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shmifmuf
178 abonnés
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2,5
Publiée le 22 mars 2013
"Radiostars" est une comédie française de qualité, comparée à beaucoup d'autres. Ses personnages et principalement ses seconds rôles sont drôles et attachants même si sa fin et son côté bande de potes pour la vie sont clairement faits pour plaire au plus grand nombre.
ca tient pas la route c'est bidon, pas du tout drole, enchainements des évenements : ridicule vraiment décu pour une comédie j'ai du rire 3 fois ma femme c'est endormie. très bonne soirée!
Je ne sais pas qui peut faire rire ce film. Ça ne décolle jamais. C'est super ennuient les scènes. Les acteurs ça va encore, mais rire = 0, max. 1 rire
Je respecte tout le monde mais comment peut on trouver ce film intéressant ? long et sans intéret. Des bla bla . Idéal au coin du feu en hiver pour s'endormir
Ben, qui se rêvait comique à New York, est de retour à Paris après cinq ans de galère. Il rencontre Alex, présentateur-vedette du Breakfast-club, le Morning star de la radio. Avec Cyril, un quadra mal assumé complètement irresponsable, et Arnold, le leader charismatique mais caractériel de la bande, ils font la pluie et le beau temps sur Blast FM. Très vite Ben est engagé pour écrire. Laudience du breakfast étant en chute libre, c’est en bus qu’ils sillonneront les routes de France pour rencontrer et reconquérir leur public.
Ce qui frappe, ce sont les répliques qui font mouche à tous les coups, on rit énormément. Manu Payet, Clovis Cornillac, Douglas Attal, Pascal Demolon et les autres assurent le show entre acidité, blagues potaches et tendresse. Ils campent des personnages attachants et semblent s'être amusés entre potes et ça se voit. On peut sans doute déplorer le scénario un peu léger et une vulgarité pour le moins omniprésente. Le résultat est plein d'énergie (notamment grâce à la B.O), vraiment drôle et rafraîchissant.
long et mal ficelé, on peine à s'attacher aux errances des personnages. une pale copie du formidable "good morning England" transposé sauce franchy. aucun intérêt
Premier long-métrage pour Romain Levy, scénariste de Cyprien (2009), Coursier (2010) & De l'huile sur le feu (2011). Avec un tel bagage, difficile de faire confiance à ce cinéaste en herbe qui a coécrit le scénario avec Mathieu Oullion. Pourtant, il faut bien reconnaître que le tandem arrive à nous séduire avec leur film de potes. Romain Levy s’étend inspiré de sa propre expérience pour écrire l’un des personnages (le réalisateur, Manu Payet & Mathieu Oullion étant tous les trois des ex de NRJ, l’univers de la radio n’avait donc plus aucun secret pour eux et cela se ressent grandement). Les vannes entre potes fusent à un rythme soutenu tout comme les enguelades et les rabibochages. On prend plaisir à les suivre dans cette aventure sous forme de road-movie radiophonique qui les entraîne au fin fond de la France à la rencontre de leurs auditeurs perdus (afin de redevenir la radio matinale #1). Ce qui fait la force du film, c’est l’alchimie qui règne entre les acteurs (Manu Payet, Clovis Cornillac, Pascal Demolon), la bonne humeur, en passant par les clashs et les réconciliations.
Une comédie qui m'a laissé froid, c'est rare... Pourtant l'idée de base est plutôt sympa, avec ce voyage dans la province profonde d'une bande de comiques de radio en quête de rédemption dans l'audimat. Cela commence bien. On sent que ce périple va être une partie de rigolade. Hélas, le scénario s'affadit très vite et le comique devient racoleur, vulgaire et répétitif... Il y a trop de facilité dans cette histoire. Les acteurs sont pourtant bons, avec le jeune Douglas Attal ( Ben ) qui promène son air de looser, et Clovis Cornillac convaincant en accro blasé du direct. Mais les vannes sont d'une pauvreté affligeante, et on ne voit quasiment rien du coup de fouet apporté par le jeune Ben à l'écriture des émissions. Pas de bons mots, ni de bonnes histoires, mais au contraire une rencontre scabreuse avec un rapper déjanté, qui donne lieu à une débauche des pires grossièretés. On a l'impression que tout cela est prétexte à une fuite en avant de l'équipe, et du scénario par la même occasion. Et Manu Payet esquinte son talent dans des mines de cockers attendris, ou dans des encouragements sexuels pitoyables à son pote. Vraiment, j'aurais aimé pouvoir dire du bien de ce film. Mais, en final, il m'a surtout agacé.
Un buddy-movie à la française à la qualité parfois inégale mais loin d'être déplaisant. Les quelques scènes inutiles ou malavisées sont largement rattrapées par des moments du pure hilarité.(Une scène est même culte...) Le casting est sympathique, les dialogues font mouche et les personnages sont attachants et décalés. Une comédie française qui, chose rare, mérite le détour.
Aujourd’hui, la comédie française se retrouve partagée entre deux gros clans : la comédie franchouillarde (Fabien Onteniente) éreintée par les critiques et la comédie de Djeuns, (injustement) choyée par ceux-ci.
