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Un visiteur
4,0
Publiée le 23 janvier 2012
tres agreable avec de belles idees sur la societe japonaise civile et peacefull mais a cette epoque les japonais n'ont pas ete tres gentils avec les chinois , d'autres civils. donc l'image est belle mais un peu fosse
Contrairement à plusieurs autres blogueurs, je suis tombé sous le charme de la dernière production des studios Ghibli.
Le film n'est pas dirigé par le grand Hayao Miyazaki mais par son fils, Goro, dont tous s'échinent à dire qu'il est de moindre talent, sans lui avoir laisser le temps de démontrer le contraire.
La première qualité de La colline aux coquelicots est de proposer des images absolument sompteuses : des cieux superbes, des bateaux de toutes tailles magnifiques, des fleurs, des vitraux, une descente en vélo très joliment filmée. Le repère des étudiants, le Quartier Latin, est un endroit que le film dote d'une atmosphère très attachante, d'une aura qui entourait les objets appartenants à Porco Rosso, fait d'un tissage de rêve et de nostalgie.
Pour ceux qui comme moi aiment le Japon rural, le film est un enchantement : l'intérieur de la cuisine, les venelles fleuries, les rues en pente, la mer au loin. Ses paysages, sa maison, ses rues évoquent irrésistiblement le décor du trés beau film de Hirokazu Kore-Eda : Still walking.
La mise en scène regorge de tendresse, de justesse, de sensibilité, de nervosité. Le script n'est pas sans allusion à la politique, à l'histoire, et à la sociologie japonaise. La colline aux coquelicots est enfin traversé par une belle et noble nostalgie : celle des amours enfuis, des parents disparus, des temps écoulés, et peut-être aussi celle d'un cinéma des origines.
Que le film joue à fond la carte du mélodrame ne m'attriste pas, au contraire, je trouve que cela lui confère une certaine noblesse et une belle grandeur. D'autant que le scénario n'est pas aussi simpliste que certains veulent le faire croire.
En résumé, une veine purement réaliste pour les studios Ghibli, pleine de douceur et de justesse, ce qui constitue une très bonne surprise pour moi. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666blogsallocinefr.over-blog.com/
Un très bon film d'animation mais ce n'est pas encore demain la veille que fiston égalera papounet. Le problème du film c'est son animation qui est un peu paresseuse, dans son mouvement. Miyazaki père avait déjà fait beaucoup mieux à ce niveau-là dans des dessins animés qui ont pourtant plus de vingt ans. Mais si on arrive à faire abstraction de cela, on apprécie sans problème le film. Il ne s'y passe rien de grandiose là-dedans mais cela ne fait rien car Goro Miyazaki arrive pleinement à faire ce qui rend "les films où ils ne passent rien" intéressants : composer des personnages attachants. Car la grande force, la belle réussite, du film c'est sans conteste ses personnages. Donc si le fils améliore son animation par la suite, on peut penser que sans être à la hauteur de son paternel il peut au moins lui arriver à la cheville.
Si l'on cherche dans ce nouveau film des studios Ghibli l'ombre des monstres auxquels nous avait habitués Hayao Miyazaki dans des films aussi personnels que "Le voyage de Chihiro", on sera bien déçus. Mais on peut s'appeler Miyazaki sans être le clone de son père - et c'est sans doute beaucoup mieux ainsi. Nul délire dans ce film d'animation, sage comme toutes les images qu'il véhicule. Exécuté à la perfection, il conte l'histoire de deux lycéens - la clairvoyante Umi et l'intrépide Shun - qui s'aiment et qui vont découvrir qu'ils ont des points communs inattendus. Leur quotidien se déroule dans le cadre d'un foyer d'étudiants sur lequel plane une menace de destruction. Mais nos deux héros, qui ont le goût de l'audace, ne vont pas laisser les choses se dérouler comme les adultes le prévoient. Le film propose donc une leçon de témérité et de solidarité, un bel espoir placé dans la jeunesse qui a pouvoir de changer le cours des choses. L'intrigue se situe en 1963, à la veille des Jeux Olympiques de Tokyo. Peu de temps avant les grandes révoltes estudiantines qui allaient prendre une tournure internationale.Il faut donc veiller à ne pas assimiler ce film à une simple aventure du Club des Cinq. Goro Miyazaki aborde bien des sujets malgré cet aspect lisse qui caractérise au premier abord son dessin animé. Et puis un monde où la beauté est encore possible - malgré tout - avec la leçon des maîtres de la peinture (dont bien sûr les impressionnistes) a quelque chose d'infiniment touchant.
Après avoir vu ce nouveau film des studios Ghibli, réalisé non pas par le maitre du genre à savoir Hayao Miyazaki mais par le fils de ce dernier Goro, le spectateur conclura que le talent de Hayao est totalement fantomatique dans ce film. Nous sommes face à un film totalement différent des oeuvres précédentes aussi bien dans le contexte moralisateur qui faisait leur charme que dans la qualité d'écriture du scénario qui est ici un mélodrame banal et attendu. Outre la forte beauté visuelle et ce don atavique pour coloriser avec virtuosité un univers, le spectateur n'est somme toute jamais surpris et pourtant les " rebondissements " le voudraient bien. Cette amitié renfermant un secret s'avère assez ennuyeuse et on ne s'attache que difficilement aux personnages. On aurait pu croire à une once d'audace ( le film abordant furtivement le thème de l'inceste ), mais le tout s'écroule beaucoup trop vite ce qui produit chez le spectateur un désintéressement permanent. Malgré tout, les studios Ghibli ont le talent pour proposer dans leurs films des musiques mirifiques et " La Colline Aux Coquelicots " en est l'exemple parfait. C'est d'ailleurs une des rares chose à laquelle on peut s'accrocher. " La Colline Aux Coquelicots " est une regrettable déception à cause d'un scénario au ras des pâquerettes. On regrette beaucoup le merveilleux " Arrietty " sorti l'an dernier.
