Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézenguar
Le plaisir de découvrir le nouveau film de Shinji Aoyama se double d'une délectation particulière, fréquente dans son oeuvre mais cette fois plus discrète donc plus intrigante : le plaisir de s'égarer dans une composition cinématographique aux éléments prégnants et mouvants, mobiles et immobiles, morts et vivants (et parfois les deux ensemble).
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Vincent Avenel
Gracile, léger, le cinéaste parvient à capter l'instant où se dénouent les fils, tandis que d'autres s'entremêlent déjà. Avec délicatesse, il parvient à nous donner à voir ce qui débute et ce qui se termine, ce qui persiste : en somme, ce qui valait la peine d'être raconté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
(...) plus classique dans la forme que les précédents films de son auteur, Tokyo Park se révèle néanmoins un croquis subtil et touchant d'une société en rémission.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si, par son contexte, le film peut, en partie, rappeler "Blow-Up", le film le plus hitchcockien d'Antonioni, c'est une fausse piste. L'enjeu, pour le cinéaste, est ailleurs : célébrer les vertus de l'amitié, du vivre ensemble. Sur ce plan, c'est convaincant, mais un peu terni par les nombreux leurres que le cinéaste sème sur le chemin.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Isabelle Regnier
[Le film] alterne des scènes au charme cristallin avec d'autres qui paraissent appuyées, mais dont le parfum, frais comme une pluie d'été, vous apaise toute sa durée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Shinji Aoyama nous emporte, grâce à une sobriété de mise en scène qui se révèle, à l'usage, bénéfique, dans une étrange méditation sur la vie et le rapport aux autres.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
[Le réalisateur] orchestre ici un jeu des hasards amoureux en forme de labyrinthe galant et mélancolique. Malgré une longueur pas toujours justifiée, il dessine une topographie incisive des confusions sentimentales et obsessions érotomanes dans le Japon d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Samuel Douhaire
Le film ne manque pas de charme (surtout grâce à ses jeunes actrices) et révèle quelques jolies surprises.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Positif
par Hubert Niogret
Banalité de caractérisation des personnages, superficialité dans le traitement des thèmes (...), déroulement narratif sans aucune relance, aplatissement de la mise en scène, absence d'idées dans un projet formel, rien ne permet d'espérer dans le dévoilement du film, ni dans les motivations pour la distribution en France.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Margot Delaunay
Le réalisateur en fait trop, les nombreuses sous-intrigues nous égarent, et le jeu caricatural des comédiens relève plus de la farce théâtrale type kyôgen que du film d'auteur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Le plaisir de découvrir le nouveau film de Shinji Aoyama se double d'une délectation particulière, fréquente dans son oeuvre mais cette fois plus discrète donc plus intrigante : le plaisir de s'égarer dans une composition cinématographique aux éléments prégnants et mouvants, mobiles et immobiles, morts et vivants (et parfois les deux ensemble).
Critikat.com
Gracile, léger, le cinéaste parvient à capter l'instant où se dénouent les fils, tandis que d'autres s'entremêlent déjà. Avec délicatesse, il parvient à nous donner à voir ce qui débute et ce qui se termine, ce qui persiste : en somme, ce qui valait la peine d'être raconté.
Les Inrockuptibles
(...) plus classique dans la forme que les précédents films de son auteur, Tokyo Park se révèle néanmoins un croquis subtil et touchant d'une société en rémission.
L'Humanité
Si, par son contexte, le film peut, en partie, rappeler "Blow-Up", le film le plus hitchcockien d'Antonioni, c'est une fausse piste. L'enjeu, pour le cinéaste, est ailleurs : célébrer les vertus de l'amitié, du vivre ensemble. Sur ce plan, c'est convaincant, mais un peu terni par les nombreux leurres que le cinéaste sème sur le chemin.
Le Monde
[Le film] alterne des scènes au charme cristallin avec d'autres qui paraissent appuyées, mais dont le parfum, frais comme une pluie d'été, vous apaise toute sa durée.
Les Fiches du Cinéma
Shinji Aoyama nous emporte, grâce à une sobriété de mise en scène qui se révèle, à l'usage, bénéfique, dans une étrange méditation sur la vie et le rapport aux autres.
TéléCinéObs
[Le réalisateur] orchestre ici un jeu des hasards amoureux en forme de labyrinthe galant et mélancolique. Malgré une longueur pas toujours justifiée, il dessine une topographie incisive des confusions sentimentales et obsessions érotomanes dans le Japon d'aujourd'hui.
Télérama
Le film ne manque pas de charme (surtout grâce à ses jeunes actrices) et révèle quelques jolies surprises.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Positif
Banalité de caractérisation des personnages, superficialité dans le traitement des thèmes (...), déroulement narratif sans aucune relance, aplatissement de la mise en scène, absence d'idées dans un projet formel, rien ne permet d'espérer dans le dévoilement du film, ni dans les motivations pour la distribution en France.
Première
Le réalisateur en fait trop, les nombreuses sous-intrigues nous égarent, et le jeu caricatural des comédiens relève plus de la farce théâtrale type kyôgen que du film d'auteur.