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klap2fin
17 abonnés
376 critiques
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2,0
Publiée le 28 novembre 2014
C'est bien fait, bien réalisé et bien joué mais en dehors de ça, c'est prévisible, un peu moisi et totalement bâclé. Je ne doute pas que c'est un film qui remportera un franc succès auprès des ados qui n'ont aucune référence cinématographique et qui se laisseront embarquer dans cette histoire qui se termine, ou commence (suivant le point de vue) en eau de boudin. Comme un trop grand nombre d’œuvres cinématographiques issues de nouvelles à la qualité littéraire douteuse, le réalisateur choisit une fois encore la facilité de laisser le spectateur face à ses interrogations avec une fin qui n'en n'est pas une. Encore une œuvre que le réalisateur n'a pas su finir et dont il se débarrasse en la bâclant tout bonnement....
Pour ceux qui diront que ce film ressemble trop à Hunger Games, Divergente et Le Labryrinthe il est important de noter que le livre "Le passeur" a été écrit et publié bien avant tous les autres sagas que vous citez. Ayant lu ce livre il y a longtemps lorsque j'étais au collège, j'étais très étonnée de voir qu'ils en avaient sortis un film, au vue des commentaires j'étais très perplexe quant à ce film et finalement je ne suis pas décu ce film est un petit chef-d'oeuvre, les images sur l'Humanité nous donnent des frissons, il n'est pas long du tout, il est même à mon goût un peu trop court, j'aurai rajouté 1h de plus pour pouvoir mettre en scène des moments plus détaillés. Je ne suis pas déçue du tout, et je le conseille à ceux qui auraient des doutes quant à la qualité du film.
Vous vous en doutez, encore une adaptation d'un best-seller pour adolescent qui n'amène rien de bien nouveau. On a l'impression de voir Pleasantville mais dans le futur. Les stars ont accepté car le livre fait parti du programme littéraire dans les lycées anglophones. Espérons que les trois suites resteront seulement des livres.
Un film sur la vie en communauté dans un futur plus ou moins proche, une vie sans emotions, contrôlée au millimètre par des dirigeants souhaitant maintenir ordre et règles. Nous sommes clairement sur une base copiée collée de The Island, Scarlett Johanson et le scénario en moins. Ce dernier manque cruellement de précisions et n'a pas été approfondie. On survole la decouverte du monde réel par Jonas grâce au passeur, a tel point que nous ne savons rien sur les origines de cette communauté, sur le véritable "pourquoi" de sa création. Ce film n'est en réalité que la quête d'un garçon souhaitant que son monde retrouve les souvenirs propres a son peuple, et il ne faut pas espérer obtenir davantage d'explications. Vive l'amour, la joie, la différence et partageons tous ensemble nos émotions : c'est a peu pres tout ce que nous pouvons retenir.
Il y a de l'idée, même si je trouve que l'essentiel semble calqué sur Divergente... L'utilisation du noir et blanc est intelligente, les images sont belles et le thème nous amène à une réflexion, ce qui n'est pas déplaisant. Mais alors quelle lenteur, quelle froideur, et qu'elle inertie... On n'arrive pas à se projeter a 100%. Dommage.
ne pas s'attendre à du spectacle, beaucoup de psychologie et une revisite assez différente d'équilibrium ou l'humanité se retrouve forcé de vivre sans sentiments
se film reprend beaucoup l'idée des utopie de hungeur games et divergente et l'histoire de ne pas avoir de sentiment ma fait pence a equilibrium mais il nous rappelle comment nous vivons et nos émotion sont partie intégrale de nous même je trouve que le film renferme tout de même de très belle image ainsi que les sentiment qui reste les meilleur chose qui se trouve en nous même mais comme le pire ! bon film
Oui ! on veut des films de science fiction comme celui ci. Non le scénario n'est pas extrêmement novateur et on se passerait volontiers des histoires d'amour qui hantent souvent les films mais pourtant le résultat est agréable à regarder>. Par ailleurs on aimerait un charmant Brenton Thwaites un peu plus dénudé pour la touche sexy et un peu moins ado.
