Note moyenne
2,8
18 titres de presse
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L'Obs
Le joli film qu'est "Au galop", histoire d'amour touchante, série de portraits bien dessinés, s'appuie avec bonheur sur une distribution excellente.
Le Monde
Dans "Au galop", on tombe amoureux - littéralement.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Transfuge
Une belle fresque sentimentale truffaldienne qui croise un chapelet d'histoires et de personnages tous mus par la même volonté : suivre le cours de ses désirs, qu'importe l'âge ou la condition physique.
TéléCinéObs
Au-delà des savoureuses prestations de ses interprètes, cette chronique délicate du deuil (...) joue avec la tradition romanesque d'un certain cinéma français, et livre un autoportrait de son auteur en imposant un ton à la fois burlesque et désenchanté.
Elle
On pense à Truffaut, et pas seulement à cause de la voix off. Mais parce que peu de cinéastes savent regarder les divers états amoureux d'une femme.
La Croix
Les scènes s'enchevêtrent, se répondent, liées par Paul, le narrateur, un homme qui réapprend à aimer. (...) Se dégagent de ces emprunts à la réalité une belle justesse de ton.
Les Fiches du Cinéma
Le brillant acteur Louis-Do de Lencquesaing signe des débuts prometteurs derrière la caméra, avec ce chassé-croisé parisien inspiré, enlevé et attachant, bien que très autocentré.
Les Inrockuptibles
(...) "Au galop" ne surpassera certes pas les sommets de Despleschin mais prolonge le genre, équivalent parisien des comédies new-yorkaises de Woody Allen.
Ouest France
(...) grâce notamment à l'implication constante des interprètes, il se dégage un charme contagieux de cette chronique douce-amère. Avec des réflexions, des sentiments et des élans qui, sous leur habillage spécifique, sont aussi ceux de tout un chacun.
Première
Beau projet, hélas affaibli par un personnage principal truffaldien un peu trop nonchalant.
Télérama
Le deuil et l'organisation des obsèques dans la grande demeure familiale en province réservent de bons moments de théâtre familial (...) Cet autoportrait (..) frise, hélas, aussi l'autosatisfaction. On aurait aimé sans doute que le réalisateur-acteur prenne plus de risques.
Cahiers du Cinéma
L'ensemble a du mal à passionner et souffre aussi d'épouser la facture d'un certain cinéma français bourgeois des années 80 et 90.
Critikat.com
Une tentative nombriliste parmi tant d'autres, du cinéma d'auteur qui s'imagine s'ouvrir aux autres alors qu'il crève d'autosatisfaction.
L'Express
Louis-Do de Lencquesaing, entre charisme et nombrilisme.
Le Figaroscope
(...) un imbroglio sentimentalo-familial au narcissime maniérée. Seule Marthe Keller, avec son charme et son esprit, tire son épingle du jeu.
Ecran Large
Visionner "Au galop" sans prendre de précautions pourrait avoir des conséquences fâcheuses, et remettre durablement en question votre attachement au septième art.
Excessif
Plutôt moche, pas très bien interprété et ne bénéficiant aucunement d'une grande qualité d'écriture, "Au Galop" rappelle au spectateur que metteur en scène est un métier qui ne s'improvise pas.