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Votre avis sur L'île des Miam-nimaux : Tempête de boulettes géantes 2 ?
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"L'île des Miam-nimaux: Tempête de Boulettes géantes 2" est un bon dessin animé mais j'ai préféré de premier volet. Un film sympa mais manque de rythme, des moments comique et toujours des personnages intéressant. Un film pas assez long à mon goût et j'aurais aimé avoir plus de nouveaux personnages.
Audrey L
Le retour de la malbouffe surexcitée. Visuellement assez moche, aux mouvements exagérés, au rythme pour les enfants hyperactifs, "LÎle des Miam-nimaux : tempête de boulettes géantes 2" est également très peu intéressant sur le plan narratif : on sait directement qui est le méchant, la fin entière du film, bref aucune surprise, le film enfonce les portes grandes ouvertes. L'unique personnage à peu près agréable à regarder est le père bourru qui découvre les joies de la pêche avec les grands cornichons (non, on ne parle pas des deux héros de l'histoire...). Les couleurs sont saturées et pourrait même servir d'étalonnage pour régler votre téléviseur, couplées aux design très caricaturaux qui décrédibilisent d'emblée une histoire qui aurait pu faire rêver malgré l'absurdité de son scénario : le méchant sait qu'il va se faire doubler par le gentil et le laisse faire, il dit
spoiler:
se servir
du gentil pour arriver à la machine mais spoiler: il y vient sans aucun problème
à la fin, il n'y a aucun code secret ou déblocage à faire sur ladite machine qui justifie d'avoir besoin du héros... En fait, rien ne justifie la présence du héros depuis le début puisque le méchant pouvait tout faire lui-même... Du grand art sur le scénario (ironie), des jeux de mots sur la nourriture toutes les deux minutes (épuisant) et visuellement digne d'une émission du matin bon marché, cette suite dispensable ne plaira qu'aux enfants conciliants.
du gentil pour arriver à la machine mais spoiler: il y vient sans aucun problème
à la fin, il n'y a aucun code secret ou déblocage à faire sur ladite machine qui justifie d'avoir besoin du héros... En fait, rien ne justifie la présence du héros depuis le début puisque le méchant pouvait tout faire lui-même... Du grand art sur le scénario (ironie), des jeux de mots sur la nourriture toutes les deux minutes (épuisant) et visuellement digne d'une émission du matin bon marché, cette suite dispensable ne plaira qu'aux enfants conciliants.
Le film est vraiment pas nécessaire et les blagues sont parfois pas drôles et trop enfantin. Sinon l'animation reste originale et "les miam-nimaux" sont assez bien fait.
Pour une fois, une suite réussie, qui n'est pas qu'un vague plagiat du premier , mais une vraie suite, s'enchaînant très bien avec le premier film (grâce à la séquence d'ouverture), proposant de nouvelles aventures.
Le film est rythmé et coloré sans être soulant, et , si le scénario est classique, les auteurs se sont déchaînés en imaginant toutes sortes de créatures , dont certaines totalement délirantes, . Gros coup de coeur, pour ma part, pour la petite fraise, les marshmallows et les cornichons pêcheurs.
En plus, c'est plein d'bumour, les personnages sont sympathiques (sauf bien sûr le "méchant"). Pas trop de sous-texte (la critique de la malbouffe et de la surconsommation en sous texte dans le premier a quasiment disparu ici) ou de clins d'oeil aux plus grands, mais ça n'est pas stupide non plus.
Un bon divertissement, pour tous les ages.
Le film est rythmé et coloré sans être soulant, et , si le scénario est classique, les auteurs se sont déchaînés en imaginant toutes sortes de créatures , dont certaines totalement délirantes, . Gros coup de coeur, pour ma part, pour la petite fraise, les marshmallows et les cornichons pêcheurs.
