Supers décors mais l'histoire est vraiment fade, un mauvais shojo avec une histoire d'amour qui est très ténu....j'ai l'impression que l'on voit surtout les persos faire le grand nettoyage dans l'immeuble.....dommage....
La version japonaise des Bisounours. Une véritable déferlante de bons sentiments qui donne vite la nausée. Les personnages sont tous polis, attentionnés, affectueux, beaux, souriants, ... bref tout sauf humains. L'intrigue essaie de mêler vaille que vaille les sentiments, le souvenir de la guerre et la question de l'éducation, sans toutefois parvenir à susciter de réel intérêt. Reste le graphisme, certes très chatoyant mais rien d'exceptionnel. De quoi regretter Hayao.
Une belle vision pour les yeux, de jolis moments contemplatifs. Mais malheureusement, on se perd dans un scénario tout de même plutôt simple et des moments parfois longs.
Alors que Hayao Miyazaki se fait de plus en plus rare, les Studios Ghibli continuent de nous livrer presque un film par an. Ainsi, après le sympathique Arrietty du nouveau venu Hiromasa Yonebayashi, c'est au tour du fils mal-aimé Gorō Miyazaki de revenir avec un film extrêmement différent de ce qui est alors proposé depuis des années. Adaptation d'un shōjo des années 80, La Colline aux Coquelicots est une romance adolescente sans aucun élément fantastique... En effet, alors que Les Contes de Terremer était très inégal et finalement peu impressionnant, Gorō décide de présenter une histoire cette fois-ci intensément humaine où deux jeunes lycéens attirés l'un envers l'autre vont tout faire pour sauver leur foyer menacé de destruction et vont par la même occasion découvrir un lourd secret les concernant tous les deux. L'histoire se résume donc à ça : le nettoyage d'une bâtisse scolaire par ses fervents étudiants et la romance ambiguë entre deux adolescents. Avec une telle intrigue, difficile d'épater la galerie, surtout venant des Studios Ghibli qui commencent de plus en plus à oublier un détail qui faisait alors leur renommée : la magie. Ce n'est donc pas avec La Colline aux Coquelicots que Miyazaki fils va briller ni même égaler son illustre paternel, son deuxième film ne proposant finalement rien de vraiment palpitant. Outre une mise en scène d'une sobriété extrême, on n'arrive pas vraiment à s'attacher aux personnages, en particulier les secondaires (alors qu'il y avait matière à, comme par exemple le lycéen Shirô ou encore le chef philosophe). De plus, on pourra aussi blâmer Hayao pour avoir co-écrit une romance aussi pauvre qui, bien qu'elle soit agréable, ne parvient jamais à nous émouvoir. Aucun brin de folie ni même aucune séquence mémorable ne sera gravé dans notre tête et on sortira de la séance un brin neutre, comme si l'on avait assisté à une petite histoire sympathique mais sans plus. Ainsi, sans être un ratage, La Colline aux Coquelicots est juste un film mineur et par conséquent une déception pour le studio au totoro qui ne propose plus rien de vraiment éblouissant depuis quelques années.
Dans l'état actuel des chose on ne risque pas de confondre Miyazaki père et fils. La première tentative du fils, basée sur un scenario piqué au père, n'est pas bien concluante. Les images ne sont pas laides mais n'atteignent jamais la poésie et la beauté des images d'Hayao. Le rythme se traîne, la fin est plus que prévisible et tout le film est nappé d'une musique et de chansons bien nulles.
Goro Miyazaki profite du génie de Hayao son père et du savoir faire des studios Ghibli pour l'excellence dans le film d'animation. Néanmoins le fils n'a pas (encore) le génie du père et il manque toute la magie qui nous émerveille tant dans le scénario des films cultes du maître japonais. L'histoire est belle mais un peu banale et simplette. Elle s'inspire d'ailleurs assez fortement de "Si tu tends l'oreille" sans pour autant l'égaler. De même la musique est sympa mais un peu ambiance guinguette. En bref c'est un bon film mais sans plus, de loin pas le meilleur des Ghibli, mais il est vrai que la barre est haute.
Pas le meilleur des films d'animations sortis des studios Ghibli, La Colline Aux Coquelicots n'en reste pas moins une très belle histoire colorée et poétique à souhait.
On sent tout de suite que la patte Miyazaki petit n'est pas la même que son paternel. Nous avons ici une sorte de film d'animation dramatique, pour blaser un petit peu plus histoire de finir notre journée. Enfin bref, je ne compte pas plus me justifier ! Je suis vraiment déçu, pas grand chose de mémorable.
Certes l image est très belle, le dessin soigné, de très beaux décors ... Mais on reste uniquement dans la contemplation car le récit lui peine à se lancer et on a tendance du coup à s ennuyer.
C’était bien , dans le genre nostalgique , Un village où les protagonistes s’ouvrent à l’envie d’aller plus loin dans le cadre de leur étude et jeunesse et essaient d’aller au delà de eux mêmes. Mais l’histoire qui aurait pu être un grand drama avec beaucoup d’émotions est une histoire basique où l’on ne ressent quasiment rien . Dommage