour une telle démarche, aura décidé de céder à la facilité en mêlant son found-footage like à une caméra à l'épaule ramenant le cinéaste dans l'intrigue et faisant comprendre, dès l'introduction et ses multiples plans non filmés par Gyllenhaal, que l'on se trouve devant une oeuvre qui n'aura pas eu l'imagination nécessaire pour ses ambitions poussées.

    En ressort un drôle de résultat des plus laids, qui ne trouve bien sûr aucune crédibilité artistique : détruire totalement un procédé artistique jeune en l'imitant au travers d'une mise en scène qui manque elle-même de travail traduit au final l'incapacité d'Ayer à tenir une caméra de façon convenable. Imiter le style found-footage n'est pas inexorablement synonyme de réalisation parkinsonienne et d'absence de direction artistique : c'est présent dans la majorité des mauvaises productions du genre, celles qui ne feront pas date, mais ne peut-être employé pour un film qui se veut de base en dehors des clous du cinéma, plus proche du réel et de ses horreurs.

    Que l'on prenne Taxi Driver ou le récent Les Misérables, montrer le quotidien d'une ville en proie au crime et à la malhonnêteté n'est pas obligé de passer par des insultes ou cette caméra à l'épaule constamment tremblotante, aux petits mouvements et cutée trop rapidement pour qu'une seule scène ne prenne de l'ampleur; il arrive, à quelques rares exceptions (quand Peña maîtrise sous le regard amusé de son acolyte un voyou de bas étage, le tout par un plan fixe qui dure suffisamment longtemps), que certaines nous reviennent en tête pour autre chose qu'un souvenir de bouillie numérique infâme : ces séquences là permettent de sortir la tête de l'eau, de respirer un peu en se rappelant qu'on est en train de regarder un film avec un véritable message, pas seulement une oeuvre clipesque et vulgaire à la laideur affirmée.

    L'on aura beau tenter de trouver des explications au mélange entre caméra de flics, de gangsters (caméra rajoutée n'importe comment) et de l'équipe de technique de l'oeuvre, il n'en viendra aucune autre que celle déjà citée plus haut, le manque d'investissement et d'invention technique de son réalisateur médiocre, preuve avec End of Watch qu'il n'a finalement pour seul talent que de broder des histoires convenables (bien que jamais bien marquantes) sur un milieu particulier et finalement peu expérimenté dans le cinéma international, le crime bling-bling de l'Amérique des banlieues.

    On retrouve, bien sûr, cette photographie chaude et sableuse qu'il affectionne tant lorsqu'il s'agit de mettre en scène ses conflits favoris, flics contre voyous, sans pour autant que le montage pressé ou sa mise en scène hasardeuse ne lui rende jamais justice, et l'on en vient à se dire, au bout d'un moment, que cette histoire n'a plus de sens que pour suivre l'avancée des deux personnages principaux, bien campés par leurs acteurs respectifs sans moments de gloire dont on se souviendra, et non plus pour chercher un message, une réflexion portant sur le travail de ces forces de l'ordre placées devant un mur infranchissable, une organisation criminelle ultraviolente qui aurait pu, si le film avait été plus ambitieux, questionner à la façon d'un Troupe d'Elite le bienfondé d'employer certaines méthodes expéditives (très rares ici) pour contenir un mal auquel on pourrait, d'une certaine manière, finir par ressembler.

    En ressort l'impression de voir du remplissage amené par l'emploi de la caméra des gangsters, qui n'a d'utilité véritable que celle d'amener des personnages caricaturaux qu'on pourra un peu plus identifier au moment du règlement de compte final, certes intense mais convenu et plombé par des incohérences facilement évitables (à part en ayant de graves problèmes de vue, autant de fusils mitrailleurs canardant en même temps ne peuvent pas rater deux cibles à une distance aussi rapprochée, même tenus par des incapables).

    Partie de l'intrigue qui va pointer un autre défaut de l'oeuvre inhérent au genre auquel elle se rattache, la fameuse manie de ceux qui filment à des moments improbables, voir dangereux. S'il tente de l'expliquer en positionnant des caméras sur le pare-brise des voitures, ou même en filmant par le prisme du réalisateur certaines séquences d'action, il n'empêche qu'End of Watch se prend de multiples fois les pieds dans le tapis en reproduisant le schéma d'un genre cinématographique n'ayant pas duré pour une bonne raison : jusqu'à preuve du contraire, le found-footage, et tous ses dérivés, apportent plus au spectateur de paresse visuelle sur fond de scénario sympathique qu'une expérience véritablement éprouvante et artistiquement réussie, cachant, très souvent, le manque de talent flagrant des équipes qui mettent en oeuvre des long-métrages voués à n'exister que quelques mois, avant de retomber dans l'oubli des pages défilantes du streaming.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    30 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2019
    Pour etre tout à fait honnête quand j'ai vu qu'on partait pour un found footage je me suis dit "ho noooooon pas encore !!!!".et puis je me suis laissé embarquer. D'abord parce que le duo Jake Gyllenhaal / Michael Pena fonctionne extrêmement bien et c'est tant mieux car c'est sur eux que tout repose. "End of watch" nous fait suivre une patrouille de flics confrontée à son quotidien, ce qui veut dire que si les séquences sont variées (et souvent violentes) il n'y a pas de réel fil rouge mis à part une sale histoire avec un cartel mexicain mais qui n'est pas vraiment la trame principale. Et pourtant ca marche (en tous cas sur moi). J'ai beaucoup aime le fim et ses 2 héros.... 4 / 5
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    109 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2019
    Tourné en semi found footage, ce film / docu fiction policier offre un angle intéressant sur le monde policier. C’est original, et le casting (ou plutôt Jake Gyllenhaal) est très bon. Maintenant, on se demande quel est l’intérêt de ce film. Le scénario est limité, les récurrentes arrestations manquent d’intérêt … Enfin, on ne va pas au cinéma pour avoir des scènes de vie de tous les jours ! Et malheureusement ça ne prend guère. Il y a bien quelques ressemblances avec Night call mais celui-ci était beaucoup plus profond et allait beaucoup plus loin. Ici c’est la vie de policier à LA. Ça se suit bien, mais ça risque de s’oublier tout aussi bien.
    liamsi
    liamsi

