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DavY Croquette
50 abonnés
1 181 critiques
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3,5
Publiée le 21 janvier 2021
L'histoire de base plutôt intéressante mais malheureusement c'est un peu "gnan gnan". Mais comme le scénario est intéressant on passe un bon moment. Dommage pour la fin bâclée.
Du vu et du revu... malgré un scénario agréable, des acteurs qui joue dans l'ensemble correctement. On se laisse aller, mais on aurait pu se passer de se genre de film...
J'ai lu le livre.. plusieurs fois! Et ce film est extrêmement bien fait, retrace parfaitement l'histoire du livre.. Je recommande, c'est une belle histoire!
C'est bien fait, bien réalisé et bien joué mais en dehors de ça, c'est prévisible, un peu moisi et totalement bâclé. Je ne doute pas que c'est un film qui remportera un franc succès auprès des ados qui n'ont aucune référence cinématographique et qui se laisseront embarquer dans cette histoire qui se termine, ou commence (suivant le point de vue) en eau de boudin. Comme un trop grand nombre d’œuvres cinématographiques issues de nouvelles à la qualité littéraire douteuse, le réalisateur choisit une fois encore la facilité de laisser le spectateur face à ses interrogations avec une fin qui n'en n'est pas une. Encore une œuvre que le réalisateur n'a pas su finir et dont il se débarrasse en la bâclant tout bonnement....
The Giver est un film que je regarde une fois tous les trois ans environs mais qui a toujours un effet positif sur moi. Pourtant le film n'est pas particulièrement extraordinaire. Il surf bien évidemment sur la tendance des films pour adolescent, mais il a le mérite de ne pas en faire trop. De plus, je trouve son message assez beau et le traitement pour le mettre en avant très bien réussi et surtout je suis a chaque fois envouté devant les images "de l'avant".
Un petit film sympathique qui peut remplir une après midi/soirée en famille sans aucune difficulté.
Cela faisait un moment que Jeff Bridges voulait adapter le roman de Lois Lowry. Le voilà qui officie en tant que producteur et acteur, se retrouvant face à Meryl Streep et on ne va pas se mentir sur le fait que c'est la présence de ces deux acteurs au générique de "The Giver" qui font qu'on se retrouve devant le film. Énième adaptation d'un roman de science-fiction pour adolescents, le film dépeint une société privée de couleurs, d'émotions et de souvenirs afin que tout repose dans une harmonie visiblement parfaite mais basée sur le mensonge. Tout bascule le jour où le jeune Jonas est désigné pour être celui qui reçoit la mémoire, préservée par une seule personne afin de pouvoir conseiller les Sages en cas de crise. Jonas se voit donc transmettre des souvenirs et des émotions par le Passeur (joué par Bridges) et remet (forcément) en cause la société dans laquelle il vit, devenant une menace. S'il est sans surprises, "The Giver" n'est pas forcément désagréable notamment parce que c'est Phillip Noyce derrière la caméra et que l'homme sait ce qu'il fait, parvenant à maintenir notre attention et à faire naître des sentiments sur une histoire vue et revue mais qui parvient à nous captiver un minimum.
Dans la même veine qu’Hunger Games ou Divergente, The Giver est le premier opus d’une saga littéraire pour adolescents. Malheureusement, cette adaptation de Phillip Noyce n’a pas rencontré le succès aux Etats-Unis. Si certaines séquences semblent cousus de fil blanc, notamment l’escapade du personnage principal avec un bébé dans les bras, si certains propos résonnent mal ou sont détaillés à la va vite, The Giver reste un bon film de science-fiction intellectuelle. Il ouvre à une réflexion passionnante sur le ressenti et la création de nouvelles règles. De plus, le film est servit par un casting non négligeable. Meryl Streep et Jeff Bridges se prennent une bonne retraite grâce à leurs rôles faciles mais percutants. On ne sait pas si Brenton Thwaites et Odeya Rush auront un avenir sur le grand écran, mais leur performance est convaincante. On a même le droit à un retour de Katie Holmes pas vu depuis un moment au cinéma. Enfin le noir et blanc restait un pari osé pour un public majoritairement jeune. Le résultat est appréciable. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Apres une première partie très réussi d'apprentissage, d'émerveillement, d'information, porté par une excitation de découverte, le film préfère se conclure dans un dénouement sans queue ni tête formaté au possible, et très décevant.
Fortement ressemblant à "Divergent", "The Giver" est une fresque adolescente de plus. Alors certes l'histoire est très plaisante et les acteurs rafraîchissants, mais pas sûr qu'il était vraiment nécessaire de copier ainsi un film déjà existant, si récent. On passe néanmoins un bon moment, avec de l'action, des sentiments, du suspense et une bonne dose de héroïsme. A noter la présence de grands noms, tels Jeff Bridges ou Meryl Streep.
Pas extra mais pas si mauvais que ça non plus, ça se suit facilement. Un scénario qui laissait penser à un nouveau film pour ados tiré d'un bouquin comme on en voit trop, et surtout des mauvais qui essaient de choper le filon. Et pourtant, c'est un film aux idées intéressantes, qui fait un parallèle évident avec notre monde actuel. La mise en scène et ce passage progressif du noir et blanc à la couleur est vraiment une bonne idée, ça colle parfaitement à l'idée du film, au réveil du héros qui ouvre les yeux sur ce que son monde est réellement. Les acteurs ne sont en plus pas mauvais même si pas suffisamment développés à mon goût mais un film plus long aurait peut être lassé et n'aurait pas laissé une aussi bonne impression. Un film pas ridicule et pas si identique aux autres productions de ce genre comme on pouvait s'y attendre.
Malgré la curiosité suscitée par les premières minutes, ce film young adult n’est jamais arrivé à me sortir de la léthargie dans laquelle je me suis progressivement réfugié.
Basé sur le best-seller de Lois Lowry paru en 1993 et depuis intégré aux programmes scolaires anglo-saxons, The Giver suit le parcours du jeune Jonas. Dans un futur proche où les émotions, ainsi que toute trace d’histoire, ont été éradiqués, celui-ci se voit attribué le métier de « Passeur ». Ce dernier est l’unique dépositaire de la mémoire collective. Énième œuvre Young Adult à être portée sur grand écran, The Giver tient surprenamment plus de L’Âge de cristal que de Divergente. On pense même parfois à Bienvenue à Gattaca ou Les fils de l’homme. Dommage que le nouveau film de Philip Noyce (Calme blanc, Salt) n’en atteigne jamais la portée. Pourtant le matériau de base est excellent. Le court roman de Lowry a des accents de conte quasi philosophique pour grands enfants. Mais il y a clairement des histoires qui ne devraient être racontées qu’à l’écrit. Afin d’attirer la cible privilégiée par les studios dans les salles (à savoir les ados), de nombreux aspects du livre ont été modifiés. Jonas n’a plus 12 mais 16 ans, de nouvelles technologies apparaissent, le leader de la communauté se retrouve diabolisé et une brève love story est développée (au moins, on échappe au triangle amoureux). Ce qui faisait toute l’originalité du roman devient clichés et mièvreries. Les excellentes prestations de Jeff Bridges et surtout Brenton Thwaites n’y changent rien. The Giver ne marquera pas les mémoires…
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