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    Blancanieves
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    tyrionFL
    tyrionFL

    22 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 octobre 2023
    Blancanieves propose la particularité d'être un film muet, en noir et blanc et avec le format pellicule de l'époque des années 20 reprenant le mythe de Blanche-Neige mais dans un univers contemporain à l'Espagne des années 20.
    Si le parti-pris est déjà osé et original, Blancanieves se distingue surtout, notamment d'un film auquel on pourrait penser vu le concept, The Artist, par sa volonté purement moderne de la mise en scène, du cadrage et du montage.

    En effet, le film se permet beaucoup de fantaisies peu ou pas présentes dans le cinéma de l'époque comme des surimpression, des contre-plongées, du montage cut, du montage alterné, des jump cuts, des images subliminales, des match cut (voir l'émission Déjà Vu de Rafik Djoumi) et autres.
    Ce n'est pas seulement ça Blancanieves, c'est aussi une fusion entre l'histoire originale des frères Grimm et l'histoire d'une toréadore du XXème siècle et cela réserve pas mal de surprises, beaucoup plus que vous pourriez l'imaginer de la part d'une énième adaptation du conte.

    Enfin, comment ne pas revenir sur la beauté du film avec un sublime noir et blanc d'autant plus magnifié par une mise en scène légère et parfois subtile.
    J'aime notamment les plans faisant référence au cinéma impressioniste allemand et plus globalement au cinéma des origines.

    Blancanieves est un bijou, une oeuvre d'auteur singulière ou se cotoit ancien et moderne à merveille.
    Et surtout, ne croyez pas qu'un film d'1h40 muet peut vous ennuyer car toutes les problématiques du format ont été adaptés à notre époque (ou presque).
    traversay1
    traversay1

    3 558 abonnés 4 856 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2013
    Un film en noir et blanc et dépourvu de dialogues ? Non, il serait vain de comparer The Artist et Blancanieves. Le premier est un hommage appuyé au cinéma muet américain, le second se nourrit d'expressionnisme allemand avec Freaks de Tod Browning en clin d'oeil malicieux. Mais cette relecture étonnante de Blanche Neige, en terre andalouse, dans les années 20, sur fond de tauromachie et de flamenco, est un film moderne qui n'utilise que certains codes du cinéma d'avant le parlant et quelques éléments du conte des Grimm pour mieux imposer une patte originale et personnelle dans le registre du drame. La photo est somptueuse, les trouvailles visuelles abondent et l'interprétation médiane entre les outrances de jeu d'antan et une sobriété de bon aloi. Et quelle élégance et fluidité dans une mise en scène sans cesse inventive ! Le tempo est donné par les arpèges d'une musique symphonique quand une complainte plus ibérique ne vient pas dynamiser le film. Des séquence en accéléré se dégustent à un moment clé sur fond de castagnettes endiablées. Inouï ! Blancanieves, malgré une première partie parfois laborieuse, prend de l'ampleur dès que son héroïne recouvre sa liberté et retrouve sa joie de vivre au sein d'une troupe de 6 nains (oui, 6 !) tauromachiques (sic). Poétiques, lyriques, euphoriques, les scènes s'enchaînent avec grâce jusqu'au dénouement d'une sublime tristesse. On en oublie les références au cinéma du passé pour célébrer un oeuvre à nulle autre pareille, incroyablement cruelle comme tout conte qui se respecte.
    BeatJunky
    BeatJunky

