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    Message from the King
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    3,4
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    111 critiques spectateurs

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    dominique P.
    dominique P.

    834 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mai 2017
    Le pitch est intéressant et cela m'a donné envie d'aller voir ce film.
    Je l'ai trouvé pas mal sans plus car l'histoire est trop sordide.
    Heureusement, ce qui sauve le film, c'est qu'il est très bien maîtrisé et le suspens bien entretenu.
    selenie
    selenie

    6 233 abonnés 6 183 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2017
    Du Welz cite ses références pour ce film dont on retiendra surtout les oeuvres de James Elroy et le film "La Loi du Milieu" (1971) de Mike Hodges. Il s'agit d'un western urbain et animal où un inconnu débarque pour une vengeance pleine de sang et de larmes. Faire de Jacob King un vengeur venu d'un autre pays est très bonne, autres moeurs autres us et coutumes, l'autre bon point est celle de son arme de prédilection plutôt nouveau dans le genre, et enfin dernier bon point et pas des moindres se trouve en toute fin avec une surprise de taille.
    Site : Selenie
    Claudine G
    Claudine G

    203 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mai 2017
    J'ai été un peu déçue, bien que l'acteur soit très bon dans ce thriller, le film manque de suspens. On voit bien Jacob, arrivé pour rechercher sa soeur qui est en mauvaise posture, mais à partir de là tout va très vite, il a accès rapidement à des indices qui le met sur la bonne voie, puis ensuite c'est la vengeance, la colère, la haine, tous ces sentiments mêlés font que le sang et les larmes coulent à flots. Une seule chose m'a surprise, c'est au final la profession de Jacob.
    Padami N.
    Padami N.

    61 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2017
    assez bel réalisation tourné L.A. donnant un aspect visiel des années 70-80.l errance ̀e et la violence de l image vont très bien ensemble et contrasté avec une histoire assé classique voir serie B.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mai 2017
    Un Pur Régal. Le Réalisateur Fabrice Du Weiz nous met une véritable baffe avec ce Revenge Movie Jubilatoire et Old School qui est digne des grands Polars Noirs des années 70. Pour Commencer la Mise en Scène est Stylé et Tendue et qui est servi par une BO trés efficace qui renforcent l'ambiance oppressant du long métrage. Ensuite le Scénario est rondement ficeler tout réussissant a nous maintenir en haleine sans le moindre répit pendant 1h40 de film,Ajouter a cela des Séquences D'Actions détonantes tout en étant magnifiquement chorégraphié ainsi qu'une bonne dose de Violence particulièrement brutale et sanglant a déconseiller aux âmes sensibles mais qui n'oublie pas pour autant d'y apporter quelques touches émotionnelles particulièrement puissantes. Enfin le Casting est inoubliable avec en tête l'épatant Chadwick Boseman qui nous livre une performance d'acteur hallucinante en campant Jacob King un homme assoiffée de vengeance dont l'acteur parvient a être charismatique et bad ass en en vigilant impitoyable, a ses cotés on retrouve une galerie de Seconds Rôles impeccables comme Luke Evans,Alfred Molina,Teresa Palmer et Tom Felton qui complètent cette distribution en béton. En Conclusion, Message From The King est une belle surprise dans le domaine du Thriller D'Action dont le cinéaste Fabrice Du Weiz parvient a nous livrer une œuvre a la fois Violent,Percutant,Poignant et Intense dont les amateurs du genre ne seront pas déçu par ce petit uppercut cinématographique a ne pas louper.
    cylon86
    cylon86

    2 510 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2017
    Parce que sa sœur a disparu sans laisser de traces à Los Angeles, Jacob King débarque de Cape Town dans la cité des anges pour la retrouver. Il ne lui faut guère de temps pour découvrir qu'elle est morte, assassinée et oubliée, comme tant d'autres avant elle. Jacob décide alors de retrouver la trace de ses assassins et de se venger... Avec un tel pitch, "Message from the King" s’affiche donc clairement comme un film de genre hard-boiled lorgnant du côté des années 70, du "Get Carter" de Mike Hodges, des Dirty Harry et du "Hardcore" de Paul Schrader. Du cinéma de genre comme on les aime avec une petite singularité en plus : il est réalisé par Fabrice Du Welz, le cinéaste belge à qui l’on doit "Calvaire" et "Alleluia". Ici, le réalisateur débarque sur le projet sans être à l’origine du scénario mais s’en empare avec un amour du genre qui ne s’est jamais démenti. "Message from the King" n’échappe donc pas aux règles d’un revenge movie : ambiance glauque, violence sèche et désespoir latent sont au rendez-vous sous le soleil d’un Los Angeles filmé en 35mm, rendant l’atmosphère du film bien particulière. Car au-delà de la violence graphique, c’est une violence plus sourde qui parcourt le film. La violence d’une ville cosmopolite qui s’en prend aux plus faibles pour les broyer, les laissant mariner dans des motels miteux ou sur le plateau glacial d’une morgue. Le Los Angeles de "Message from the King" est une ville où il faut se méfier de tout le monde. Dans sa quête de vengeance, Jacob aura tout de même le temps de se lier avec Kelly, une mère célibataire venue du Nouveau-Mexique, à la merci de cette ville cruelle. Âpre et violent, le film bénéficie du regard inédit de Du Welz sur la ville de Los Angeles. Si scénaristiquement, il reste classique dans son registre sans en bouleverser les codes, il n’en demeure pas moins un exercice de style viscéral et passionnant, écrin idéal pour que Chadwick Boseman puisse démontrer toute l’étendue de son talent dans un rôle sombre et torturé, entouré par de sacrés seconds rôles. "Message from the King", implacable jusque dans son dénouement, est donc une jolie réussite de la part d’un cinéaste amoureux du genre, décidé à secouer son public quoiqu’il arrive...
    NA10
    NA10

