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    Blancanieves
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    3,8
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    221 critiques spectateurs

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    Claire undefined.
    Claire undefined.

    4 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2013
    Un film tout simplement superbe, comme son noir et blanc...
    Ma critique sur:
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 novembre 2013
    Ce film est un chef d'oeuvre.
    Le sujet est traité avec force et originalité mêlant des thèmes très forts sur l'existence humaine. L'esthétique est parfait, les formes, les ambiances le noir et le blanc sont explosif et les personnages jouent à merveille avec la caméra. génial metteur en scène.
    Film difficile mais combien excitant et puissant
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    209 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2013
    Que Séville est belle dans sa lumière éblouissante filmée dans un Noir et Blanc sublime par le jeune Pablo Berger ! Que sa musique et ses toros sont sublimes dans ce conte cruel qui fait se rencontrer les thèmes pourtant usés de "Blanche Neige", l'expressionisme allemand et la culture andalouse ! On craignait l'effet de style, les citations lourdes, ou la mise en abysme, on redoutait une déclinaison d'une nouvelle mode lancée par "The Artist" : et voilà, rien de tout cela ici, seulement l'utilisation d'une forme "morte" (le format 1:33, le Noir et Blanc, le muet) qui se révèle "immortelle", pour exprimer des sentiments éternels (jalousie, amour, etc. etc.) avec une urgence, une vitalité étonnantes. Berger prouve que le raffinement esthétique ne tue pas l'émotion, et que la parfaite connaissance de l'histoire du cinéma ne saurait être un carcan. On notera surtout la conclusion, surprenante par sa méchanceté et son pessimisme, qui force le spectateur à reconsidérer les scènes plus ludiques qu'il aura un peu prises pour argent comptant (le conte de Grimm dans une mise en scène baroque) auparavant. "Blancanieves" est une parfaite réussite.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 avril 2013
    Un beau film muet en noir et blanc, virevoltant, avec des musiques entraînantes et un scénario original remarquablement mis en scène ! Un film riche en émotions et haut en couleurs ! Et qui ne fait en aucun cas l'apologie de la tauromachie mais retranscrit avec authenticité et fantaisie (le fil conducteur du film est le conte de Grimm "Blanche-Neige"), la vie dans l'Espagne des années 20. La corrida est présente dans le film et on peut difficilement l'occulter car c'est une réalité historique et culturelle du pays...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 décembre 2013
    Gagnant d'une dizaine de Goya ( Équivalent des Oscars en Espagne), Blancanieves nous plonges dans le cinéma muet en nous offrant une relecture de Blanche-Neige et les Sept Nains à la sauce espagnole, rajoutez des torreadors, du flamenco, de la vengeance et vous aurez un film en noir et blanc bien mieux que le sur-médiatisé "The Artist", c'est dit ! Carmen, belle jeune femme danseuse de flamenco à Séville et marier avec le plus célèbre toreador; Antonio Villalta. Un jour alors que celui-ci se produit devant une foule d’innombrable personne, et devant sa bien aimé futur mère de son enfant, il est fauché par un taureau le laissant paralysé. Traumatisé par la vu que dégagé ce triste spectacle Carmen perd les eaux et se voit contrainte de ce fait d'accoucher. L'accouchement tourne mal; Carmen décède laissant sa fille et son époux. Antonio paralysé et seul fait confiance à une infirmière assoiffé par l'argent et la gloire qui va le détruire, le privant de sa fille; Carmen. Dans ce compte digne des frères Grimm tout est maîtrise, en plus d'un casting qui place la barre au plus au niveau, le film étant mué est donc accompagné de musique, musique qui colle parfaitement avec le film, ne laissant aucune scènes privés de son accompagnement !
    La magie des films mués d’antan reste intacte nous livrant des rires et des larmes comme bien des films parlant ne peuvent nous tirés. Blancanieves c'est une belle surprise du cinéma espagnol nous faisant oublier la piètrerie du dernier Almodovar, et nous prouve que même en étant complètement fauché, ce pays arrive encore à nous faire rêver avec des histoires magnifiques.
    Sublime, à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 avril 2013
    Un film dont le descriptif attire l'intérêt, mais qui s'avère d'une esthétique lourdingue, d'un récit convenu et de personnages ne dépassant pas la profondeur de dessins animés pour enfant.
    Sasuke R.
    Sasuke R.

