Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Manuela Frésil montre, avec une puissance visuelle impressionnante, les corps des bêtes tuées à la chaîne et les corps des hommes, dont elle restitue magnifiquement la parole, abîmés par la chaîne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Le grand écran amplifie [la] violence jusqu'au vertige, donnant à éprouver, sur un plan sensoriel et physique, le quotidien traumatique des employés. Salutaire.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Clémentine Gallot
"Entrée du personnel" s’inscrit dans la tradition du domaine ouvrier mâtiné de cinéma d’horreur.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Manuela Frésil a longuement enquêté, puis filmé dans différentes usines avant de construire la forme de ce documentaire où les voix, comme les carcasses d’animaux flottent au dessus des corps.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
La cinéaste souligne poétiquement la gestuelle de ces tâches mécaniques. Certes, les animaux souffrent, maîs les hommes aussi, soumis à des cadences de plus en plus infernales au nom de la rentabilité. Édifiant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Un film choral, puissant, salutaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Affinant son propos au fur et à mesure que le film avance, la documentariste a eu l'idée de prendre la chaîne à l'envers : commençant par le bout pour remonter peu à peu vers le lieu de la "tuerie" (c'est le terme consacré).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On peut être un peu dérouté par la rareté de témoignages directs de ces ouvriers, le plus souvent remplacés par leurs voix off, manifestement écrites et lues plutôt que dites spontanément. Ce procédé participe de la différence de ce documentaire fort.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
La force tragique de Manuela Frésil évoque souvent "Les Temps modernes". Sans l'humour bien sûr. (...) "Entrée du personnel" est un documentaire grave.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Elise Domenach
Dans la tradition des plus beaux documentaires, tout à la fois "d'enquête" et "de création".
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gaël Golhen
L'idée de mise en scène [de Manuela Frésil] permet au spectateur de dépasser la rage provoquée par ces visions infernales pour se mettre à réfléchir. Bien vu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Mathilde Blottière
Ce brûlot dénonce l'une des pires aberrations de notre temps : les progrès de la mécanisation, loin d'aider les ouvriers, les ont maintenus en enfer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Cette plongée en apnée dans les grands abattoirs industriel est un documentaire militant qui ne peut laisser indifférent, et ceci malgré une forme très télévisuelle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Manuela Frésil met en place un dispositif qui fait à la fois entendre la force des mots qui expriment cette souffrance et préserve l'anonymat de ceux qui les disent (...) Cette indécision est un des facteurs qui affaiblit considérablement le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Manuela Frésil montre, avec une puissance visuelle impressionnante, les corps des bêtes tuées à la chaîne et les corps des hommes, dont elle restitue magnifiquement la parole, abîmés par la chaîne.
TéléCinéObs
Le grand écran amplifie [la] violence jusqu'au vertige, donnant à éprouver, sur un plan sensoriel et physique, le quotidien traumatique des employés. Salutaire.
Cahiers du Cinéma
"Entrée du personnel" s’inscrit dans la tradition du domaine ouvrier mâtiné de cinéma d’horreur.
Critikat.com
Manuela Frésil a longuement enquêté, puis filmé dans différentes usines avant de construire la forme de ce documentaire où les voix, comme les carcasses d’animaux flottent au dessus des corps.
L'Express
Voir le site de L'Express
L'Humanité
La cinéaste souligne poétiquement la gestuelle de ces tâches mécaniques. Certes, les animaux souffrent, maîs les hommes aussi, soumis à des cadences de plus en plus infernales au nom de la rentabilité. Édifiant.
L'Obs
Un film choral, puissant, salutaire.
La Croix
Affinant son propos au fur et à mesure que le film avance, la documentariste a eu l'idée de prendre la chaîne à l'envers : commençant par le bout pour remonter peu à peu vers le lieu de la "tuerie" (c'est le terme consacré).
Les Inrockuptibles
On peut être un peu dérouté par la rareté de témoignages directs de ces ouvriers, le plus souvent remplacés par leurs voix off, manifestement écrites et lues plutôt que dites spontanément. Ce procédé participe de la différence de ce documentaire fort.
Libération
La force tragique de Manuela Frésil évoque souvent "Les Temps modernes". Sans l'humour bien sûr. (...) "Entrée du personnel" est un documentaire grave.
Positif
Dans la tradition des plus beaux documentaires, tout à la fois "d'enquête" et "de création".
Première
L'idée de mise en scène [de Manuela Frésil] permet au spectateur de dépasser la rage provoquée par ces visions infernales pour se mettre à réfléchir. Bien vu.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live
Télérama
Ce brûlot dénonce l'une des pires aberrations de notre temps : les progrès de la mécanisation, loin d'aider les ouvriers, les ont maintenus en enfer.
aVoir-aLire.com
Cette plongée en apnée dans les grands abattoirs industriel est un documentaire militant qui ne peut laisser indifférent, et ceci malgré une forme très télévisuelle.
Le Monde
Manuela Frésil met en place un dispositif qui fait à la fois entendre la force des mots qui expriment cette souffrance et préserve l'anonymat de ceux qui les disent (...) Cette indécision est un des facteurs qui affaiblit considérablement le film.