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    Blancanieves
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    3,8
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    221 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 avril 2013
    Quelle déception ! Au vu de quelques critiques que j'ai vu lu dans la presse, je suis allé voir ce film. Aie, aie, aie. L'esthétique vantée ici et là est d'un mauvais gout absolu (une revisite de l'expressionnisme par un photographe pompier). L'histoire est convenue (blanche neige revisitée, comme à peu près 5 films cet année !) , attendue et donc épuisante.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    738 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mars 2014
    Dotés d’une superbe photographie et d’une excellente prestation des comédiens, ce film muet espagnol qui a été tourné en noir et blanc se trouve être une bien agréable surprise. L’intrigue qui s’avère surtout intéressante dans sa seconde partie est celle d’une fille de toréro qui, martyrisée par sa marâtre, se voit recueillie par une troupe de nains qui se trouve être des matadors ambulants. Evidemment et vu son titre, "Blancanieves" puise son inspiration du côté de "Blanche-Neige" ou encore du fameux "Freaks" de Tod Browning. Outre la bonne tenue de son casting et son joli atout visuel, on notera aussi une mise en scène qui ne manque pas d’élégance et qui fait d’ailleurs énormément penser à celle de "The Artist". Une très belle réussite qui a par ailleurs remporté pas moins de dix goyas en Espagne en 2013.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 avril 2013
    pas aimer car j'ai appris que 9 taureaux ont été réellement tué pour ce film!
    Il existe pourtant des moyens avec images de syntèse ou autre pour éviter de la torture animal!
    velocio
    velocio

    1 286 abonnés 3 112 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 mars 2018
    On m'avait dit tellement de bien de ce film que j'avais peur d'être déçu. Eh bien, il n'en est rien, ce film s'avérant tout à la fois visuellement magnifique, passionnant du début à la fin et très émouvant.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    87 abonnés 387 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 février 2013
    Exercice de style assez vain et creux, surtout bien trop long et délayé, faisant s'éterniser des scènes anecdotiques (celle avec le coq, notamment). On ne s'explique pas vraiment les intentions de l'auteur à recourir aux codes du film muet (format, cadre et omniprésence d'une musique pompière et tapant sur les nerfs) pour mettre en scène une adaptation à la sauce ibérique (flamenco et corridas) du conte des frères Grimm : Blanche-Neige. Passée la séquence inaugurale où l'arène devient le lieu de toutes les tensions exacerbées, point d'orgue de la grandeur, puis de la décadence, du célébrissime torero et de se femme, le film s'enlise rapidement, ne fait guère preuve d'inventivité, encore moins de poésie et d'allégorie. Tout se limite à la (pâle) copie de la chronologie événementielle du conte d'origine. Il n'y a ici aucun véritable travail sur la bande-son, limitée à une succession d'habillages musicaux 'folkloriques'. C'est donc l'antithèse plate et laborieuse du chef d’œuvre portugais Tabou. On peut également formuler quelques réserves sur la diligence d'un ex torero réduit à l'infirmité à enseigner les rudiments du métier à sa petite fille, tout comme le fanatisme sadique des aficionados et le cérémonial associé à la tauromachie, déjà au début du vingtième siècle, peuvent davantage rebuter qu'intéresser. Hormis le personnage de la méchante marâtre, on note peu d'approfondissement chez les autres (le père, la fille et les nains). Quelques plans travaillés sur l'esthétique noir et blanc ne suffisent hélas pas à sauver ce film d'un ennui certain.
    lucilla-
    lucilla-

    59 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 février 2013
    C'est magnifique ! Pablo Berger réinvente Blanche-Neige,et offre un mélodrame émouvant, constamment captivant, poétique et d'une beauté exceptionnelle- un noir et blanc sublime-! C'est beau et cruel, tragique et burlesque.Féerique.Magique. Enorme coup de coeur !
    (Je comprends mal la notation Allociné??)
    g0urAngA
    g0urAngA

    79 abonnés 1 735 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2016
    Blancanieves est un conte porté par une grâce purement cinématographique, sublimé par la protagoniste principale et l'antagoniste (la belle mère), donnant lieu à des compositions graphiques cherchant la perfection dans l'émotion.