    149 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 avril 2014
    Grandiose, je partage totalement cette impression ! Ce film muet n'a vraiment rien à envier à "the artist" et je dirai même qu'il le surpasse par moment. Très belle histoire attachante et très touchante grâce à une formidable prestation de Macarena Garcia mais aussi de la petite, toutes deux magnifiques, quel regard ! Le pari était osé de retranscrire le conte de BlancheNeige dans le milieu de la tauromachie mais c'est réussi ce qui rajoute encore du positif dans ce que je pense du film. Quelques passages surjoués mais qui ne plombent pas le film, le surjeu étant plus supportable dans ce genre de film. un noir et blanc bien senti et adéquate y contribue également. Bref, tout est bien calculé et bien pensé: scénario, mise en scène, interprétation.... le tout avec de l'originalité vous donne un très beau film à voir absolument!
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 juillet 2013
    En Andalousie dans les années 20, la petite Carmen, né d’un père Toréador de renom et d’une danseuse tout aussi célèbre sera Blanche Neige. Inutile d’en dire plus, la première scène est tellement forte que dévoiler la suite est vous faire perdre la surprise de la mise en place de l’histoire. C’est le conte originel revisité par un réalisateur de talent espagnol : Pablo Berger. La trame est Blanche Neige car élevé par une belle mère acariâtre jouée par une formidable comédienne : Maribel Verdu. Cette odieuse femme jalouse de sa belle fille mais non par sa beauté, mais parce qu’elle lui vole la vedette médiatique et qu’elle se retrouve en page 6 du magazine en vogue ; voilà un signe de modernité dans le propos. De même cette belle mère sadique est montrée comme un pervers sexuel chevauchant son chauffeur cravache à la main. C’est pas fini le chauffeur devant assassiné Carmen (Blanche Neige) n’échouera pas par pitié comme dans le conte mais à cause de sa libido. Continuons : sans user de la morbidité primitive de Tod Browning, les 7 nains sont exploités comme une curiosité de foire à la « Freaks » : film référence des années 30. Une lecture tout espagnole, moderne et orientée sur le désir se démarquant du conte initial. Blanche Neige deviendra aussi tour à tour Alice, Cendrillon (l’enfant esclave) et au final La belle au bois dormant.
    Ce film est une véritable féérie poétique, très personnelle, visuellement étincelant, intelligent et loin des clichés. Une grande réussite, épatant. L’exploitation du noir et blanc très prisé en ce moment est plus proche ici de « The Artist » que de « Tabou » du fait qu’il reste assez ancré dans les racines du genre : format 4/3, noir et blanc, muet constant, musique accompagnant chaque scène. Celle-ci pourrait être à la longue assommante mais non elle sublime constamment le film ; la bonde son est très inventive faîte de sonorités traditionnelles souvent mais toujours au service de l’histoire et au diapason des mouvements de champ. L’absence de dialogue est même un plus, le jeu des acteurs sert totalement l’émotion ; le réalisateur est même très avare de cartons de texte, il aurait même pu y en avoir aucun tellement l’image suffit à elle-même. Ici contrairement à « The Artist » qui rendait magnifiquement hommage aux films d’époque et donc plus scolaire et nostalgique ; la modernité est au rendez vous car il ose.
    Beau et cruel jusqu’à la dernière larme… A voir impérativement…
    islander29
    islander29

    859 abonnés 2 353 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 janvier 2013
    J'avais confessé m'être ennuyé devant l'apathie maniérée de "Tabous".....Alors je pousse un ouf de soulagement après la vision de ce film.....Cette Blanche neige des frères Grimm est revisitée dans un contexte hispanique qui lui ajoute de la subtilité et de la profondeur....C'est peu dire.....
    Beauté du noir et blanc, musique exclusivement espagnole, chuchotements de guitare, de flamencos feutrés, la technique est un régal, avec des références picturales parfois à la Dali, ou la Goya (je pense à la scène de photo avec le père décédé où ironie culturelle on demande à la personne qui pose avec le mort un surprenant "SOURIEZ".....)
    Et puis il y a l'histoire de ce drame, une histoire sur fond de tauromachie, où l'émotion des personnages est permanente (un peu comme dans "the artist"), l'histoire d'une petite fille qui perd sa mère à la naissance et son père quelques années plus tard......Carabosse est aussi dans l'histoire, gothique et jalouse, et puis plus tard les sept nains difformes comme s'ils étaient sortis d'un film en noir et blanc deTed Browning appelés Freaks, comme le rappelle judicieusement un internaute.....
    Voila un film qui fera carrière d'une façon ou d'une autre dans l'histoire du cinéma, il a trop de qualités pour en être autrement (du moins je le lui souhaite).....
    Frédérik P.
    Frédérik P.

    106 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 juin 2013
    Dans Blancanieves, il y a un aspect authentique qui nous ramène aux premiers films étranges. L’utilisation des nains itinérants qui finiront dans une foire n’est pas sans rappeler l’étrangeté de Freaks, la monstrueuse parade ou Elephant Man. Le mélange de ce genre avec celui l’Espagne et la tauromachie fait de cette version de Blanche Neige un objet fascinant qui rappelle toute la monstruosité et l’étrangeté initiales des contes de Grimm avec une grande et belle modernité.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    167 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2013
    Le projet initial ne me paraissait pas très convaincant. Pas plus que les 30 premières minutes où l'histoire est très manichéenne et filmée en reprenant tous les poncifs des contes au cinéma. Mais il faut reconnaître que plus le film avance, plus le charme opère. Il y a des plans superbes, la transposition dans l'Espagne tauromachique est très réussie et l'actrice principale est merveilleuse. On oublie totalement que c'est muet. Un très bon moment !
    Piwi47
    Piwi47

    42 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 février 2013
    Qui a oublié le formidable parcours de « The Artist », couronné de prestigieuses récompenses au Festival de Cannes, aux César, et même les Oscars l'année dernière. Un sacre critique doublé d'un véritable carton public si l'on compte les 133 millions de dollars amassés par le chanceux producteur français Thomas Langmann, épaulé par son comparse américain Harvey Weinstein.

