Un casting qui nous promettait un bon film. Et bien c'est tout le contraire ! Je me demande encore comment tous ces acteurs ont fait pour jouer aussi mal. Très étonnant de la part d'EMMANUELLE DEVOS. L'émotion ne prend pas et on ne rigole pas, loin de là !
Un joli film qui dépasse de loin la famille juive immigrée polonaise. Loin de l'Heure d'été, qui présentait une succession sans ride, sans anicroche, sans émotion, totalement irréelle, suite à la mort de la mère, vécue par les trois enfants, et leurs familles, Assez bien enlevé le film brille par le superbe jeu de tous les acteurs, en particulier les trois principaux, les deux soeurs, Sandrine Kiberlain et Emmanuelle Devos, méritant une mention spéciale. Un film à aller voir avant la mort de ses parents, et après aussi !
Film hyper émouvant qui devrait raisonner en chacun de nous (qu'on soit juif ou pas, qu'on ait encore nos parents ou pas). J'ai trouvé Sandrine Kiberlain parfaite mais suis très déçu des prestations de Berri et surtout d'Emmanuelle Devos qui nous a habitués a jouer beaucoup mieux.
...voici le deuxième film de la réalisatrice Idit Cebula après Deux vies plus une (2007), qui n'est pas resté dans les mémoires. Celui-ci devrait suivre le même chemin. Sur le papier, on aurait pu s'attendre à une comédie nostalgique, grinçante ou douce-amère sur la famille, le deuil et la difficulté (ou pas) de perdre une mère. On restera donc sur notre faim... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-rue-mandar-114925287.html
Cela se voudrait chronique familiale nostalgique (la mère vient de mourir, retour à l'appartement familial rue Mandar dans le 2ème arrondissement de Paris, maintenant en plein fief bobo, pour les 3 héros quadra/quinquas qui se retrouvent aux funérailles et doivent décider de le vendre ou pas) et enlevée, pimentée d'humour et de dérision ashkénazes, et c'est mal foutu, verbeux, avec 0 émotion au rendez-vous, factice et prétentieux de A à Z. Le casting prometteur sur le papier ne compense même pas l'absence de scénario et la mise en scène éparpillée. Richard Berry et ses deux soeurs de fiction, Emmanuelle Devos et Sandrine Kiberlain, réussissent à être mauvais ! Pas vu le précédent long métrage d'Idit Cebula, mais ce 2ème film en tout cas est un monument d'enflure stylistique et d'ennui sidéral.
Bon, ben, voilà, voilà... on reste sur sa faim, on est même un peu déçu, il y a les ingrédients, une excellente Kiberlain, une Emmanuelle Devos très vraie, un Richard Berry sympa et le tout sur un scénario sûrement vrai... Dommage que la mayonnaise ne prenne pas vraiment !
Des juifs veulent payer leurs impots alors ils se reunissent , font un film de merde qui ne verra pas assez de spectateurs pour les payer ! ah oui 4 juifs sont restés dans la salle sans rire mais par solidarité ... quel dommage pour devos d'habitude si brillante et ici si nullissime !
Film très ennuyeux avec des séquence qui se veut être drôle mais ne le sont pas, on a du mal comprendre quel message veut on nous faire passer dans ce film.
Un film drôle, émouvant, plein de charme. On rit, on sourit, on est un peu triste, voire nostalgique...Tous ces ingrédients réunis font la recette d'un très bon film, servi par une excellente brochette d'acteurs !
Malgré de bons acteurs ça ne prend pas. Il manque quelque chose. Ils viennent de perdre leur mère et la situation n'a rien de touchant. Aucune émotion, pas drôle. Ce doit être un exploit d'arriver à un résultat si médiocre avec de tels ingrédients.
Il y a un problème avec ce film sympathique on reste au bord de l'émotion ou du rire!!! On ne passe pas un mauvais moment, mais cela reste trop téléfilm , L'éloge délicat de la difficulté de l"amour fraternel nous fait regretter ce qui aurait pu être une merveilleuse comédie familiale
c'est une catastrophe, autant paulette est un fil pour rire avec un certain regard sur la société autant rue mandar est creux aucune histoire je suis parti avant la fin
Aucun interet, un film de plus sur la fatrie 'juive' qui n'apporte rien de plus helas. C est tout juste si on y trouve quelques bons moments sympas. Et en prime que la realisatiion ne savait pas ou aller... je me suis copieusement emmerde