Pas compris l'intérêt du film. et pourtant j'ai l esprit large mais hamburger protégé je ne connais pas limite jurasic miam miam... pourquoi sauvé les fraises et pas les sardines ?et pourquoi tempête de boulettes gèantes?
C'est une suite réussi et pourtant ce n'était pas gagné ! Tout d'abord l'équipe à complétement changé : réalisateurs, scénaristes sont différents du premier opus. L'histoire était terminé puisque Flint avait détruit la machine. Cela reste incohérent sur la façon dont elle a survécu mais l'histoire est vraiment plaisante et captivante. On peut dire que les deux films se valent et c'est très rares notamment dans l'animation que la suite soit l'équivalent du second. Non seulement les personnages ont évolués personnellement mais aussi professionnellement, mais leur amitié est également plus forte. On y découvre également l'île de Shawlow en château après les faits et c'est une belle surprise (je ne veux pas vous la gâcher). Les graphismes sont toujours aussi beau, Flint toujours aussi loufdingue et attachant. J'ai vraiment aimé cette suite et je n'ai pas été la seule. Un très bon retour que je pensais impossible.
(...) Le premier opus était une bonne surprise. Celui-ci est dans la même veine. Les personnages sont toujours aussi sympathiques. (...) Amateur de jeux de mots culinaires, vous allez en avoir plein les oreilles ! Comme vous avez pu le constater dans le titre l’ile des Miam-nimaux, nos héros vont devoir batailler contre des cheeseburgers et tacos qui représentent les méchants, un statut dû à leurs propensions à boucher nos artères et faire grimper notre taux de cholestérol. Au contraire, les fruits et légumes sont leurs alliés et surtout la fraise qui est trop craquante (pas croquante, ce serait considéré comme du cannibalisme ici !), tout comme les cornichons qui sont trop mignons. Nous sommes dans la consommation correcte, la cible de ce film d’animation étant les enfants, il est normal que le message soit aseptisé. Mais pas totalement. En tant qu’adulte, nous pouvons également apprécié la critique de la société de consommation au travers du personnage de Chester V. La suite de l’aventure change la perception que nous avons de nos aliments. Il y a bien sur l’ode à l’amitié, plus fort que tout et surtout que l’argent et le succès, un grand classique. Sans oublier que nous devons accepter les gens tels qu’ils sont, mignon, non ? Un bon divertissement pour tout public, chacun y trouvant son compte. Le spectateur n’est pas bombardé de chansons mièvres ; le graphisme est toujours aussi agréable, coloré, propre et efficace. Peut-être que l’ensemble manque juste un peu de folie et d’humour.
Les vannes commencent dès le générique lorsqu’on nous indique que le film a été fait – comme pour le premier d’ailleurs – par “beaucoup de gens”, nous rappelant légèrement les génériques délirants des Monty Python comme dans Sacré Graal. N’oublions pas non plus la banane-dauphin qui renverse la femme à la torche de Columbia Pictures.
On a toujours peur des suites – et à raison souvent -, mais celle-ci tient pleinement ses promesses. La relégation en deuxième partie du titre du “Tempête de boulettes géantes 2″ le prouve déjà éloquemment (renforcé en outre par l’arrivée de Chris Pearn à la réalisation pour seconder Cody Cameron) : ici, on est avant tout sur l’île des “Miam-Nimaux”, un gage de nouveauté et un antidote contre tout radotage et psittacisme donc ! Après un mini-résumé en accéléré du premier volet pour ceux qui l’auraient loupé, le film nous conte d’autres dérèglements de la machine à bouffe mise au point par l’inventeur malchanceux Flint Lockwood dans la Tempête de boulettes géantes 1. C’est l’occasion rêvée pour cette Ile des Miam-Nimaux de nous proposer un étonnant bestiaire peuplé d’incroyables créatures composites et insensées qui équivalent à autant de trouvailles poétiques d’une inventivité folle. Pensons notamment à ce propos aux gambabouins, flamangues, maki-moutons et autres cheddararaignées. Toute la poésie visuelle du dessin-animé peut librement se déployer à l’occasion du développement de ce bestiaire qui, entre hamburgers et makis, ne se montre dédaigneux d’aucun type de gastronomie et témoigne d’une ouverture d’esprit assurément bienvenue. Est laissée libre cours, également, à une liberté langagière tout aussi réjouissante et décomplexée, et qui n’est pas sans rappeler, par exemple, les publicités de 2 Minutes du Peuple pour “Oasis” avec des calembours aussi vaseux que “C’est pas de la tarte”, “Les desserts sont de vraies crèmes” ou encore “C’est pas des salades”.