    C'est également une belle histoire autour d'une jeune fille qui préfère s'abandonner dans son imaginaire plutôt que d'affronter la cruauté des hommes.
    Cette Blanche-Neige espagnole est sans parole, mais en musique, notamment du flamenco qui prend aux tripes et qui sublime les images en noir et blanc de personnages tellement bien mis en valeur par le réalisateur Pablo Berger.

    Blancanieves invite le spectateur à une danse tragique pour tous les amoureux du bon cinéma ...
    selenie
    selenie

    6 112 abonnés 6 155 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2013
    Après "The Artist" voici un autre film muet en Noir et Blanc... Après les critiques dythirambiques dans les médias pros on ne peut qu'être assez déçu malgré toutes les qualités certaines de cette oeuvre. Le réalisateur offre là son second film après "Torremolinos" (2005). A la différence de Hazanavicius sur "The Artist" Pablo Berger ne tente pas vraiment de moderniser le Noir et Blanc, il assume le grain d'image en tournant en Super 16 afin de se rapprocher au plus près du grain des années 20. Placé le conte de Blanche-Neige dans le mileu de la tauromachie des années 20-30 est en soi une vraie originalité, l'exotisme apporte un regard nouveau ; cependant on remarque que le rapport avec le conte reste très très libre. Le film est magnifique, le Noir et Blanc a toujours un attrait aussi sublime et envoûtant néanmoins plusieurs choses font que ce film ne devrait pas mériter des opinions aussi enjouées... Au début, le second mariage arrive bien vite si on compare à l'enfant qui est toujours bébé dans les couloirs de la maternité. Lors du trépas de la grand-mère le surjeu de l'actrice est assez grotesque. Parfois très réaliste, parfois plus dans le conte le film trouve rarement le juste milieu passant d'un genre à l'autre. Mais le plus gênant, d'autant plus pour un film muet, reste la musique souvent inadéquate notamment et, surtout, lors des passages les plus dramatiques. Sinon le film est magnifique dans sa forme, un peu de freaks, de poésie, d'humour noir, et ce mélange tauromachie/flamenco qui ajoute un sel non déplaisant. En résumé ce film est loin d'être le chef d'oeuvre que veulent bien nous faire croire les professionnels de la presse, mais il ne faut pas non plus rester hermétique à un film qui sort des sentiers battus, qui ne manque ni d'audace ni de charme. Notons d'ailleurs la perfection, la sublime tristesse du tout dernier plan.
    ffred
    ffred

    1 668 abonnés 4 008 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 janvier 2013
    Le problème avec ce film espagnol est qu'il vient beaucoup trop tard après The Artist. Il reprend la même forme (hasard ou copiage ?) : noir et blanc, muet, que de la musique et image carrée. Il y a donc un effet de surprise en moins. Par contre, l'idée de retranscrire le conte de Blanche-Neige en Espagne au début du XXè siècle et dans le milieu de la tauromachie est plutôt originale....
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-blancanieves-114677569.html
    Acidus
    Acidus

    701 abonnés 3 697 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 février 2017
    "Blancanieves" (ou Blanche-Neige pour les non-hispanophones) est, comme son titre l'indique, une adaptation libre du conte des frères Grimm. Contrairement aux deux versions américaines sorties la même année ("Blanche-Neige" de Tarsem Singh et "Blanche-Neige et le Chasseur" de Rupert Sanders), l'action du film espagnol ne se déroule pas dans un univers de fantasy médéval mais dans une Espagne du début des années 20 et a pour cadre le monde de la tauromachie.
    Seconde particularité, "Blancanieves" est entièrement muet et en noir et blanc comme ces classiques des années 20 dont il s'inspire. Le pari est osé et n'est pas sans rappeler celui de "The Artist" sorti un an avant.
    De cette célèbre histoire et de ce défi imposé de tourner un film muet, le cinéaste Pablo créé un chef d'oeuvre. N'ayons pas peur des mots. Il tire de cette intrigue une puissance émotionnelle hors norme. Cette intensité est particulièrement due à cette alliance d'un esthétisme visuel extrêmement poussé (montage, photographie, cadrage et mise en scène sont bluffants) et d'une superbe partition musicale d'Alfonso Vilallonga. Une véritable oeuvre d'art formelle, technique et substantielle.
    Même si le muet vous rebute, je vous conseille fortement de vous pencher sur ce long métrage qui n'ennuie jamais et dont on ressort bouleversé. Un grand film.
    LALALALALERE
    LALALALALERE