En plus, c'est plein d'bumour, les personnages sont sympathiques (sauf bien sûr le "méchant"). Pas trop de sous-texte (la critique de la malbouffe et de la surconsommation en sous texte dans le premier a quasiment disparu ici) ou de clins d'oeil aux plus grands, mais ça n'est pas stupide non plus.
Un bon divertissement, pour tous les ages.
Une suite sympathique et divertissante avec un scénario classique, une superbe animation et des personnages attachants notamment Flint Lockwood et Sam Sparks.
Avec le premier opus, nous avions découvert un univers visuel ultra coloré et un film trepidant, bourré de gags. La suite est un peu moins réussie mais très bonne malgré tout. Le rythme y est un peu moins trépidant mais les gags et les jeux de mots (notamment les noms des créatures) sont légions et très drôles. Si le graphisme des personnages est identique et ne me convainc toujours pas, les décors bariolés et détaillés sont impressionnants. Les réalisateurs sont toujours aussi créatifs, notamment concernant le bestiaire original et foisonnant.
Niveau scénario, les gags sont très réussis mais l'histoire est classique. Dotée d'un méchant déjà-vu, aux faux airs de Steve Jobs, elle perd de l'originalité du précédent.
La musique est enlevée sans être originale
Bourré d'action, de jeux de mots et de gags visuels, de créatures originales, un très bon film divertissant.
Niveau scénario, les gags sont très réussis mais l'histoire est classique. Dotée d'un méchant déjà-vu, aux faux airs de Steve Jobs, elle perd de l'originalité du précédent.
La musique est enlevée sans être originale
Bourré d'action, de jeux de mots et de gags visuels, de créatures originales, un très bon film divertissant.
Super film, très drôle et bien réalisé les dessins sont au top, l'histoire etc je verrais bien un troisième film ça se laisse regarder avec des yeux d'enfants même si on a déjà atteint l'âge adulte.
this is my movies
Pas aussi drôle et rythmé voire impertinent que le précédent volet mais une comédie d'aventures au déroulement certes classique, avec une galerie de personnages bien campés, qui propose une critique toutefois assez acide sur notre monde moderne et certains de nos "gourous" (Steve Jobs est clairement visé mais le reste du monde industriel et capitaliste mange sévère également). Des dialogues souvent très drôles, des situations funs, une animation de toute beauté et qui laisse éclater les couleurs vives, beaucoup d'imagination au niveau du bestiaire, des hommages un peu trop appuyés à "Jurassic Park", bref, c'est fun, coloré, parfois réjouissant et corrosif, c'est un divertissement familial réussi mais un peu inférieur au 1er opus. D'autres critiques sur
Les vannes commencent dès le générique lorsqu’on nous indique que le film a été fait – comme pour le premier d’ailleurs – par “beaucoup de gens”, nous rappelant légèrement les génériques délirants des Monty Python comme dans Sacré Graal. N’oublions pas non plus la banane-dauphin qui renverse la femme à la torche de Columbia Pictures.
On a toujours peur des suites – et à raison souvent -, mais celle-ci tient pleinement ses promesses. La relégation en deuxième partie du titre du “Tempête de boulettes géantes 2″ le prouve déjà éloquemment (renforcé en outre par l’arrivée de Chris Pearn à la réalisation pour seconder Cody Cameron) : ici, on est avant tout sur l’île des “Miam-Nimaux”, un gage de nouveauté et un antidote contre tout radotage et psittacisme donc ! Après un mini-résumé en accéléré du premier volet pour ceux qui l’auraient loupé, le film nous conte d’autres dérèglements de la machine à bouffe mise au point par l’inventeur malchanceux Flint Lockwood dans la Tempête de boulettes géantes 1. C’est l’occasion rêvée pour cette Ile des Miam-Nimaux de nous proposer un étonnant bestiaire peuplé d’incroyables créatures composites et insensées qui équivalent à autant de trouvailles poétiques d’une inventivité folle. Pensons notamment à ce propos aux gambabouins, flamangues, maki-moutons et autres cheddararaignées. Toute la poésie visuelle du dessin-animé peut librement se déployer à l’occasion du développement de ce bestiaire qui, entre hamburgers et makis, ne se montre dédaigneux d’aucun type de gastronomie et témoigne d’une ouverture d’esprit assurément bienvenue. Est laissée libre cours, également, à une liberté langagière tout aussi réjouissante et décomplexée, et qui n’est pas sans rappeler, par exemple, les publicités de 2 Minutes du Peuple pour “Oasis” avec des calembours aussi vaseux que “C’est pas de la tarte”, “Les desserts sont de vraies crèmes” ou encore “C’est pas des salades”.