    19 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 janvier 2019
    C'est sympa, il y a de l'action, la réalisation est nerveuse mais malheureusement il manque un vrai scénario pour faire tenir le tout. De plus niveau réalisme ce n'est pas du tout crédible.
    ronny1
    ronny1

    40 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2018
    « End of Watch » indique la couleur dès le titre : ce sera une tragédie. Pour son troisième film, David Ayer développe une fois de plus un scénario dans le South Central où il a grandi (comme d’ailleurs des actrices du film). Décrivant ce qu’aurait pu être la routine de deux flics dans un secteur des plus dangereux, l’action se passe au contact de gangs blacks, plus ou moins dangereux, des mexicains donnant dans l’abomination de préférence sanglante, mais aussi à sauver des personnes du quotidien comme trois enfants dans un incendie. Un jour, ils mettent les pieds où il ne faut pas. Commence alors une décente aux enfers où chaque épisode dépassera le précédent, soit en horreur, soit en violence, le tout entrecouper de scènes en dehors du travail où les deux flics se retrouvent avec leur famille. Ces moments remarquables (le mariage, la danse, la scène d’amour d’une grande douceur, le dîner) apportent une respiration à la fois juste et émouvante, renforçant en creux l’intensité hors du commun de ce film. Car c’est un des propos inattendu d’un buddy movie policier : montrer que ces types qui vivent l’enfer au quotidien, doivent, le soir venu, faire fonctionner leur couple. Ainsi les scènes d’actions sont renforcées dans leur impact et l’ensemble est extrêmement réaliste. Jake Gyllenhall (qui est aussi producteur exécutif) et Michael Peña sont parfaits, improvisant les blagues et bon mots qui sonnent juste, et la dernière, à la fin du film, apporte une note particulière, qui liée au contexte, devient aussi drôle qu’émouvante. La direction d’acteur est précise apportant une justesse de ton inusitée dans les deuxièmes rôles, dont se détachent Natalie Martinez et Anna Kendrick, les épouses, et la musique de Graeme Revell habille l’ensemble avec contraste et justesse. Le seul regret concerne la caméra live, procédé dit réaliste, mais qui fini par donner le mal de mer au spectateur. Cette fausse bonne idée, issue du cinéma d’épouvante, empêche « End of Watch » de s’élever au rang de chef d’œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 mars 2018
    Bonne intrigue qui plonge dans le travail quotidien du binôme de LAPD, policiers de Los Angeles, la caméra intégrée est déroutante, il décrive avant tout un métier difficile de prévention face à la violence des gangs, la surprise attend par ce retournement de situation émouvant.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    145 abonnés 2 431 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 octobre 2017
    Les images vidéos et le scénario punchy permettent une immersion immédiate dans le quotidien de ce duo de policiers.
    Jérémy J.
    Jérémy J.

    14 abonnés 732 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2017
    Quel dommage que le réalisateur n'est pas eu du courage jusqu'à la fin. Le film aurait tellement était mieux si il y'avait que eu les plans des caméras dans le film, filmé par le policier en gros. Mais à la place il fait du moitié moitié (un peu depuis les caméras et un peu normal) et c'est bien décevant qu'il n'est pas réfléchi plus pour faire mieux. Par contre il faut le dire, les acteurs sont excellent, tous, vraiment. Les scènes d'action aussi sont au top, En faite tout est fait pour que l'on y croit, sauf les caméras. Ce point changé le film aurait eu 5 étoiles pour moi. Bref, un film au grandes capacités qui finit simple film d'action (avec une très bonne fin entre nous soit dit)
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 août 2017
    Bon film qui tient en haleine, nerveux. Un petit speech d'entrée plaisant d'ailleurs. Quelle fin, D.Ayer nous laisse sur un sacré ascenseur émotionnel, et je trouve que spoiler: ce passage où l'on voit les deux coéquipiers rire dans la voiture quelques heures après la mort de Z est très poignant et nous fait réaliser à quel point tout peut basculer, et cela rend la mort de Z encore plus poignante
    Michael R
    Michael R

    107 abonnés 1 272 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mai 2017
    Si le style foodfoutage est un peu déstabilisant au début, le quotidien de ces deux potes superflics évoluant dans les quartiers sordides du South LA tiennent en haleine jusqu'au sprint final tendu et terrible.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 avril 2017
    Mal a la tete au bout de 5 minutes. Comme si un film d'action consistait a faire bouger la camera tout le temps, a changer de plan toutes les 2 secondes et a mettre du rap, inregardable, nul ...
    Arès
    Arès

    3 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 octobre 2017
    L'experience P.O.V ne m'a vraiment pas convaincue, dans l'ensemble sa colle bien à l'ambiance du film, mais selon moi mal exploité. A vrai dire mon envie de voir le film vient uniquement de la paire Gyllenhaal et Penã. Le film se laisse tout de même regarder.
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