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Un visiteur
4,0
Publiée le 5 septembre 2014
Ce film est loin d'être une daube. C'est un film qui fonctionne si on comprend son second degré, et le côté surjoué (et non mal joué) est évidemment voulu. Without Men est cohérent d'un bout à l'autre et surtout assez osé pour un public américain (le prêtre qui couche avec ses fidèles, c'est plutôt rare à Hollywood). Je sais pas, peut-être trop féministe pour certains.
L'idée est bonne et aurait pu être mieux exploitée... Ce film est assez ennuyeux, pas drôle, les acteurs très mauvais et le scénario digne d'un collégien... La seule qui ne joue pas trop mal reste Eva Longoria.
Je met 1 et c'est juste pour Eva Longoria qui semble être la seule à avoir compris que c'étais un "FILM" et pas un casting pour le théâtre du lycée. Non, sincérement à part...le cadre très coloré mais qui ressemble à une maison miniature et des actrices plus inconnu que les autres (on se demande pourquoi d'ailleurs). Les blagues sont nullisimes, on s'ennuie terriblement. Le scénario...quel scénario ? Les dialogues ? Pourri. Et des scènes de cul qui viennent s'infiltrer dans le film avec des quadra mexicaines qui se touchent en regardant par la fenêtre d'une Eglise-Bordel. Mais faut pas déconner, même Marc Dorcel a fait mieux. A NE PAS VOIR (sauf pour Eva Longoria) mais laissé le film juste quelques minutes et vous verrez que vous ne pourrez pas aller plus loins qu'une heure, ce qui est mon cas. Le premier film que j'interrompt de toute ma vie.
Une bonne mise en bouche, un scénario bien senti mais on est vite lassé par les dialogues ridicules et les soit-disant gags qui tombent à plat. Une photographie colorée et une narration enjouée, mais ce film est une vraie galère.
Des acteurs de seconde catégorie, un scénario et des dialogues visiblement écrits par des ados boutonneux d'un classe de 4e, des portes ouvertes que l'on enfonce du début à la fin, des trucages dignes de la fête d'Halloween de l'école primaire située à côté de chez moi, un suspense aux abonnés absents... Pas de doute, toutes les caractéristiques du nanar sont réunies. Bien sûr, on pourra toujours essayer d'y voir une œuvre anticléricale, défendant bec et ongles les droits des gays et lesbiennes, prônant une égalité hommes-femmes, mais en fait non.
L'idée aurait pu être amusante mais la mise en scène manque vraiment de rythme et le personnage de Christian Slater ne fait finalement qu'une brève apparition...