    17 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 février 2014
    Mal découpé, ennuyeux, expressionniste jusqu'à la nausée, Blancanieves prend le conte de Grimm pour le transposer à la corrida. Pourquoi pas Hansel et Gretel sur la lune et Cendrillon chez les Chtis ?
    Il faut voir la torera manger une pomme sans reconnaître sa mère pour mesurer le ridicule assumé de l'entreprise.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 février 2013
    Si vous avez eu en début d’année la malchance de vous égarer dans une salle de cinéma projetant la catastrophique grosse production Américaine Blanche neige et le Chasseur de Rupert Sanders ou une adaptation similaire de Tarsem Singh sortie à la même période, vous risquez d'avoir tendance à partir en courant en apprenant l'existence d'une nouvelle version du conte des frères Grimm : Blancanieves. Rassurez vous, cette réadaptation espagnole de Pablo Berger n’a rien à voir avec un énième blockbuster romantico-pathétique comme on a l'habitude d'en apercevoir sur les affiches et autres supports commerciaux.

    L'histoire est ici abordée sous un angle original et intéressant : transposée en Espagne, la culture de ce pays devient alors un élément essentiel. L'histoire tourne en effet autour de la corrida, faisant du vieux roi père de Blanche-neige un célèbre torero accidenté et ainsi paralysé de tout le corps. Il transmet sa passion et son talent à sa fille, une blanche-neige nommée Carmencita bien plus charismatique que le personnage de Disney.

    Ici pas de « Un jour mon prince viendra », « On rentre du boulot », « Miroir mon beau miroir ».... Pablo Berger fait du conte des frères Grimm un mélodrame gothique captivant dans lequel on retrouve tragique, beauté, humour, euphorie...Gardant une esthétique du conte, le film effectue à l'occasion quelques références similaires avec le Petit Poucet, Cendrillon, le Petit chaperon Rouge... Plus cinématographiquement, on pourra également penser à l'expressionnisme, au cinéma russe d'Eisenstein et Vertov, aux films d'Alfred Hitchcock ou encore à Freaks de Tod Browning (1932)...
    Certaines ressemblances avec d'anciens films et la spécificité de Blancanieves sont dues en particulier au choix d'utiliser une esthétique du cinéma muet. Combinant cette esthétique dite ancienne et une qualité d'images et mouvements de caméra nécessitant des technologies modernes, le réalisateur crée une qualité spéciale et peu commune. Pablo Berger offre ainsi aux spectateurs de superbes images comme on en voit rarement : maîtrisant un magnifique noir et blanc, usant de jeux d'ombres, plaçant sa camera dans des angles aussi inattendus qu'exceptionnels tout en lui faisant faire des mouvements surprenants. Le travail de l'image apparaît d'autant plus excellent par un montage virtuose comme on a plus beaucoup l'occasion d'en voir, un montage hitchcockien qui donne aux scènes une efficacité et un charme certain.

    Par le muet, le travail du son est fondamentalement essentiel . Un travail plus que réussi par Alfonso Vilallonga qui signe une magnifique musique de film : entre burlesque, musique traditionnelle espagnole, dissonances angoissantes... Le compositeur évite soigneusement de tomber dans une répétition lassante de musiques seulement filmiques, particulièrement en utilisant des fausses prises de son directe. On appréciera donc des séquences de flamenco et celles dans lesquelles la musique est montrée comme diffusée par un vieux phonographe. Excellent et varié, le travail du son égale celui de l'image.

    Les acteurs excellent par leur expressivité nécessaire au cinéma muet, la corrida et le flamenco donnent l'occasion d'utiliser de magnifiques costumes...Si Blancanieves pourra, en tant que film muet, être comparé à The Artist, il prouve qu'il est possible de faire bien mieux que Michel Hazanavicius et mérite bien plus de succès.