    Devant cette moisson de billets verts, il paraissait évident que le cinéma muet allait spéculer des petits. Et c'est du côté de l'Espagne que le premier émule sort dans les salles, intitulé « Blancanieves », ou une relecture du célèbre conte « Blanche-Neige » des frères Grimm.

    Réduire « Blancanieves » à une pâle copie de « The Artist » serait désavouer l'époustouflant travail de dépoussiérage du conte effectué par Pablo Berger, ainsi que l'excellent twist pris par ce dernier, en mêlant corrida / récit légendaire de la princesse « Blanche-Neige », pour offrir in finale un spectacle propice à tatouer les mémoires. On a beau connaître l'histoire sur le bout des doigts, le suspense et l'émotion demeurent intactes comme au premier jour.

    Bohème et poétique, tendre et mélancolique, gothique et flamenco, « Blancanieves » transpose le célèbre conte dans l'univers de la tauromachie. Les 7 nains et la célèbre princesse forment dès lors une troupe attendrissante de toreros, dont on veut absolument connaître les aventures et auxquels on s'attache sans retenue.

    Ceci étant, le film de Berger recèle d'autres merveilles et étrangetés, puisqu'il est aussi question, à travers la thématique de l'enfant-esclave ou l'abord final du baiser échangé entre la dame et son prince, d'un hommage déguisé à certains des autres contes populaires de la fratrie Grimm que sont « Cendrillon », ou « La Belle au bois dormant ».

    Avec son « Blancanieves », Pablo Berger, à l'instar de son collègue Européen Michel Hazanavicius, reboot le cinéma muet en proposant une œuvre méticuleuse et ambitieuse. Il balaye un panel gigantesque d'émotions, depuis la délicatesse à la sublime interaction opérant entre les nains et la princesse, tout cela regorgeant d'affects.

    Agrémenté d'un travail musical superposable à celui de Ludovic Bource sur « The Artist », signé ici Alfonso Vilallonga, et d'un montage sonore ébouriffant, la version andalouse et muette de « Blanche-Neige » charme et émeut à chaque plan.

    Côté casting, si l'égérie des nains est incarnée avec justesse par Macarena Garcia, véritable garçon manqué, c'est surtout Maribel Verdù qui tire son épingle du jeu en interprétant avec brio la sadique belle-mère.

    Bilan : « Il était une fois...Un conte splendide au charme vénéneux » peut-on lire sur l'affiche de « Blancanieves », vérifiable et vérifié. Une ode aux grands cinéastes des années 20. Un opéra muet noir & blanc. Un réel chef d'œuvre !
    Serge K
    Serge K

    14 abonnés 347 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2019
    Très beau film muet tout en poésie, et sensibilité la performance des acteurs est superbe, des faciès à la Fellini, la photographie aussi,
    shmifmuf
    shmifmuf