Pour le reste, L’Ile… décline – il faut le dire – plutôt paresseusement des thématiques sur-exploitées dans ce genre de dessins-animés : que ce soit l’éloge des geeks et des marginaux, de la solidarité et du groupe, mais aussi le scepticisme à l’égard des soi-disants modèles – en l’occurrence ici le scientifique Chester à la tête en forme d’ampoule, grand héros de l’enfance de Flint et que celui-ci adule sans réserves. Va-t-il préférer suivre aveuglément Chester, ou bien rester fidèle à son groupe d’amis hétéroclite et assez redoutablement attachant – concédons-le ? Les Miam-Nimaux sont-ils des créatures vraiment si effrayantes ou suffit-il de les apprivoiser comme le Petit Prince le renard ?
Le dessin-animé de Cody Cameron et Kris Pearn, adapté du livre pour la jeunesse Il pleut des hamburgers écrit par Judi et Ron Barrett, fonctionne ainsi sur une intrigue relativement prévisible et lisse – y compris dans son histoire de romance entre le scientifique Flint et la miss météo Sam Sparks -, mais, pour l’univers surprenant qu’il parvient à installer, ainsi que pour la sidérante inventivité de ses Miam-Nimaux que ni Jacques Prévert ni les Surréalistes n’auraient sûrement dénié, L’Ile des Miam-Nimaux vaut largement le coup d’oeil, parvenant même à se hisser au rang du meilleur film d’animation sur la bouffe depuis Ratatouille de Brad Bird (2007).
On a toujours peur des suites – et à raison souvent -, mais celle-ci tient pleinement ses promesses. La relégation en deuxième partie du titre du “Tempête de boulettes géantes 2″ le prouve déjà éloquemment (renforcé en outre par l’arrivée de Chris Pearn à la réalisation pour seconder Cody Cameron) : ici, on est avant tout sur l’île des “Miam-Nimaux”, un gage de nouveauté et un antidote contre tout radotage et psittacisme donc ! Après un mini-résumé en accéléré du premier volet pour ceux qui l’auraient loupé, le film nous conte d’autres dérèglements de la machine à bouffe mise au point par l’inventeur malchanceux Flint Lockwood dans la Tempête de boulettes géantes 1. C’est l’occasion rêvée pour cette Ile des Miam-Nimaux de nous proposer un étonnant bestiaire peuplé d’incroyables créatures composites et insensées qui équivalent à autant de trouvailles poétiques d’une inventivité folle. Pensons notamment à ce propos aux gambabouins, flamangues, maki-moutons et autres cheddararaignées. Toute la poésie visuelle du dessin-animé peut librement se déployer à l’occasion du développement de ce bestiaire qui, entre hamburgers et makis, ne se montre dédaigneux d’aucun type de gastronomie et témoigne d’une ouverture d’esprit assurément bienvenue. Est laissée libre cours, également, à une liberté langagière tout aussi réjouissante et décomplexée, et qui n’est pas sans rappeler, par exemple, les publicités de 2 Minutes du Peuple pour “Oasis” avec des calembours aussi vaseux que “C’est pas de la tarte”, “Les desserts sont de vraies crèmes” ou encore “C’est pas des salades”.
