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Un film d'espionnage élégant porté par un excellent Bill Nighy. Loin des films d'action ce film sans scène de poursuite ou de combat met en scène un agent du MI5 qui découvre un secret d'état compromettant et va essayer de le mettre au jour. Le scénario est habile et nous plonge dans les arcanes des services de renseignement. Un film très britannique et très classe.
Redzing
“Page Eight” est en réalité un téléfilm produit par la BBC. Mais entre sa réalisation tout à fait correcte, et sa distribution prestigieuse, il aurait très bien pu sortir au cinéma !
On y retrouve Bill Nighy en analyste expérimenté du MI5. Il récupère par son patron et ami (Michael Gambon) un rapport compromettant sur les lieux secrets utilisés par les USA pour torturer de potentiels terroristes, ce qui va déclencher une série d’engrenages. Et oui, c’était les années Obama, la mode était à dénoncer la période noire post-11/09, où le renseignement US torturait à gogo.
Rachel Weisz et Ralph Fiennes sont également de la partie contribuant au cachet du film.
L’intrigue, à mi-chemin entre le thriller politique et le film d’espionnage façon John Le Carré (en plus doux tout de même), est intéressante à suivre. Même si volet entre notre héros et sa voisine apparait un peu artificiel.
A l’arrivée, rien de révolutionnaire, mais un divertissement plaisant et professionnel.
On y retrouve Bill Nighy en analyste expérimenté du MI5. Il récupère par son patron et ami (Michael Gambon) un rapport compromettant sur les lieux secrets utilisés par les USA pour torturer de potentiels terroristes, ce qui va déclencher une série d’engrenages. Et oui, c’était les années Obama, la mode était à dénoncer la période noire post-11/09, où le renseignement US torturait à gogo.
Rachel Weisz et Ralph Fiennes sont également de la partie contribuant au cachet du film.
L’intrigue, à mi-chemin entre le thriller politique et le film d’espionnage façon John Le Carré (en plus doux tout de même), est intéressante à suivre. Même si volet entre notre héros et sa voisine apparait un peu artificiel.
A l’arrivée, rien de révolutionnaire, mais un divertissement plaisant et professionnel.
L'analyste du MI5 Johnny Worricker (Bill Nighy) reçoit de son patron et de son ami depuis leurs études à Cambridge un rapport top secret également distribué au ministre de l'intérieur.
spoiler:
Ils ont une réunion interne et Johnny souligne qu'à la page huit il est informé que le Premier ministre sait que le gouvernement américain torture des prisonniers dans les prisons du monde entier. Baron ne peut révéler sa source mais si l'information est correcte le Premier ministre n'a pas informé le MI5
. Pendant ce temps Johnny se lie d'amitié avec une activiste politique dont le frère a été assassiné par l'armée israélienne. Page Eight est un thriller politique britannique ennuyeux et stylé avec un mauvais scénario mais avec un bon casting. La relation ambiguë de Johnny et Nancy semble étrange puisque l'inexpressif Bill Nighy est trop vieux pour être un loup et ne montre aucune alchimie avec Rachel Weisz. Le rythme lent et les intrigues secondaires inutiles rendent le visionnement de ce film pénible à plusieurs moments. La conclusion est incroyablement ennuyeuse et insensée. Avec Johnny quittant son appartement avec sa collection d'art et voyageant de Londres peut-être vers l'Amérique du Sud la destination favorite des Londoniens en fuite. Il est apparemment brisé après avoir divulgué l'information secrète à la BBC...
. Pendant ce temps Johnny se lie d'amitié avec une activiste politique dont le frère a été assassiné par l'armée israélienne. Page Eight est un thriller politique britannique ennuyeux et stylé avec un mauvais scénario mais avec un bon casting. La relation ambiguë de Johnny et Nancy semble étrange puisque l'inexpressif Bill Nighy est trop vieux pour être un loup et ne montre aucune alchimie avec Rachel Weisz. Le rythme lent et les intrigues secondaires inutiles rendent le visionnement de ce film pénible à plusieurs moments. La conclusion est incroyablement ennuyeuse et insensée. Avec Johnny quittant son appartement avec sa collection d'art et voyageant de Londres peut-être vers l'Amérique du Sud la destination favorite des Londoniens en fuite. Il est apparemment brisé après avoir divulgué l'information secrète à la BBC...