Radiostars s’est imposé comme le fer de lance de la seconde catégorie, rencontrant un succès public et critique inespéré. Mérité ? Oui. Radiostars est un road movie comique très réussie, qui parvient à ne pas tomber dans les clichés du genre. Le film évacue très vite les moments obligatoires du genre (la grosse soirée où tout le monde est bourré, le moment émotion) et laisse place à une histoire plutôt originale, avec des gags souvent très drôles et très peu de scènes en trop. En plus de son solide scénario, Radiostars est bien aidé par un casting très performant, dont on ressortira Côme Levin, Benjamin Lavernhe, Pascal Demolon et le protagoniste principal, Douglas Attal, vraiment très bon. La bande-son est aussi très soignée par un metteur en scène de talent, qui ira sans doute loin. Il respire le cinéma. Le film cède aussi à la nouvelle folie de cette classe de cinéma français : inventer une fausse chanson qui parodie les tendances actuelles. Ici, c’est Jacky Ido qui s’en charge avec une chanson à mourir de rire, Pointeur Hebdomadaire.
C’est la cerise sur le gâteau, Radiostars est très drôle du début à la fin et prend son spectateur dès les premières minutes pour ne plus le lâcher. Une réussite totale.
Radiostars est LE film français de l'année à ne pas manquer. Drôle et touchant, il met en scène des hommes avec leurs défauts, leurs faiblesses mais aussi leurs sentiments. Ben, après son échec à Broadway, fraîchement célibataire, est perdu. Avec quelques relations, il se dégote un job d'animateur dans la radio la plus populaire du moment.
La force du film réside principalement dans l’enchaînement de situations comiques, toutes probables. Toutes les possibilités de scénario sont exploitées (la présence de Daniel(e) est une idée magique !) à tel point qu'on est toujours surpris par la progression de leurs aventures.
Romain Levy a fait beaucoup de chemin depuis les 11 commandements et Cyprien. L'humour est largement plus raffiné. Accompagné de Manu Payet et de Clovis Cornillac, deux acteurs n'ayant plus à faire leurs preuves sur grand écran, Radiostars révèle un nouvel acteur, Douglas Attal, très attachant dans son rôle de raté. A voit absolument.
La recette de ce genre de film n’est pas compliquée, mais encore faut-il réussir à réunir les bons ingrédients pour que cela fonctionne. Avec "Radiostars" en guise de premier film, Romain Levy se rapproche du sans faute et tout en s’en détachant, l’histoire n’est pas sans rappeler l’immense "Good Morning England" de Richard Curtis. Nous suivons Ben, jeune comique de stand-up à New York, ayant subi un revers sentimental et professionnel cuisant et se retrouve à Paris chez son père. Il va essayer de se reconstruire en écrivant pour le Breakfast-club, morning numéro 1 de la radio française. Lorsque Blast FM passe numéro 2, le film de Romain Levy se transforme en road-trip à travers la campagne française pour récupérer les auditeurs qu’ils ont perdus. L’équipe des joyeux animateurs est composée de Manu Payet interprétant en quelque sorte son propre rôle (le film est inspiré de son expérience sur NRJ), Douglas Attal ou Pascal Demolon, tous bons mais n’arrivant pas à la cheville de Clovis Cornillac une nouvelle fois parfait. La bande-originale est de qualité mais manque parfois de tonus, et si faire rire est ici le but principal, "Radiostars" sait également emmener le public vers d’autres émotions avec brio. Un feel-good movie qui porte bien son nom.
Comme quoi il ne faut jamais jurer de rien voilà un film que je n'avait absolument pas l'inttention d'aller voir eh bien j'avais tort , il a suffit de bonnes critiques presse et public pour que je me dise eh bien pourquoi pas après tout ,et alors oh divine surprise si l'on excepte les 2 ou 3 trucs qui m'ont unpeu dérangé ce qui explique que je n'ai pas mis 4 étoiles comme je comptais le faire et bien j'aime tout simplement beaucoup ce film frais sympa léger et qui change du genre, de plus les acteurs sont bons moi qui n'aime pas spécialement Cornillac et Payet eh bien je dit chapeau bas contente de ma pluvieuse matinée
Une comédie road movie qui dévoile les coulisses d'une émission de radios mais qui surtout dépeint la vie, les joies, les galères de ses chroniqueurs entraînés dans une sorte de périple initiatique. Il en résulte un bon film de pote qui sent la bonne entente mais le côté comédie est plutôt inégale et parfois même décevant. Le principal point positif du film est la mise en scène de Romain Levy qui est qui réussie et qui comporte des idées intéressantes de réalisation. Il insuffle une certaine insouciance et une liberté plaisante. On peut toutefois relever des maladresses ( mais souvent inhérente à un premier film) et approximations dans la direction d'acteurs. Certaines scènes, trop étirés, en deviennent presque pénibles. De plus, les vannes ne sont pas si hilarantes que ça. Côté acteur, Clovis Cornillac campe un contre-emploi assez intéressant. Quant à Manu Payet, il est le plus drôle dans un rôle sur mesure. Touetefois, les personnages ne sont pas toujours bien servis par le scénario qui a du mal à s'affranchir de sa bonne idée de départ. Ainsi, on ne voit quasiment pas les personnages évoluer au cours de leur voyage et le héros du film, interprété par Douglas Attal, s'efface étonnament dans la dernière partie. De plus, le scénario est parfois hésitant et répétitif ( chaque personnage qui finit par piquer sa crise l'un après l'autre etc ). La fin n'est pas déplaisante à défaut d'être pleinement réussie à cause des défauts évoqués. En conclusion, il en résulte une comédie inégale et qui ne tient pas toutes ses promesses. Cela reste du bon travail pour un premier film et on attend la confirmation du metteur en scène.