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Benjamin H
58 abonnés
1 critique
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1,0
Publiée le 13 janvier 2013
Ne comprends absolument pas que ce film ai pu recevoir d'aussi bonnes critiques. Un film cliché (des incohérences), des gangs mexicains qui parlent entre eux en anglais, des dialogues pauvres... mais surtout du vu et revu. Je déconseille totalement.
Une belle maitrise pour un film authentique. Un bel hommage en tout cas. Un bémol toutefois: la première moitié du film aurait du être condenser un peu plus car elle est malheureusement un peu longuette
je 'l ai trouver pas mal mais ce film est une nouvelle manière de filmer on s' y croit bien dedans comme dans un jeu de vidéo quand ils tirent. mais il montre la dure réalité du métier de policier dans leurs vies professionnelle que personnelle. il y a des scènes qui peuvent choquées mais bon c 'est la réalité.
Un bon film qui résume à la sauce américaine l'amitié entre deux super potes, assez sympa à regarder divertissant mais passable sans être pour autant mauvais loin de là...mais les scènes d'immersion dans le quotidien de ces deux flics est assez réussi...
Loin d'être un inconditionnel des Found footage, je dois reconnaître que « End of Watch » fût une sacrée surprise. Finalement décidé par d'excellentes critiques malgré une bande-annonce des plus banales, j'ai tout de suite été plongé dans cet univers que David Ayer connaît si bien, son récit et sa mise en scène coup de poing s'avérant d'emblée d'une impressionnante efficacité. Pas de fioritures ni de grands discours, juste deux flics banals avec des conversations banales dans le quotidien de tous les jours : cela pourrait être ennuyeux, on ne voit pas un instant le temps passer, le réalisateur exploitant remarquablement le procédé de la caméra embarquée pour nous offrir une virée aussi puissante que parfois spectaculaire, le tout magistralement interprété par Jake Gyllenhaal et Michael Pena. Seul regret : que l'ami David ne soit pas allé jusqu'au bout de sa démarche audacieuse à travers une fin légèrement convenue (on était si près !), sans oublier deux portraits très réussis, mais qui auraient probablement gagné a être un peu plus « corrompus » sur les bords. Qu'importe, « End of Watch » reste une brillante plongée réaliste dans le milieu policier, une bombe de polar faisant également la part belle aux truands : une vraie réussite.
"End of watch" et une nouvelle façon de suivre les cowboys...euh les flics de Los Angeles. C'est assez frais comme réalisation avec son style à base de caméras embarquées ; Jake Gyllenhaal ainsi que son partenaire assurent le coup et tiennent le spectateur en haleine. Malgré tout, on n'échappe pas à cette fin prévisible et ce manque de scènes chocs, bref on l'oubliera vite. Depuis le temps qu'on se coltine le quotidien de ces binômes au cinéma, il était temps de trouver un nouvel angle, et c'est dans ce sens que "End of watch" peut satisfaire, sans pour autant exploser de nouveauté et d'intérêt. Ça tient la route.
D'un premier abord ce film semble quelconque. Le quotidien d'une équipe de police dans les quartiers chaud de L.A. Cependant le choix de la caméra embarquée fait qu'on a l'impression d'y être. Cela rend le film très vivant. De ce fait, on ne s'ennuie à aucun moment. Gros coup de cœur !
Un excellent thriller où David Ayer arrive à maintenir le suspense et la tension jusqu'à la fin. Le scènario est très fort et montre la réalité de certains quartiers de Los Angeles. Le duo Jake Gyllenhaal et Michael Peña fonctionne à merveille. Cependant, la réalisation de David Ayer est assez particulière avec beaucoup de scènes filmées en mode caméra embarquée et en mode caméra au poing. Cela est intéressant pour certains passages mais je trouve qu'il en abuse un peu trop.
Immersion dans une patrouille filmée à la mode"live"... On s'y croirait. Sans doute proche de la réalité. Chicanos blacks ... Cops. Rien ne manque à ce cocktail hyper réaliste. Dommage que la fin soit aussi triste. À voir.
Après avoir écrit de très bon scénarios et réalisé deux excellents films, David Ayer nous offre un troisième long métrage réussi et très soigné. Le duo Gyllenhaal/Peña est parfait. De quoi devenir définitivement fan de Ayer.
Très bonne immersion dans le monde policier, avec un duo d'acteurs efficaces, dans des scènes prenantes et nerveuses, le tout filmé de manière directe mais très bien faite !
David Ayer a vécu dans les quartiers chauds de South Central, au milieu de la drogue, de la violence et des guerres de gangs, ce qui lui a donné une sacrée inspiration pour ses scénarios, de l'excellent Training Day aux moins mémorables Au bout de la nuit et Bad Times. Pour son troisième passage derrière la caméra, Ayer reste dans le même registre et nous fait suivre le quotidien de deux flics de Los Angeles dans le joli quartier de South Central et ce filmé d'une façon quasi-documentaire, caméra embarquée et plans collant au plus près de la réalité afin d'immiscer le spectateur directement dans le feu de l'action... Bien que contenant des séquences un poil poussives histoire d'enjoliver le long-métrage, End of Watch s'avère être très réaliste, avec un ensemble de situations banales qui nous montre le quotidien difficile de ces représentants de l'ordre agissant dans des quartiers particulièrement dangereux. De plus, afin d'appuyer ce côté réaliste, Ayer a la bonne idée d'intégrer à l'histoire la présence d'une caméra supplémentaire guidée par un de nos deux héros qui souhaite faire un projet en montrant le plus de détails possibles sur le quotidien des flics de la ville, dévoilant ainsi aussi bien les arrestations musclées et autres mauvaises surprises lors de contrôles banals que l'ambiance qui règne parmi les membres de la police. Niveau interprétation, le tandem Jake Gyllenhaal / Michael Peña fait des ravages, les acteurs étant ici très complices. Et si on pourra reprocher à David Ayer de nous livrer un quasi-remake de Bad Times au niveau du scénario (même trame de fond à peu près et même base de complicité au sujet des deux flics soudés comme des frères), on pourra en revanche saluer sa maîtrise de la mise en scène, véritablement époustouflante, où le réalisateur use et abuse de caméras embarquées placées aussi bien sur le capot des voitures de fonction que sur les chemises de nos héros, sur leurs flingues ou scotchées sur leur épaule, nous plongeant dans des arrestations plus vraies que nature. Pas révolutionnaire mais presque, End of Watch reste dans tous les cas une sacrée baffe dans le genre.