Quoique anglais, "Page eight" est à l'opposé de James Bond. Pas de gadgets ni de cascades improbables, mais une affaire de magouille politique dans le milieu du contre-espionnage comme il y en a dans tous les pays. Cerise sur le gâteau, pour une fois que les USA s'en prennent pour leur grade par leur plus fidèle allié, çà ne peut que faire plaisir! Un téléfilm dont l'intérêt vaut bien nombre de films du genre...
Un film d'espionnage très British au style suranné, l' histoire intéressante, et les personnages charismatiques.
Un film excellent, qui m'a captivé, du début à la fin. Le choix des acteurs est excellent aussi. Je ne connaissais pas Bill Nighy, mais je vais m'empresser de découvrir ce qu'il à fait d'autre. Rachel Weisz se débrouille très bien aussi !
Bref, selon moi, c'est un film qui mérite d'être vu. Fan de cascades et d'adrénaline, passez votre chemin ;-)
Bref, selon moi, c'est un film qui mérite d'être vu. Fan de cascades et d'adrénaline, passez votre chemin ;-)
Rien n'est convaincant ici, que ce soit l'intrigue (pas mauvaise mais pas assez développée), son déroulement, comme les acteurs (il est fort possible que la VF y soit pour beaucoup... mais tout de même, les mimiques sont insupportables).
Un film d'espionnage classieux relégué au rang de téléfilm ? Quel dommage ! Interprété à la perfection par Bill Nighy entre autres, ce film d'une intelligence rare me captive du début à la fin. Ici, pas d'explosions ni de cascades invraisemblables comme on peut voir dans les films de James Bond. On entre sans délai dans ce récit fascinant où le personnage principal possède une intelligence et une maîtrise de soi qui lui permettent de s'exprimer avec une insolence élégante, quels que soient ses interlocuteurs.
Je me demande comment avec un tel talent, Bill Nighy n'a pas fait une carrière plus brillante.
Le seul reproche que je ferai, c'est que la profusion des personnages et des dialogues complexifie quelque peu le scénario. Je pense qu'une deuxième lecture éclaircira ces zones d'ombre. C'est pour cela que je ne donnerai que 4 étoiles.
Je me demande comment avec un tel talent, Bill Nighy n'a pas fait une carrière plus brillante.
Le seul reproche que je ferai, c'est que la profusion des personnages et des dialogues complexifie quelque peu le scénario. Je pense qu'une deuxième lecture éclaircira ces zones d'ombre. C'est pour cela que je ne donnerai que 4 étoiles.
Un film d'espionnage anglais ennuyeux à souhait du début à la fin
Malgré la bonne distribution, ce thriller est assez tendre et n'est pas très captivant. Il manque du peps, du dynamisme. J'adore Bill Nighy mais pas dans ce film dans lequel il semble errer tel un fantôme. De plus, le scénario n'est pas extraordinaire et n'aide pas à capter notre attention. Finalement, il s'agit d'un film très moyen !!
Pas trop mal ce petit film. Même si on a connu mieux comme film sur les services de renseignements, celui-ci reste malgré tout intéressant. Par contre le rythme du film est vraiment lent, dommage, même le bon jeu des acteurs ne le sauve pas totalement. Bref, pas mal, aurait pu mieux faire...
pas terrible ce film, comme la note que je lui donne, cela commence comme un trhiller et au final ce n'est qu'un petit film d'espionnage anglais, les dessous du contre-espionnage et les arrangements entre personnes qui ont intérêt à ce que certaines vérités restent cachées
Un très bon suspens, qui même habilement politique et espionnage. Au premier abord, ce film peut paraître austère, tant au niveau scénaristique que de la mise en scène. Il est vrai que le film adopte un ton sobre et mesuré mais le rythme n'en pâtit pas pour autant. En effet, celui-ci reste tout à fait soutenu et l'on découvre peu à peu les rouages d’une importante machination politique au sein de Westminster. Quant aux acteurs, leurs prestations sont impeccables et totalement adaptées au genre. On appréciera également les différents rapports plus ou moins complexes entre les protagonistes, rajoutant encore un peu plus de profondeur à l’œuvre. Bref, pour les amateurs du genre, Page Eight est un excellent film qui parvient à nous tenir en haleine du début à la fin. A voir !
un petit thriller politique comme les Anglais savent les faire
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