Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
L'ensemble, coiffé comme l'as de pique, mais dénué d'affectation, est à l'image de ses héros. Perry rate une scène, réussit la suivante, dans un élan claudicant qui épouse la déglingue de leur parcours.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le road-movie dérisoire devient un voyage initiatique qui se conclura par une séquence à la fois logique et inattendue, trouvant son aboutissement au bout d'un plan, émouvant et comique à la fois, d'une dizaine de minutes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
"The Color Wheel" a la qualité de certains de ces films malins qui font en même temps leur autocritique. (...) C'est, au fond, à sa manière déviante (...), une comédie aussi romantique que caustique, qui serait certainement moins déglinguée et dissonante si le cinéaste oeuvrait dans un confort relatif. on lui souhaite donc de continuer à travailler dans la pauvreté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Au départ, une comédie indé chichiteuse qu'on présume horripilante (...). A l'arrivée, quelque chose finit par prendre, un charme foutraque, versatile. (...) Une réussite qui doit beaucoup à la sublime Carlen Altman.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Alex Ross Perry, qui est à tous les postes (acteur, réalisateur, monteur, producteur et scénariste), réussit un film insolite. Dérangeant. Et insolent. Avec un dénouement surprenant — et néanmoins logique — qui ajoute à la transgression.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
On ne parlera pas vraiment d'un ton nouveau, mais d'une oeuvre décapante; le moteur des dialogues étant l'acidité, voire la méchanceté, et le climat du film flirtant avec l'amoralité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Un banal Sundance movie, le temps d'une première heure crispante de tics indé ou de dialogues surécrits. Mais le film, comme l'un de ses modèles avoués - le séminal "Brown Bunny" - emporte la mise en toute fin.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Pascal Binétruy
Noir et blanc artiste, intrigue minimaliste, décors urbains anonymes, absence de profondeur de champ, virée en voiture et situations glauques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Critikat.com
par Carole Millerili
Alex Ross Perry confond flou artistique et flou tout court, saturant l'image de signes pour prouver son potentiel de cinéaste "plus indé qu'indé", avec un tel acharnement que l'agacement succède souvent à l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Première
par Isabelle Danel
C'est censé être drôle et décalé, mais ce n'est que bavard, roublard et pesant. Tenter d'être à la mode avec des idées démodées semble ici le comble du dandysme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
L'ensemble, coiffé comme l'as de pique, mais dénué d'affectation, est à l'image de ses héros. Perry rate une scène, réussit la suivante, dans un élan claudicant qui épouse la déglingue de leur parcours.
Le Monde
Le road-movie dérisoire devient un voyage initiatique qui se conclura par une séquence à la fois logique et inattendue, trouvant son aboutissement au bout d'un plan, émouvant et comique à la fois, d'une dizaine de minutes.
Les Inrockuptibles
"The Color Wheel" a la qualité de certains de ces films malins qui font en même temps leur autocritique. (...) C'est, au fond, à sa manière déviante (...), une comédie aussi romantique que caustique, qui serait certainement moins déglinguée et dissonante si le cinéaste oeuvrait dans un confort relatif. on lui souhaite donc de continuer à travailler dans la pauvreté.
TéléCinéObs
Au départ, une comédie indé chichiteuse qu'on présume horripilante (...). A l'arrivée, quelque chose finit par prendre, un charme foutraque, versatile. (...) Une réussite qui doit beaucoup à la sublime Carlen Altman.
Télérama
Alex Ross Perry, qui est à tous les postes (acteur, réalisateur, monteur, producteur et scénariste), réussit un film insolite. Dérangeant. Et insolent. Avec un dénouement surprenant — et néanmoins logique — qui ajoute à la transgression.
L'Humanité
On ne parlera pas vraiment d'un ton nouveau, mais d'une oeuvre décapante; le moteur des dialogues étant l'acidité, voire la méchanceté, et le climat du film flirtant avec l'amoralité.
Les Fiches du Cinéma
Un banal Sundance movie, le temps d'une première heure crispante de tics indé ou de dialogues surécrits. Mais le film, comme l'un de ses modèles avoués - le séminal "Brown Bunny" - emporte la mise en toute fin.
Positif
Noir et blanc artiste, intrigue minimaliste, décors urbains anonymes, absence de profondeur de champ, virée en voiture et situations glauques.
Critikat.com
Alex Ross Perry confond flou artistique et flou tout court, saturant l'image de signes pour prouver son potentiel de cinéaste "plus indé qu'indé", avec un tel acharnement que l'agacement succède souvent à l'ennui.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Première
C'est censé être drôle et décalé, mais ce n'est que bavard, roublard et pesant. Tenter d'être à la mode avec des idées démodées semble ici le comble du dandysme.