    33 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mai 2017
    Un bon revenge movie old school super efficace ! Et Black Panther en rôle principal est tellement bien !
    Si vous êtes amateur de bon polar, je vous le recommande !!
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 329 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mai 2017
    Aaaaah mais oui ! Ah mais je dis oui, et cela sans hésiter ! Moi, ce que j’adore avec des films comme ce « A Message From The King » c’est qu’ils savent être simples, directs, clairs et précis. La structure est classique, certes, mais ce n’est pas un désavantage quand, comme c’est le cas ici, on a affaire à un réalisateur et deux scénaristes qui maitrisent clairement leur sujet. Au contraire, pour ce « A Message From The King », c’est même tout l’inverse. C’est justement parce qu’on a à faire à un trio qui maitrisent sur le bout des doigts les codes du genre abordé que j’ai trouvé ce film d’une efficacité redoutable. Ce film, c’est un bijou d’écriture et de mise en scène. Dès la première scène, le mystère est posé sur ce personnage principal qui débarque à L.A. Qui est-il ? Quelle est sa véritable motivation ? On sent tout de suite qu’il nous cache quelque-chose. Et pour le coup, ça marche, parce que le personnage a suffisamment de subtilité dans son jeu pour qu’on se prenne tout de suite d’affection pour lui, même si d’un autre côté une part de nous-mêmes sent qu’il existe chez lui une zone d’ombre dont il va falloir qu’on se méfie. Bah ouais – j’en ai conscience – ça ne tient à rien, et pourtant toute la force et l’efficacité du film tient là-dessus. On ne perd jamais de temps. A peine une scène se finit que déjà la piste sonore de la suivante se fait entendre. Chaque scène est courte, allant à l’essentiel, et sachant fournir rapidement l’indice qui permet de justifier le basculement à la scène suivante. Chaque étape est très efficace, car chacune d’elle distille des informations supplémentaires qui nous permettent de peaufiner la perception que nous nous faisons de ce personnage principal si mystérieux, de cette intrigue qu’il cherche à résoudre, mais aussi de cet univers dans lequel il évolue… Et il joue un rôle important cet univers ! Pour le coup, le film nous donne l’occasion de voir L.A. du point de vue d’un étranger ; le point d’un homme qui ne court pas après un rêve illusoire… Ce regard désabusé mais ambigu, que chaque personnage alimente à sa façon, participe clairement à la mise en place de cette anti-fable sur l’American Dream qu’entend nous proposer ce « Message From The King ». Franchement, sur quasiment tous les points, Fabrice du Welz fait un sans faute. C’en est presque dommage que sur sa seconde partie, ce film en devienne davantage perfectible. Perfectible en termes de réalisation tout d’abord : les quelques scènes de bagarres sont par exemple bien trop agitées à mon goût. Ça les rend pas mal illisibles. Pour moi ça ne colle pas vraiment avec le reste de la réal qui est très posée. C’est dommage parce que pour moi c’est vraiment la seule fausse note du film en termes de mise en scène. Et pareil, en termes d’intrigue, le film qui savait se montrer logique de bout en bout sur toute sa première moitié sombre parfois dans la facilité en se permettant quelques « heureux hasards ». ( spoiler: Le camionneur qui débarque au moment où les deux ripoux s’apprêtent à tuer Jacob : quel heureux hasard ! Que les flics – pourtant payés cinquante plaques chacun – décident d’abandonner leur contrat sur Jacob au lieu de chercher à finir le boulot : quel heureux hasard aussi ! Que les bad guys mettent des plombes avant de se motiver à remonter la piste de la voiture et de l’appart de Jacob : ça aussi ça fait un sacré heureux hasard !
    ) Alors certes, ce ne sont là que des petites facilités scénaristiques pour faciliter le déroulement de l’intrigue. Et vu qu’elle est riche, je ne m’en plains certes pas outre mesure. Mais bon, ce genre de facilités, je trouve aussi que cela amenuise le pouvoir de l’intrigue. Quand on sent qu’au contraire les auteurs s’infligent de vrais contraintes draconiennes de vraisemblances, le ressenti n’est pas le même je trouve. Mais bon, franchement je pinaille parce que, dans l’ensemble, ce film est quand même d’une sacrée bonne facture. La justesse de la fin, qui sait entretenir jusqu’au bout l’aspect « multifacettes » du personnage principal, a su me faire oublier ces quelques menues approximations pour me ramener à l’essentiel, c’est-à-dire le fait que j’ai grave adoré ce film. J’avais aimé Fabrice du Welz pour son « Calvaire » ; je n’avais pas osé voir son « Vinyan » ni les autres longs-métrages qui avaient suivi. Mais je peux vous dire que son « Message From A King » est, me concernant, très bien passé. La prochaine fois, Fabrice, je ne t’oublierai pas.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    134 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2017
    une quête d'identité inspirée des années 80 qui a néanmoins quelques longueurs. Le eprsonage de King est très interessant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 avril 2017
    Message from the King est une magnifique transposition à l’écran de la chanson Laisse béton de Renaud. L’histoire est simple, le Black Panther de Captain America : Civil War veut apprendre un jeu rigolo à grands coups de chaîne de vélo à des salauds qui ont osé toucher à sa sœur. Chadwick Boseman leur a filé des beignes, les méchants lui ont foutu une torgnole et le héros leur a dit « laisse béton » ! Voici donc le résumé de ce nouveau film décevant de Fabrice du Weltz.