Très bon film, de très bons effets visuels, mouvement de camera choisis au millimètre, un scénario bien ficelé,des acteurs excellents . Un film a voir et a revoir
J'attendais beaucoup de ce film qui avait tout pour me plaire d'après le synopsis. L'histoire était très intéressante, j'avais hâte de le voir. En plus, Jeff Bridges et Meryl Streep sont deux acteurs que j'affectionne particulièrement. Eh bien, ce fut sans plus... J'ai trouvé que le film restait trop superficiel, n'exploitant pas son potentiel jusqu'au bout. Il m'a manqué de l'émotion également, de l'action. Et le pire, c'est que jamais nous n'avons de réponse à nos questions : pourquoi en sont-ils là ? Où sont-ils ? Qui sont les autres à l'extérieur...
Un bon film dans l'ensemble avec une base scénaristique qui - sans être révolutionnaire - apporte des nouveautés intéressantes.
spoiler: Les effets liés aux couleurs au début du film sont une réussite et les acteurs restent bon sur de nombreux points. La réalisation et les visuels sont quant à eux de bonnes qualités.
Avec une fin un peu rapide néanmoins, il manque quelques éléments pour être satisfait sur tous les points.
Une film qui se distingue sans aucun doute dans le monde SF.
Je suis allée voir ce film sans attention particulière et heureusement. Les plus: la morale sur l'être humain, les jeux de couleurs, le casting. Les moins: pas assez d'impact ni de profondeur au moment des souvenirs, des émotions et des couleurs, un scénario qui se fini pire qu'en queue de poisson, des questions avec une réponse bâclée... Dommage, vraiment!
Et bah j'me suis bien ennuyé quoi! Je n'ai pas du tout adhéré au film... J'ai trouvé les acteurs totalement à l'ouest, les dialogues pas géniaux, et certaines réactions ou passages totalement insensés. Malgré tout l'esthétique est quand même soigné, et c'est pas laid, le passage de la couleur au N&B et intéressant, et permet aussi bien de se représenter les émotions. Mais perso ça ne m'a pas suffi pour apprécier le film, au final j'ai passé plus de temps à me faire des films tout seul... Et puis bon, qui aime entendre un bébé chialer autant? (Joke) spoiler: "Il est clair qu'il va aller dans ma chambre!" Mon dieu vas-y prends! Voici sa cage, sa paille et ses jouets! , nan, je cherche je cherche, mais je n'ai pas aimé, y'a surtout des dialogues à côté de la plaque qui me reviennent. Bon, les ados vont kiffer j'suppose!
Énième film adapté d'une série de romans et mettant en scène des adolescents, The Giver parvient à se démarquer par son univers en noir et blanc qui symbolise un futur où les émotions sont supprimées par injection quotidienne afin que tout le monde soit pareil pour éviter que les péchés humains tels l'avarice et la jalousie soient de nouveau source de guerre. Lors d'une cérémonie à chaque adolescent devient adulte (il doivent avoir dans les 16 ans vu leur jeune âge), un rôle leur est attribué (ce qui n'est pas sans rappeler le scénario de Divergente) et le protagoniste Jonas se trouve désigné comme prochain giver étant donné ses capacités à voir "au-delà", soit à ressentir quelques émotions et à voir quelques couleurs pendant un cours laps de temps. La trame scénaristique est correcte bien qu'assez classique et parfois prévisible, le film se regarde sans transcender quoi que ce soit mais avec un travail intéressant sur le noir et blanc, les plans à peine colorés et les clichés à la photographie éclatante. spoiler: Outre quelques clichés maladroits comme le discours sur l'amour et les sentiments, la romance qui s'installe entre Jonas et son amie Fiona reste subtile et se contente de simples baisers bien loin des roulages de pelle torses-nus sous font de ciel étoilé avec une musique niaiseuse. Le concept reste cependant bien intéressant, les personnages demandent souvent à "préciser le langage" quand on ne parle pas de manière asentimentale et l'interprétation des protagonistes est réussie. Brenton Thwaites est un ado comme les autres qui rappelle grandement la simplicité et l'efficacité d'Andrew Garfield (Boy A, The amazing Spider-Man), Jeff Bridge fait un mentor correct et Odeya Rush est juste mignonne comme il faut dans un de ses tout premiers rôles, seule Meryl Streep peut peiner à convaincre sans son rôle de méchante lambda.