    178 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mars 2014
    Le cinéma muet en noir et blanc aurait-il un second souffle après le triomphe de "The Artist" ?
    Plus sérieusement, Blancanieves est autre chose qu'une bonne idée pour devenir un bon plan à récompenses. Cette variation ibérique de "Blanche-Neige" est à la fois singulière et fidèle à l'esprit d'origine du conte des frères Grimm. Sa fin est à la fois troublante, saisissante et macabre.
    Ce film est pour moi plus qu'une simple curiosité.
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2013
    Avec cette relecture de l’histoire de Blanche-Neige, Pablo Berger nous propose un film lumineux, poétique, drôle, cruel ; un vrai conte qui se nourrit de tous les codes propres à ce genre et qui s’adjoint ceux du mélodrame. Muette et filmée en noir et blanc, cette histoire belle et tragique ne pouvait trouver meilleur écrin que ces choix de narration. Les acteurs du film sont particulièrement expressifs et magnifiquement mis en valeur par une mise en scène ébouriffante ainsi que par une partition musicale tout aussi extraordinaire. La composition de Maribel Verdù en belle-mère monstrueuse est un vrai régal. Il est toutefois triste de constater que le poids des ans n’a guère été favorable envers Angela Molina qui a bien mal vieilli.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    688 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2014
    Wow, regardant ce long métrage plus par curiosité que pour autre chose je n'en attendant franchement pas grand chose! Ma surprise en fut ainsi d'autant plus grande! Car même si cette relecture de "Blanche neige" n'apporte rien de plus à l'histoire de base, ne la transformant pas vraiment, se contentant de la placer dans un contexte et une époque différents, ne prenant que de réelles libertés sur la toute fin, qui offre plusieurs interprétations possibles, "Blancanieves", film plus ou moins expérimental, réserve son lot de qualité et de magnificiance! Car l'aspect technique est juste magistrale! Entre une photographie tout simplement sublime, offrant des contrastes magnifiés par l'image en noir et blanc, un cadrage parfait, et un montage épileptique et d'une qualité rarissime, "Blancanieves" à des arguments à revendre dans la technique de réalisation! Le montage reste le plus intrigant dans cette histoire, superpositions d'images, transitions étonnantes et inattendues, enchaînement rythmés de plans et de situations ultra prenants! On peut citer également les actrices convaincantes entre une blanche neige lumineuse et rafraîchissante et une sorcière noire qui se rapproche de Cruella! Le long métrage offre également un bon nombre de scènes fortes et memorisables, comme la mort du père, l'arrivée des spectateurs dans l'arène qui rappelle un peu une avancée de zombies assez étonnante, les retrouvailles entre père et fille, le passage dans l'arène de Blanche neige, et j'en rate et des meilleurs! Excellente surprise et entre les trois adaptations de Blanche neige en 2013 c'est incontestablement celle ci la meilleure!
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 mars 2013
    Enorme coup de coeur pour ce film espagnol, noir et blanc et muet, que je classe sans hésiter parmi les meilleurs films de cette année 2013.
    la forme est magnifique, le fond est captivant.
    La forme : un Noir et blanc étonnant d'expressivité, alternant des plans larges qui rappellent Griifith et des plans très serrés sur des visages bouleversants à la Murnau. Une musique flamenco hypnotisante. "The Artist" dont on a (trop ?) loué l'originalité est ringardisé en 15 minutes !
    Le fond : Blanche-neige - mais aussi Cendrillon et la Belle au bois dromant - revisité dans l'Espagne des années 20. Sa mère meurt en couches le jour où la carrière de son père, un torrero immensément célèbre, est brisée par un taureau excité. Cloué sur une chaise roulante, il épouse en secondes noces son infirmière qui abuse de sa fortune, le trompe avec son chauffeur (splendide scène SM qui relègue les photos d'Helmut Newton au rang de vignettes vulgaires) et persécute sa fille.
    Belle comme le jour, Blanche-Neige échappe de peu à la mort et est recueillie par une troupe de (six !) torreros nains. Elle devient célèbre en marchant sur les traces de son père, jusqu'à revivre, dans une ultime scène paroxystique, le drame de ses origines.
    Ce film novateur a accumulé les Goyas - l'équivalent des Césars en Espagne. Il n'a pas connu ici le succès qu'il méritait. A voir en DVD si vous avez raté la sortie en salles.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 février 2013
    Dans les années vingt en Andalousie, Blanche-Neige c’est d’abord une Carmencita espiègle et douce avec son papa torero victime d’un accident de corrida. Puis une fière Carmen, éprise de tauromachie et de guitare flamenco. Souriante et dévouée avec tous, y compris sa mère adoptive qui la conduira à la mort par une folle jalousie. Sauf qu’ici, l’affreuse marâtre est une sombre beauté, narcissique et libidineuse ! Et les nains qui entre temps adoptent la pure jeune fille sont ceux d’un cirque ambulant, courant à l’époque. Tout a l’air en place dans cette Blancanieves. Comme dans le conte de Grimm, il y a la goutte de sang qui perle comme la fin de l’innocence enfantine, comme ces jeux avec des nains asexués, ; il y a la pomme empoisonnée, suivie de la mort… mais sans le réveil ! Ou juste une très belle larme qui coule pendant l’ultime hommage des nains affligés. La légende de Blanche-Neige, revisitée par un cinéaste espagnol talentueux, cela donne surtout un très beau film, en noir et blanc et muet, original et sensible. Belle musique, bons acteurs. Olé ! Ca vaut deux oreilles et la queue.
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    59 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juin 2013
    Superbe. Musique, décor, belle femmes, costumes et une pointe de suspens, tout y est.
    Bon j'ai pas résumé le film de la meilleure manière mais pour ceux qui ont aimé "The Artist" foncez voir Blancanieves. On flirt avec le chef d'oeuvre pour ma part.
    Je ne sait pas si je préfère l'un ou l'autre mais les 2 remettent le muet au gout du jour avec les moyens du 21ème siècle pas sans talent ni imagination !

    Blancanieves est beau, festif, parfois triste mais un véritable conte à regarder avec ses enfants.
    Ce qui pour leur culture sera plus utile qu'un "Twilight"ou un "Springbreak" même si ces deux derniers ne peuvent évidemment pas tenir la comparaison. Vive le muet. Bon film à tous
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