Premier et seul (pour l'instant) film du fameux studio Ghibli, film réalisé par Goro Miyazaki. Et bien c'est une belle déception pour moi car si j'ai quand même noté 3/5 j'ai trouvé ce film très banal dans le sens où je m'attendais à un film avec énormément d'émotion, surtout après toutes les éloges que j'ai entendu à propos des studio'. Dommage, peut être que je suis tombé sur l'un des moins bon film des studio'.
LA COLLINE AUX COQUELICOTS (2012): C'est dans une ambiance très lycéenne début des années 1960, que nous allons apprendre à connaitre cette jeune japonaise se prénommant Umi. Volontaire, elle veillera que tout son petit monde se sente bien dans cette vieille demeure se situant au sommet d'une colline surplombant le port de Yokohama. Un dessin animé bien rythmé par une orchestration swing, jazz. Je ne doute pas qu'Umi soit amie avec ce crayon qui lui a dessiné les traits d'un visage si avenant Une personnalité intelligente et entreprenante, qui réussira à développer autour d'elle une grande sympathie. Un scénario d'une grande tendresse, qui passionnera par cette intrigue sur les origines d'Umi et de son ami Shun. Les relations entre garçons et filles seront d'une grande courtoisie pour mener à bien une révolte sur un sujet qui pourra faire sourire. Une fin émouvante qui se conclura par une magnifique chanson Japonaise. Un film agréable pour ses personnages, son histoire, ses déclarations fortes et émouvantes, une mise en scène et une animation soignées, des décors réussis, une richesse musicale, une petite pépite de Goro Miyazaki, cette fois-ci papa Hayao était derrière le fiston, après le médiocre CONTES TERREMER. LA COLLINE AUX COQUELICOTS, un GHIBLI rempli de charme.
Contrairement à plusieurs autres blogueurs, je suis tombé sous le charme de la dernière production des studios Ghibli. Le film n'est pas dirigé par le grand Hayao Miyazaki mais par son fils, Goro, dont tous s'échinent à dire qu'il est de moindre talent, sans lui avoir laisser le temps de démontrer le contraire. La première qualité de La colline aux coquelicots est de proposer des images absolument sompteuses : des cieux superbes, des bateaux de toutes tailles magnifiques, des fleurs, des vitraux, une descente en vélo très joliment filmée. Le repère des étudiants, le Quartier Latin, est un endroit que le film dote d'une atmosphère très attachante, d'une aura qui entourait les objets appartenants à Porco Rosso, fait d'un tissage de rêve et de nostalgie. Pour ceux qui comme moi aiment le Japon rural, le film est un enchantement : l'intérieur de la cuisine, les venelles fleuries, les rues en pente, la mer au loin. Ses paysages, sa maison, ses rues évoquent irrésistiblement le décor du trés beau film de Hirokazu Kore-Eda : Still walking. La mise en scène regorge de tendresse, de justesse, de sensibilité, de nervosité. Le script n'est pas sans allusion à la politique, à l'histoire, et à la sociologie japonaise. La colline aux coquelicots est enfin traversé par une belle et noble nostalgie : celle des amours enfuis, des parents disparus, des temps écoulés, et peut-être aussi celle d'un cinéma des origines. Que le film joue à fond la carte du mélodrame ne m'attriste pas, au contraire, je trouve que cela lui confère une certaine noblesse et une belle grandeur. D'autant que le scénario n'est pas aussi simpliste que certains veulent le faire croire. En résumé, une veine purement réaliste pour les studios Ghibli, pleine de douceur et de justesse, ce qui constitue une très bonne surprise pour moi.
Je resume :c est mignon. J' aurai aime etre surpris pas quelque chose,mais la bof ,quel interet ,certe on ne s ennuie pas ,mais au final j ai ressenti aucune emotion particuliere ,ceux qui etaient avec moi ont eu le meme constat.
Vous savez quoi ? Au lieu de voir ce sous-miyazaki (c'est le fils qui est aux commandes!! aie aie aie) revoyez plutot les vrais chefs d'oeuvre de ce studio comme chihiro, le chateau dans le ciel, ou même Ponyo sur la falaise...Mais par pitié rendez-nous Miyazaki-père!!!!
En quelques mots, un film superbe adapté d'un manga pour jeunes filles, le film quand à lui est ouvert à tous et à toutes. Il fait preuve de beaucoup de finesse et d'émotions sans aller dans le mélodramatique. C'est le seul film de la famille Miyazaki qui est réaliste, sur fond des années 60. Magnifique histoire de sentiments et de solidarité, où les péripéties s'enchainent avec continuité. Je le recommande vivement.