En général,on est friands des comédies belges avec leur humour absurde,burlesque qui se permet de balançer sur tout et n'importe quoi avec vigueur et inventivité. Sauf que là,on passe son tour. "Il était une fois une fois" n'existe que pour son seul postulat: l'image peu glorieuse des Belges par les Français. Et c'est parti pour 90 minutes de blagues vaseuses,d'accents râpeux et de numéros d'acteur de cirque. FX Demaison se ridiculise en pseudo prince belge,et Anne Marivin se commet encore dans une niaiserie. Seul Jean-Luc Couchard,zébulon wallon bien énervé met un bon coup de pied dans la fourmilière. Entre les situations vaudevillesques même pas drôles et une histoire d'arnaque hôtelière à coucher dehors,on a là une nouvelle comédie bas de gamme,sans script préalable.
ce film est une énorme daube je m'attendais à largement mieux le pire c'est que c'est méme pas drole c'est hallucinent tellement que c'est sur-jouer et mal interprété ce film est à éviter d'urgence
C'est marrant comment certains moments peuvent apparaître comme des coïncidences. Dans une critique postée seulement hier, je disais qu'en fin de compte, un bon film pouvait se reconnaître dès ses cinq premières minutes. Eh bien là, je peux réutiliser ce propos à l'identique, sauf que pour l'occasion, c'est pour préciser que cette remarque marche aussi pour les gros bousins. C'est marrant, dès le générique, le film ne respire pas la grande inspiration : quelques split-screens, avec en surimpression d'un côté un manneken pis d'un côté et une Tour Eiffel de l'autre ; puis un autre split avec ce coup-ci un atomium et une tour Eiffel... Déjà là je me suis dit que ça n'augurait rien de bon. Seulement voilà, ce n'est pas fini, puisque juste derrière on se tape les mêmes premières images avec encore un manneken pis et un arc de triomphe en surimpression ! Là, je me suis dit : putain, ça fait travail fait à l’arrache. D'ailleurs, il suffit de cinq minutes pour se rendre compte que les images utilisées dans le générique sont en fait les premiers plans du film. A ce moment, j'ai pensé aux génériques de dessin-animés qu'ils passaient sur la Cinq dans les années 80 et 90 et dont la version française était torchée à la va-vite parce que les distributeurs de l'époque se disaient que des gamins ne verraient pas la différence entre du travail de branleur et du travail bien fini. Eh bien là c'est pareil ! Voilà ce que j’ai ressenti sur les deux seules premières minutes du film : qu'on allait bien me prendre pour un con. Et si je me suis autant étendu sur le générique, c’est qu'effectivement, le film est à sa totale image. Filmé sans idée, écrit sans idée, joué dans idée. Je ne sais pas si, en affichant fièrement au casting les noms de Jean-François Damiens et Jean-Luc Couchard le film cherchait à rameuter les fans de "Dikkenek" ou bien ceux de "Rien à déclarer". Pour moi la réponse fut vite trouvée. Peut-être que tout le monde ne sera pas d'accord, mais en tout cas une chose est sûre : moi je fais partie de la première catégorie et je suis resté comme deux ronds de flanc face à ce vieil humour ringard sans subtilité ni dimension corrosive. Désolé à ceux qui aiment les vieux films avec Jean Lefebvre, mais moi je ne peux pas m'empêcher de voir cet "Il était une fois..." comme une vieille pochade d'un autre temps totalement décalé avec son temps et surtout horriblement creuse et pompière. Quel dégoût ! Plutôt devrais-je dire : quel foutage de gueule !
Le jeu des acteurs est franchement mauvais à en faire des caisses, et beaucoup de blagues nécessitent une connaissance de la Belgique un peu trop pointues pour moi je pense (ou alors les blagues étaient nazes mais j'espère que c'est la première solution).
Une farce belge parfois un peu lourde, parfois drôle, on esquisse un sourire de ce Oceans Eleven en mode gaufre au chocolat. Si FX Demaison fait le job comme d'habitude, la fin du film nous offre un chapelet de médiocrité et de bons sentiments.
François Xavier Demaison est une nouvelle fois bien mauvais dans cette chose. Pourquoi ne se lâche-t-il pas !!? C'était déjà la même chose dans "la chance de ma vie" par exemple... Pourquoi toujours vouloir sortir le jeu de l'homme sentimental alors que dans telle production on veut juste s'amuser et rigoler ! Heureusement qu'il existe des acteurs comme Jean Luc Couchard voire Anne Marivin (pas au top cependant) pour tenter de nous faire sourire, voire rire. Pas grand chose à dire sur ce film si ce n'est que j'ai du mal à comprendre qu'il ait eu des nominations. Aucun intérêt si ce n'est peut être 2 ou 3 blagues belges. Le film, à vouloir aller de partout, nous entraine nulle part.
J’ai d’abord cru que ce film allait tenter de dénoncer le racisme français envers les belges mais, au contraire, le réalisateur semble ne vouloir que faire passer les belges pour des cons. Pour cela il utilise une masse de clichés digne de celle de BIENVENUE CHEZ LES CH’TIS. Au-delà de cet humour bien lourd, le scénario se base sur une petite histoire d’arnaque et de vol qui se dit être une parodie d’OCEAN’S ELEVEN. Cette trame ne prend un certain intérêt que dans le dernier quart d’heure alors qu’un semblant de suspense commence à se mettre en place avant de finir sur une conclusion ringarde à souhait.
Un enième film Français où les Belges passent pour des idiots et des abrutis. Parlant tous avec un accent Bruxellois (que même les Bruxellois n'ont plus de nos jours) en mettant des "une fois" dans toutes les phrases et à toutes les sauces !!! Et que dire des "Blagues sur les Belges" à gogo toutes les 2min jusqu'à l'indigestion... Les Français nous regarde toujours avec condescendance, suffisance et de façon dédaigneuse. Moi j'appelle cela du racisme. De la part d'un Belge qui s'exprime parfaitement dans la langue Française, qui a fait des études et qui a une sympathique famille accueillante et chaleureuse qui serait ravi de prouver aux Français que les Belges ne sont pas des sauvages illettrés sortis tout droit de leur forêt.
Après braquage à l'italienne et braquage à l'anglaise, voici braquage à la belge. Une comédie avec accent fort sympathique qui se regarde avec plaisir et tendresse. J'ai passé un bon moment de détente avec les facéties de nos chers voisins. Agréable sans plus.