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(...) le film, moins opaque que le précédent du cinéaste (...) détaille avec finesse le bouleversement causé par un drame déchirant, qui désintègre le couple central.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Pour Rosales, une fiction est plus que jamais la somme de différentes expériences artistiques. Il le prouve avec ce film taillé dans le granit, où son geste de ciseleur s'ajuste au mystère d'un rêve de pierre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Prétendant chercher dans le drame humain les accents du réel, Rosales ne retient guère plus (des intonations des acteurs, de leurs placements erratiques, du noir et blanc qui dépouille) qu'une déclaration de chaque instant, comme un slogan : que ce qu'on voit à l'écran est bien proche du réel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Rêve et Silence, tourné en lumière naturelle et sur pellicule à effet granuleux, interprété et improvisé par des non-professionnels, dégage une immédiateté de bon aloi.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le film perd en force ce qu'il gagne en maîtrise formelle, en déplaçant sur le récit – pénible sentiment de devoir recoller les morceaux – des enjeux avant tout figuratifs (visages comme prélevés sur le réel, suggestion). Quelque chose de trop systématique, d'affecté même, l'empêche de libérer sa charge émotionnelle.
Les Inrockuptibles
Jaime Rosales continue à détailler avec brio la banalité ibérique dans un drame distancié.
Télérama
Dans ces plans, composés comme de superbes et mélancoliques photographies, chaque personnage paraît libre.
L'Express
Déroutant de prime abord, le film se révèle riche en émotion.
L'Humanité
(...) le film, moins opaque que le précédent du cinéaste (...) détaille avec finesse le bouleversement causé par un drame déchirant, qui désintègre le couple central.
Le Monde
Pour Rosales, une fiction est plus que jamais la somme de différentes expériences artistiques. Il le prouve avec ce film taillé dans le granit, où son geste de ciseleur s'ajuste au mystère d'un rêve de pierre.
Les Fiches du Cinéma
Jaime Rosales s'empare du réel pour en restituer tout à la fois la part sombre et lumineuse. Austère et poignant.
Libération
Pour "Rêve et Silence", Rosales prend un soin extrême à n'effleurer que la périphérie de son récit afin de mieux en saisir le coeur.
Critikat.com
Prétendant chercher dans le drame humain les accents du réel, Rosales ne retient guère plus (des intonations des acteurs, de leurs placements erratiques, du noir et blanc qui dépouille) qu'une déclaration de chaque instant, comme un slogan : que ce qu'on voit à l'écran est bien proche du réel.
Positif
Rêve et Silence, tourné en lumière naturelle et sur pellicule à effet granuleux, interprété et improvisé par des non-professionnels, dégage une immédiateté de bon aloi.
Transfuge
Le metteur en scène espagnol recherche et ne prétend rien démontrer. D'où la forme du film, bien souvent expérimentale.
Cahiers du Cinéma
Le film perd en force ce qu'il gagne en maîtrise formelle, en déplaçant sur le récit – pénible sentiment de devoir recoller les morceaux – des enjeux avant tout figuratifs (visages comme prélevés sur le réel, suggestion). Quelque chose de trop systématique, d'affecté même, l'empêche de libérer sa charge émotionnelle.
La Croix
Un film très austère, à la réalisation radicale, sur l'émergence d'une tragédie dans le quotidien d'une famille espagnol habitant en France.
Première
(...) la plupart du temps, le réalisateur semble faire son film pour lui seul, en un geste artistique brillant qui peut cependant laisser de marbre.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné live
TéléCinéObs
Pas de doute, on tient là l'un des films les plus antipathiques et les plus grotesques de l'année.