    52 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2013
    Le cinéma muet espagnol ne possède pas un patrimoine des plus immenses. C’est pourquoi la venue de Blancanieves, un peu moins de 90 ans après l’arrivée du parlant, a de quoi intriguer. L’histoire, c’est celle de la petite Carmen, fille de toréro paralysé, confiée à une belle-mère des plus détestables. Après une enfance tumultueuse, Carmen et devenue une très jolie femme. Prise en chasse par le majordome de la maîtresse de maison, elle manque de peu la noyade, sauvée par une troupe de nains saltimbanques. Ces derniers la recueillent et la guident inconsciemment vers son passé – qu’elle a désormais oublié, remplacé par le nom de Blancanieves… Quand l’on peut voir un peu partout Blancanieves comparé à The Artist – deux films qui n’ont pas plus à voir que deux longs métrages parlants de genres différents avec une nationalité différente –, il y a de quoi s’offusquer. Ceux qui ne savent rien du cinéma en ses premières années pourront toujours s’émerveiller à la vision de ce qu’ils considèrent comme inédit : l’audace du réalisateur consistant à ressusciter une époque déchue ne doit en rien constituer une assurance de qualité. Et pour sûr, le long-métrage de Pablo Berger n’a vraiment rien de bien extraordinaire. Si l’on devait attribuer une seule et unique qualité à Blancanieves, cela serait probablement la singularité de son aspect « adaptation » – puisque sous ses airs caliente, le film est aussi un dépoussiérage du mythe de Blanche-Neige et les 7 nains, pour la troisième fois en très peu de temps. Aussi, le charme de la joyeuse bande itinérante de nains parvient sans mal à retranscrire l’univers des années 20… La retranscription du conte se mêlant alors plutôt bien à l’Espagne des toréros, l’enjeu de Blancanieves en ressort plutôt réussi. Scénario convaincant, donc. Par ailleurs, les interprétations de comédiens sont en tous points satisfaisantes, du premier rôle au plus petit. De Macarena Garcia (belle découverte) aux sept nains en passant par l’excellente Maribel Verdu (Tetro, Le Labyrinthe de Pan). Si Singin’ in the Rain abordait avec humour la maladresse des acteurs de muet à s’adapter au parlant, Blancanieves démontre que l’inverse demeure bien plus aisé. De plus, Pablo Berger ne tombe à aucun moment dans le piège de l’anachronisme involontaire. Cependant, il est certain que Blancanieves à tend à jouer de sa singularité – au 21ème siècle, j’entends – pour délaisser les simples mais indispensables bases de la mise en scène. Si quelques scènes impressionnent par la tension qu’elles dégagent, le film dans son ensemble s’avère trop peu passionnant pour côtoyer l’excellence de bout en bout. Il s’en dégage ainsi certaines longueurs quelque peu décevantes. D’autant plus que les quelques trouvailles esthétiques que l’on attribuera au long-métrage finissent par lasser, faute d’être régulièrement exploitées. En résulte un style visuel plutôt intéressant, qui repose tout de fois trop sur la beauté naturelle du noir et blanc granuleux. En conclusion, Blancanieves – s’il confirme la tendance des films de patrimoine à revenir plus nombreux dans les salles – n’a rien d’une très grande surprise en ce qu’il n’a finalement pas grand-chose d’extraordinaire si ce n’est sa carrure de film muet. Le long-métrage s’avère toutefois plutôt bon, merveilleusement mis en musique par Alfonso de Vilallonga dans une bande-originale qui donne envie de taper du pied, au rythme des pas de danse.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 avril 2013
    pas aimer car j'ai appris que 9 taureaux ont été réellement tué pour ce film!
    Il existe pourtant des moyens avec images de syntèse ou autre pour éviter de la torture animal!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 avril 2013
    Olé !!!

    Résumé : spoiler: sud de l’Espagne, dans les années 20. Carmen est une belle jeune fille dont l’enfance a été hantée par une belle-mère acariâtre. Fuyant un passé dont elle n’a plus mémoire, Carmen va faire une rencontre insolite : une troupe ambulante de nains toreros qui va l’adopter et lui donner le surnom de "Blancanieves". C’est le début d’une aventure qui va conduire Carmen/Blancanieves vers elle-même, vers son passé, et surtout vers un destin à nul autre semblable…