    Jusqu’à présent la filmographie de notre compatriote avait suscité un certain engouement de ma part. Calvaire, Vinyan, Code 45, et Alléluia avaient contribué à confirmer les qualités de metteur en scène de Fabrice du Welz. C’était sans compter cette immense déception subie au BIFFF vendredi dernier. Dieu soit loué j’ai pu profiter de ce film grâce aux répliques assassines des spectateurs du Festival du Film Fantastique. Devant les confessions d’une jeune mère de famille paumée, une voix retentit dans la salle : « On s’en fout ! ». Après une heure d’ennui, le héros découvre une sextape mettant en scène sa sœur, ce qui a au moins eu le mérite de provoquer la réplique d’un spectateur : « ça au moins, c’est un bon film ! ».

    Pourtant ce film n’avait pas trop mal commencé et l’idée de la chaîne à vélo fonctionnait très bien, permettant d’iconiser ce héros insignifiant dont la seule scène finale ne fait qu’asseoir la platitude du personnage. L’histoire est sans cesse alourdie par des sous-intrigues où se côtoient petite frappe, dentiste véreux et producteur pédophile dans un Los Angeles interlope influencé par John Carpenter (Invasion Los Angeles).

    Durant la présentation du film par le réalisateur, qui rétrospectivement n’a fait que mettre en exergue les lacunes en matière de références cinéphiliques, Fabrice du Weltz a poussé la chansonnette, coutume du BIFFF oblige, avec une magnifique La P’tite Gayole. On peut sans hésiter lui attribuer le prix de la chanson wallonne ! En revanche, si on se targue d’avoir pour influence le chef-d’œuvre de Paul Schrader, Hardcore, il faut au moins avoir les capacités de lui arriver à la cheville. De par son pitch, Message from the King fait penser à Get Carter, mais pas la version de Mie Hodges, celle de Stephen T. Kay, c’est dire ! Et encore, ce n’est pas très gentil pour Stallone…

    Et dire que le revenge movie avait été tellement décrié à l’époque des films de Charles Bronson ! Aujourd’hui, ce genre bénéficie d’une complaisance inouïe et d’une perte de valeur. Quand hier Charles Bronson, après avoir brutalisé la racaille de son quartier, allait vomir dans ses chiottes, aujourd’hui Chadwick Bosman trucide les responsables de la mort de sa sœur dans l’indifférence générale. On se fiche de ce qui va arriver au héros, on n’en a rien à foutre que sa sœur ait été tuée et on prierait même le ciel qu’il arrive quelque chose à ce Jacob King. En vain.