Pour le reste, L’Ile… décline – il faut le dire – plutôt paresseusement des thématiques sur-exploitées dans ce genre de dessins-animés : que ce soit l’éloge des geeks et des marginaux, de la solidarité et du groupe, mais aussi le scepticisme à l’égard des soi-disants modèles – en l’occurrence ici le scientifique Chester à la tête en forme d’ampoule, grand héros de l’enfance de Flint et que celui-ci adule sans réserves. Va-t-il préférer suivre aveuglément Chester, ou bien rester fidèle à son groupe d’amis hétéroclite et assez redoutablement attachant – concédons-le ? Les Miam-Nimaux sont-ils des créatures vraiment si effrayantes ou suffit-il de les apprivoiser comme le Petit Prince le renard ?
Le dessin-animé de Cody Cameron et Kris Pearn, adapté du livre pour la jeunesse Il pleut des hamburgers écrit par Judi et Ron Barrett, fonctionne ainsi sur une intrigue relativement prévisible et lisse – y compris dans son histoire de romance entre le scientifique Flint et la miss météo Sam Sparks -, mais, pour l’univers surprenant qu’il parvient à installer, ainsi que pour la sidérante inventivité de ses Miam-Nimaux que ni Jacques Prévert ni les Surréalistes n’auraient sûrement dénié, L’Ile des Miam-Nimaux vaut largement le coup d’oeil, parvenant même à se hisser au rang du meilleur film d’animation sur la bouffe depuis Ratatouille de Brad Bird (2007).
Tempête de Boulettes Géantes était un film d'animation vraiment surprenant. C'était beau, poétique et puis intelligent. Cette suite qui n'était pas nécessaire offre malgré tout un voyage intéressant au travers d'une île infestée de nourriture... vivante. C'est mignon, magnifique (l'animation est très réussie) et malgré une intrigue pas toujours très soignée, on passe un agréable moment...
Le film est vraiment pas nécessaire et les blagues sont parfois pas drôles et trop enfantin. Sinon l'animation reste originale et "les miam-nimaux" sont assez bien fait.
Il s'agit d'une très bonne suite. Celui-ci reste drôle, bien réalisé et remplis d'anecdotes. On a l'impression de revoir Steve Jobs dans le rôle du méchant. Toujours seul, méchant et à la recherche de la dernière innovation. Le réalisateur a pu se régaler en créant différents animaux à base d'aliments, tous les monstres sont adorables. A la différence du premier opus, les fruits et les légumes sont mis en avant. Il faut bien promouvoir le bien manger. Certains scènes ressemblent à Jurassic Park, surtout au début du film quand l'ile est présentée.
Vu en avant première c'est un divertissement sympa. J'ai accompagné des enfants et les personnages sont originaux. Je ne le verrai peut-être pas une deuxième fois. :/
Après l'excellent premier volet, cette ile des miams nimaux est une déception. Pourtant ce film est excellent rechniquement et bourré de trouvailles visuelles. Les aliments animaux sont excellents. La satire de steeve jobs et d'apple est un bonheur. Les séquences dans l'entreprise sont les meilleures. Le problème est que l'intrigue n'existe pas, les héros comme les nouveaux personnages ne sont pas incarnés. Le personnage principal est complètement historique et ses gesticulations deviennent vite unsupportables au point de faire décrocher le spectateur. En ce qui me concerne je me suis carrément endormi!!!
Une première partie un peu longue et pas très marrante. Au fil du temps, l'histoire se met en place et devient plaisante à voir. Au final, on a un film très inégal entre le film pour enfant et le film d'animation à la "pixar".
Une suite sympathique et divertissante avec un scénario classique, une superbe animation et des personnages attachants notamment Flint Lockwood et Sam Sparks.
La tempête de boulettes géantes 2 doit relever un challenge difficile, car l'épisode précédente avait atteint un niveau très élevé.
Le film est moins surprenant, les personnages secondaires très peu mise en valeur, l'histoire peine à trouver du rythme malgré un univers originale et de toute beauté.
Mais le plaisir est quand même omniprésent, le film parvient à nous faire évader dans un monde aussi inspiré que décalé, avec des personnages attachants, sans oublier sa force majeure, la qualité graphique, qui sont juste impressionnants.
En conclusion, la tempête de boulettes géantes 2 ne surpasse pas son aîné, mais propose tout de même un beau spectacle.