    Bien entendu on peut d'entrer de jeu comparer Blancanieves à The Artist du fait que ce soit un film muet en noir et blanc, mais même si Blancanieves respecte les codes du noir et blanc muet ce n'est pas un hommage aux premiers temps du cinéma et plutôt un parti pris artistique de mise en scène. Blancanieves est un bijoux pour les yeux on voit du grain on a de la texture à l'image, le fait qu'il n'y ai pas de paroles met en avant la musique et le langage des images (ne dit-on pas « une image vaut milles mots »?) et à travers ça le réalisateur nous transmet les émotions du récit. Et ce n'est pas là tout à fait une énième adaptation du conte de Blanche-Neige car ici il n'y a point de Prince Charmant, la comparaison au conte original s'arrête à la belle-mère jalouse non pas tant de la beauté de sa belle-fille plutôt que de l'attention qu'on lui porte, il manque un nain à l'appel et ceux de cette bande ne correspondent en rien avec ceux du conte ( on peut apercevoir un nain travesti ) et surtout ça ne se finit pas bien, « Blancanieves » n'est pas réveillée par le baiser du Prince du Charmant...
    Elle laisse tout de même quelques traces de sa vie dans son sillage auprès des nains, des spectateurs de tauromachie spoiler: ( elle n'achève pas le taureau, brise la tradition barbare tout en la respectant puisqu'elle réussi à fatiguer assez la bête lors de la corrida)
    . Le spectateur au cinéma peut voir là aussi une éloge à la différence et à l'acceptation de soi, Carmencita nous apprend qu'on peut dépasser la norme ( spoiler: Blanche-Neige n'est pas une princesse qui fait juste le ménage ou est juste belle, c'est une femme forte qui aime la vie, arrive à faire un « sport » plutôt réservé aux hommes et a un coup de cœur pour un homme de petite taille
    ) et être heureux (pas forcément jusqu'à la fin des temps mais au moins un moment...). A voir si on aime les films d'Art et d'Essai.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 mars 2013
    Un moment magnifique...Plus réussi que "The Artist" à mon sens.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 mars 2013
    Très beau conte. Image superbe, belle musique, mise en scène efficace. Toute la classe espagnole en plus. Je m'étonne de la note moyenne du public et rejoins celle des critiques. J'ai été bouleversé. On peut aussi y aller avec des enfants (en âge de lire). Superbe.
    jerry974
    jerry974

    15 abonnés 449 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2013
    Un gout de Ted Browing à l'espagnole, avec des faciès filmés en gros plans en noir et blanc. Le film de Pablo Berger est typé. La superbe Macarena Garcià et le charme vénéneux de Maribel Verdù suffit a donner à ce conte un air de grand film. Evidement, certaines situations sont exagérées, voire caricaturales, mais on rentre dans cette histoire de tauromachie pour ne la lacher qu'à la dernière larme. C'est original, quelquefois superbe, mais jamais ennuyeux. Bravo.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 mars 2013
    L'histoire de Blanche-Neige en noir et blanc, muet et 4/3 n'est pas forcément alléchante ? Et pourtant avec ce film spoiler: quelle claque
    ! Les images sont sublimes, les acteurs excellents, l'émotion et l'humour présents à chaque instant. Que d'inventivité et de poésie dans chaque plan, que d'ingéniosité et de subtilité dans cette variation sur l'histoire de Blanche-Neige. Un film surprenant et génial à ne pas manquer !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 mars 2013
    Un récit filmé en 4/3, en Noir & Blanc et muet, ça ne vous rappelle rien ? Bien plus inventif que The Artist - et d'ailleurs conçu avant lui - , BlancaNieves se rapprocherait plutôt de Freaks. Visages filmés en gros plans, expressions étourdissantes des regards, lumière crue alternant le clair/obscur composent cette fresque émouvante. Une mise en scène d'une ingéniosité remarquable.

    La réalisation comme l'interprétation se révèlent sans faille. Les amoureux du Flamenco vont se régaler, la musique les et vous captivera tout au long de ce conte d'une modernité absolue. Les amoureux de l'esthétisme seront pantois d'admiration devant plusieurs plans comme la scène où la foule laisse la vie sauve au taureau ou bien celle de la mort de la belle-mère. Les amoureux tout court apprécieront l'émotion intense qui se dégage à maintes reprises. Cette Blanche-Neige sublimera les foules avant de connaître une fin qui surprendra plus d'un spectateur peu familier du cinéma hispanique.

    Amoral et subversif, ce film vous enchantera... si vous avez le bonheur de le voir. Nous n'étions que trois en salle en première semaine et je crains sa disparition (des écrans) précoce.

    Un réel dommage, car BlancaNieves marquera à coup sûr bien plus que l'année 2013.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 mars 2013
    très bon, très beau, superbe histoire , blanche neige au pays des toreros, à surtout ne pas rater...!!!
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