    Pour cette première incursion dans le cinéma de genre américain, on espérait mieux. Souhaitons que cet excellent metteur en scène retrouve plus de vigueur en revenant vers sa belle petite gayole…
    this is my movies
    this is my movies

    700 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2017
    F. Du Welz est un sympathique cinéaste belge qui a quelques bons films sur sa carte de visite et dont le talent formel lui permet de s'ouvrir de nombreuses et ainsi de se faire connaître auprès d'un plus large public. Pour son 2ème essai dans le cinéma mainstream (après l'échec de "Colt 45"), il part à Hollywood et signe un pur polar hardboiled lorgnant joyeusement vers le cinéma 70's et tout un pan du cinoche d'exploitation tendance revenge movie. Grâce à un solide casting et une belle direction d'acteurs, il signe une 1h20 environ de très haut niveau, au milieu d'un LA crasseux, écrasé par le soleil et la misère, pourri par une pluie battante et un assemblage disparate de rebus de l'humanité. Certains personnages sont troublants, certains plans sont bien plus parlants que des tunnels de dialogues (ce que le film évite souvent avec discernement), on navigue au milieu d'une affaire louche dont on découvre les ramifications petit à petit. Il en résulte un film certes violent mais maîtrisé, implaccable, parfois étourdissant mais qui n'arrive malheureusement pas à tenir la distance. Les 10 dernières minutes sont tout simplement ratées, avec une conclusion expédiée, comme si un autre type avait finit le film quand la musique est trop envahissante et finit par jouer contre les émotions. Reste donc un film certes imparfait mais très fort, percutant et parfois fascinant. D'autres critiques sur
    framboise32
    framboise32

    149 abonnés 1 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2017
    Jacob King, sud-africain, débarque à Los Angeles pour retrouver sa soeur. On ne sait pratiquement rien de cet homme solitaire et charismatique. Dans les bas-fonds de la ville, Jacob King va commencer à chercher la vérité. Il va alors minutieusement venger sa soeur. L'homme ne semble avoir peur de rien, ni de personne. Peu bavard, il cherche, affronte, tue, et nous laisse toutefois entrevoir des moments plus humains à l'encontre de sa voisine.

    Avec ce thriller tourné dans les rues de Los Angeles, le réalisateur affiche son amour et son influence pour les polars américains des années 70. Los Angeles est un personnage à part entière dans ce film. La ville de Los Angeles est filmé telle que l'on n'a pas l'habitude de la voir, cosmopolite et crasseuse. Les scènes alternent les plans baignés de lumière et les univers plus sombres et crasseux mettant en scène des images d'une violence froide.

    Les scènes de violence sont filmées d'une manière nerveuse. Le réalisateur filme ces scènes à coup de flash très rapides. Celà accentue le déchainement.Jacob King ne semble avoir aucun scrupule à frapper, torturer et tuer à mains nues ou avec une chaine de vélo. Il est froid et semble prendre de la distance avec toute l'agressivité dont il fait preuve. Le personnage est intéressant. A aucun moment on n'arrive vraiment à le saisir. Le personnage est énigmatique, fermé, silencieux. On a droit à une belle surprise à la fin du film. A l'instar des mafieux qui sont plutôt caricaturaux et des personnages qui évoluent autour de tout çà. Ce panel de personnages ne nous interessent à aucun moment. On peut aussi regretter le manque d'excès du scénario trop conventionnel. Les dialogues sont inexistants et le peu de conversations ne sont pas intéressantes.

    Chadwick Boseman (Get on Up, Black Panther) est l'interprète principal de ce thriller sombre et violent, Jacob King. Il est d'un charisme incroyable. A ses côtés un casting de qualité Luke Evans (la trilogie du Hobbit, Fast and Furious, La Belle et la Bête), Alfred Molina ou encore Teresa Palmer, dotés de personnages manquant d'épaisseur. Un peu dommage

    Message From the King est un film de "commande". En cela il manque de personnalité mais reste un polar avec une vrai ambiance et un anti-héros charismatique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 avril 2017
    Après "Colt 45", Fabrice Du Welz, réalisateur belge du très dérangeant "Calvaire", est de retour avec "Message From The King", une série b ultra-efficace qui fleure bon les 90's. Cerise sur le gâteau : elle est portée de manière impeccable par l'acteur qui monte Chadwick Boseman ("Black Panther", "Get on up").
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    247 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 avril 2017
    Faute d’avoir eu le contrôle total sur ce long métrage, Fabrice Du Welz signe avec Message From The King son plus mauvais film. S’il évite la catastrophe complète par le soin apporté à la réalisation, le rythme général est trop lent pour être le film totalement sauvage auquel on avait pu croire avec le premier extrait diffusé. Mais surtout le gros problème du long métrage est le manque de développement de l’ensemble des personnages à l’exception du héros avec une intrigue famélique et des méchants en carton qui semblent juste être bon à servir de punching ball. Nul doute que cette aventure américaine lui servira de leçon et qu’il en reviendra encore meilleur avec son prochain projet personnel. [lire la critique complète sur le site]
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    184 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2017
    Malgré un scénario assez basique, le film reste très captivant par le force de jeu de ces acteurs. Ambiance poisseuses, sombre, un autre regard de LA. Chadwick porte tout le film sur ses épaules.
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