Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Critikat.com
par Arnaud Hée
Un songe filmé où Ben Rivers ne taille pas dans le temps mais l’épouse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par La Rédaction
On est séduit par le style brut du film.
Libération
par Julien Gester
Deux noms en tout et pour tout apparaissent crédités de la fabrication de "Two Years at Sea" à son générique. (...) Voilà pour les strictes données chiffrées, qui ne sauraient rien suggérer de l’expérience d’intense ravissement vaporisée par le film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Michel Cieutat
Film énigmatique dont le pouvoir de fascination ne lasse pas d'envouter.
Première
par Laura Meyer
Dans un style élégiaque qui peut rappeler le Sokourov de Mère et fils, le film glisse du documentaire au poème méditatif dans un silence ponctué de marmonnements ou d’étranges mélopées folks.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Portrait puissant d'une solitude face à la nature, proche de la transfiguration morbide, qui ressemblerait à la fin du monde sans ses crépitements, son incandescence, sa beauté plastique et ses allures de conte fantastique.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Time Out Paris
par Alexandre Prouvèze
Une recherche graphique à la fois austère et d’une beauté souvent stupéfiante, parfaitement en harmonie avec le mode de vie solitaire qu'il évoque.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
Transfuge
par Damien Aubel
L'aventure, la vraie, n'est plus synonyme d'errance ou d'arpentage. Elle est immobile. C'est l'ère des Robinson. A l'image du héros du beau film de Ben Rivers, qui croise dans les eaux mêlées du docu et de la vidéo de plasticien.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Jake Williams, nous accueille dans la rugosité de sa vie d’ermite, magnifiée par le parti pris esthétique où les arts cinématographiques et photographiques viennent rendre les plus beaux hommages aux maîtres du genre, de Jean Rouch, à Werner Herzog, en passant par Chris Marker.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Il ne se passe pas grand-chose et on ne saisit pas tout. Mais là réside précisément la beauté de ce film doux et froid, qui brille par son absence de rationalisation.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Noir et blanc brumeux, contemplation... Fascinant même si le silence imposé n'est pas vraiment justifié.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Le projet est fascinant mais "Two Years at Sea" ne réussit pas à en saisir la sève ni à transmettre ce qui anime ce héros mutique. Ben Rivers a beau connaître son personnage, rien ne s’échange entre la caméra et son sujet.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Des deux côtés de la caméra, chacun s’emploie à tenir son rôle : l'ermite en restant muet et en cassant du bois ; le cinéaste en épinalisant toute cette autarcie volontaire en jolies natures mortes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
Un songe filmé où Ben Rivers ne taille pas dans le temps mais l’épouse.
L'Humanité
On est séduit par le style brut du film.
Libération
Deux noms en tout et pour tout apparaissent crédités de la fabrication de "Two Years at Sea" à son générique. (...) Voilà pour les strictes données chiffrées, qui ne sauraient rien suggérer de l’expérience d’intense ravissement vaporisée par le film.
Positif
Film énigmatique dont le pouvoir de fascination ne lasse pas d'envouter.
Première
Dans un style élégiaque qui peut rappeler le Sokourov de Mère et fils, le film glisse du documentaire au poème méditatif dans un silence ponctué de marmonnements ou d’étranges mélopées folks.
TF1 News
Portrait puissant d'une solitude face à la nature, proche de la transfiguration morbide, qui ressemblerait à la fin du monde sans ses crépitements, son incandescence, sa beauté plastique et ses allures de conte fantastique.
Time Out Paris
Une recherche graphique à la fois austère et d’une beauté souvent stupéfiante, parfaitement en harmonie avec le mode de vie solitaire qu'il évoque.
Transfuge
L'aventure, la vraie, n'est plus synonyme d'errance ou d'arpentage. Elle est immobile. C'est l'ère des Robinson. A l'image du héros du beau film de Ben Rivers, qui croise dans les eaux mêlées du docu et de la vidéo de plasticien.
aVoir-aLire.com
Jake Williams, nous accueille dans la rugosité de sa vie d’ermite, magnifiée par le parti pris esthétique où les arts cinématographiques et photographiques viennent rendre les plus beaux hommages aux maîtres du genre, de Jean Rouch, à Werner Herzog, en passant par Chris Marker.
Les Inrockuptibles
Il ne se passe pas grand-chose et on ne saisit pas tout. Mais là réside précisément la beauté de ce film doux et froid, qui brille par son absence de rationalisation.
Télérama
Noir et blanc brumeux, contemplation... Fascinant même si le silence imposé n'est pas vraiment justifié.
Cahiers du Cinéma
Le projet est fascinant mais "Two Years at Sea" ne réussit pas à en saisir la sève ni à transmettre ce qui anime ce héros mutique. Ben Rivers a beau connaître son personnage, rien ne s’échange entre la caméra et son sujet.
Chronic'art.com
Des deux côtés de la caméra, chacun s’emploie à tenir son rôle : l'ermite en restant muet et en cassant du bois ; le cinéaste en épinalisant toute cette autarcie volontaire en jolies natures mortes.