Pour le reste, L’Ile… décline – il faut le dire – plutôt paresseusement des thématiques sur-exploitées dans ce genre de dessins-animés : que ce soit l’éloge des geeks et des marginaux, de la solidarité et du groupe, mais aussi le scepticisme à l’égard des soi-disants modèles – en l’occurrence ici le scientifique Chester à la tête en forme d’ampoule, grand héros de l’enfance de Flint et que celui-ci adule sans réserves. Va-t-il préférer suivre aveuglément Chester, ou bien rester fidèle à son groupe d’amis hétéroclite et assez redoutablement attachant – concédons-le ? Les Miam-Nimaux sont-ils des créatures vraiment si effrayantes ou suffit-il de les apprivoiser comme le Petit Prince le renard ?
Le dessin-animé de Cody Cameron et Kris Pearn, adapté du livre pour la jeunesse Il pleut des hamburgers écrit par Judi et Ron Barrett, fonctionne ainsi sur une intrigue relativement prévisible et lisse – y compris dans son histoire de romance entre le scientifique Flint et la miss météo Sam Sparks -, mais, pour l’univers surprenant qu’il parvient à installer, ainsi que pour la sidérante inventivité de ses Miam-Nimaux que ni Jacques Prévert ni les Surréalistes n’auraient sûrement dénié, L’Ile des Miam-Nimaux vaut largement le coup d’oeil, parvenant même à se hisser au rang du meilleur film d’animation sur la bouffe depuis Ratatouille de Brad Bird (2007).
Cinéphiles 44
L’île des Miam-nimaux est une suite directe du premier volet Tempête de boulettes géantes. Cette fois, non adapté du bouquin illustré Cloudy With a Chance of Meatballs, le dessin animé met en scènes de nombreux animaux alimentaires. Ceux-ci ont tous une personnalité intéressante et ludique qui plaira à tous les enfants. Les personnages humains eux, sont fidèles au premier volet et reste moyennement attachants. L’histoire reste cependant complètement prévisible à cause d’une chute trop rapidement annoncée. L’île des Miam-nimaux : Tempête de boulettes géantes 2 est une suite aboutie et qui convaincra tous les enfants. Les adultes prendront plaisir à voir des bananes courir, des cornichons carnivores et des guimauves au cœur tendre, mais regretteront le manque de suspense et une bande originale trop enfantine.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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Une suite qui prolonge le délire, et quel plaisir de retrouver la bande ! c'est un peu Jurassic Park et Avatar passés à la moulinette junkfood, à consommer sans modération 😊
Loin d'être original et surprenant, parfois coloré, mouvementé et bavard a l'excès de manière superficielle, et déversant des rebondissements attendus, L'Ile des Miam-Miam reste un divertissement calibré et correcte pour un public assez jeune. Il apparaît néanmoins des personnages attachants, un monde féerique passionnant et un véritable message de tolérance, de solidarité, doublé d'un avertissement sur la destruction de notre environnement, efficace.
https://www.facebook.com/La-7eme-critique-393816544123997/
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Une première partie un peu longue et pas très marrante. Au fil du temps, l'histoire se met en place et devient plaisante à voir. Au final, on a un film très inégal entre le film pour enfant et le film d'animation à la "pixar".
shindu77
Le 1er film ne m'avait pas emballé. Cela vaut aussi pour le 2nd. Certes, il y a de l'humour et de l'aventure mais il n'apporte rien dans sa globalité. Film pour les fans.
J'ai beaucoup moins aimé que le premier qui m'avait beaucoup fait rigoler. Ici, il y a quelques passages amusants mais dans l'ensemble, le public adulte n'appréciera pas. C'est totalement tourné vers les enfants. Je me suis ennuyé, l'intrigue n'est pas géniale ni les aventures. De la nourriture vivante... Ouais, non. je préférai celle qui se mange. C'est toujours très coloré mais il y a trop d'animaux miam miam pour enfants. Pas terrible.
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