    Blancanieves est un film comme on a plus l'habitude d'en voir, Pablo Berger lui donne son propre style. L'utilisation du muet et du noir et blanc lui donne une esthétique exceptionnelle, qui ne cherche pas seulement à ressembler à d'anciens films mais qui se donne du renouveau et une modernité susceptible d'influencer des productions à venir. Capable de plaire autant aux cinéphiles qu'au grand public, Blancanieves marquera les esprits.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 mars 2013
    Un film incroyable en noir et blanc, muet et une musique omniprésente formidable ! On a envie de se fondre dans le film ! Je n'arrive pas à croire que l'on puisse faire un film aussi loin des blockbusters en 2012 !!
    Bravo au réalisateur pour son audace et sa poésie !!!
    Sasuke R.
    Sasuke R.

    50 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2013
    Le cinéma muet espagnol ne possède pas un patrimoine des plus immenses. C’est pourquoi la venue de Blancanieves, un peu moins de 90 ans après l’arrivée du parlant, a de quoi intriguer. L’histoire, c’est celle de la petite Carmen, fille de toréro paralysé, confiée à une belle-mère des plus détestables. Après une enfance tumultueuse, Carmen et devenue une très jolie femme. Prise en chasse par le majordome de la maîtresse de maison, elle manque de peu la noyade, sauvée par une troupe de nains saltimbanques. Ces derniers la recueillent et la guident inconsciemment vers son passé – qu’elle a désormais oublié, remplacé par le nom de Blancanieves… Quand l’on peut voir un peu partout Blancanieves comparé à The Artist – deux films qui n’ont pas plus à voir que deux longs métrages parlants de genres différents avec une nationalité différente –, il y a de quoi s’offusquer. Ceux qui ne savent rien du cinéma en ses premières années pourront toujours s’émerveiller à la vision de ce qu’ils considèrent comme inédit : l’audace du réalisateur consistant à ressusciter une époque déchue ne doit en rien constituer une assurance de qualité. Et pour sûr, le long-métrage de Pablo Berger n’a vraiment rien de bien extraordinaire. Si l’on devait attribuer une seule et unique qualité à Blancanieves, cela serait probablement la singularité de son aspect « adaptation » – puisque sous ses airs caliente, le film est aussi un dépoussiérage du mythe de Blanche-Neige et les 7 nains, pour la troisième fois en très peu de temps. Aussi, le charme de la joyeuse bande itinérante de nains parvient sans mal à retranscrire l’univers des années 20… La retranscription du conte se mêlant alors plutôt bien à l’Espagne des toréros, l’enjeu de Blancanieves en ressort plutôt réussi. Scénario convaincant, donc. Par ailleurs, les interprétations de comédiens sont en tous points satisfaisantes, du premier rôle au plus petit. De Macarena Garcia (belle découverte) aux sept nains en passant par l’excellente Maribel Verdu (Tetro, Le Labyrinthe de Pan). Si Singin’ in the Rain abordait avec humour la maladresse des acteurs de muet à s’adapter au parlant, Blancanieves démontre que l’inverse demeure bien plus aisé. De plus, Pablo Berger ne tombe à aucun moment dans le piège de l’anachronisme involontaire. Cependant, il est certain que Blancanieves à tend à jouer de sa singularité – au 21ème siècle, j’entends – pour délaisser les simples mais indispensables bases de la mise en scène. Si quelques scènes impressionnent par la tension qu’elles dégagent, le film dans son ensemble s’avère trop peu passionnant pour côtoyer l’excellence de bout en bout. Il s’en dégage ainsi certaines longueurs quelque peu décevantes. D’autant plus que les quelques trouvailles esthétiques que l’on attribuera au long-métrage finissent par lasser, faute d’être régulièrement exploitées. En résulte un style visuel plutôt intéressant, qui repose tout de fois trop sur la beauté naturelle du noir et blanc granuleux. En conclusion, Blancanieves – s’il confirme la tendance des films de patrimoine à revenir plus nombreux dans les salles – n’a rien d’une très grande surprise en ce qu’il n’a finalement pas grand-chose d’extraordinaire si ce n’est sa carrure de film muet. Le long-métrage s’avère toutefois plutôt bon, merveilleusement mis en musique par Alfonso de Vilallonga dans une bande-originale qui donne envie de taper du pied, au rythme des pas de danse.
    Sina H
    Sina H

    1 abonné 26 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 février 2013
    Film magnifique qui nous transporte de A à Z dans un univers magique, et dont les acteurs sont fabuleux !!!
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