AlloCiné
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Note moyenne
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Votre avis sur The Giver ?
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34 critiques
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Sympathique petit film, mignon. Il se regarde bien, mais pas inoubliable, la résolution est trop facile. On est quand même loin de la réussite d'un Divergente.
L'idée de départ est excellente et ce film ouvre ouvre le débat sur la perte du libre arbitre et l'endoctrinement. Néanmoins j'aurais aimé un film plus abouti. Toute l'action semble se dérouler beaucoup trop vite. Ca manque de détails, on a l'impression que le scénariste a fait en sorte de rester dans le timing quitte a zapper un peu !
Que c'est gnan-gnan !! Pff ! Une calamité à regarder ! Un film duquel ne ressort aucune passion, aucune énergie, jamais on ne s'attache à ces personnages, à cette histoire plutôt ridicule et qui ennuie très vite. Certains passages sont bons mais ils sont rares. La plupart du temps, on se retrouve devant une œuvre mal interprétée, mal réalisée, mauvaise, stupide, illogique et manquant cruellement d'originalité. Ce film sonne creux, il ressemble à tellement d'autres qu'on ne peut pas se captiver, qu'on ne prend aucun plaisir !!
NammJones
Un scénario classique d'un héros qui doit sauver son monde pour les yeux d'une belle.
Ça aurait pu être un peu plus poussé et un peu plus profond car certains passages manquent de folie, d'histoire et de charme. C'est assez plat dans l'ensemble et ça manque cruellement d'action.
C'est un film à réflexion.
Ça aurait pu être un peu plus poussé et un peu plus profond car certains passages manquent de folie, d'histoire et de charme. C'est assez plat dans l'ensemble et ça manque cruellement d'action.
C'est un film à réflexion.
shindu77
Film pas mal par son concept. Les acteurs sont bons dans l'ensemble. L'histoire donne dans l'originalité. Cependant, la réalisation n'est pas fameuse. C'est trop mou, trop lent. Du coup, le film est plutôt décousu. Dommage au final.
Voilà quelques années maintenant que les films de science-fiction dits "familiaux" ont largement tendance à se développer : on peut citer Time Out, Hunger Games ou encore Le Labyrinthe pour étayer ce propos. The Giver, de Phillip Noyce, va dans ce sens en surfant sur la vague avec un scénario relativement bien étayé et une mise en scène proprement construite. Dans un futur lointain, la vie en communauté a beaucoup changé : tandis que des règles strictes sont imposées aux habitants (rappelant un certain THX-1138), et que les sentiments tendent à disparaître, l'autorité en place donne à un jeune garçon (beau et bien bâti, bien évidemment, et qui a des ami(e)s stéréotypés) la possibilité de prendre connaissance du passé. Il découvre alors la vie animale, nos coutumes actuelles, ce que représente vraiment l'amour. Via une mise en scène spécifique, puisqu'on passe du noir et blanc aux couleurs flashy et bariolées, Noyce élabore une jolie histoire qui passe bien, où interviennent Jeff Bridges et Meryl Streep, hommage de plaisir de la vie.
Un young adult froid, plus adulte que la moyenne, et rappelant "Bienvenue à Gattaca" avec son modèle de société totalitaire et eugéniste. L'histoire est touchante sans être mièvre, le casting est solide et certaines images, superbes.
Nicolas V
encore une fois, on nous plonge dans un univers ou une société diffère de la notre par un concept préétablie. Dans hunger games : ce sont des jeux qui sont mis en place, dans divergente, ce sont des classes sociales et dans giver, le concept du film est : le manque de couleur. On retrouve des ados dans les roles principaux ( intrigues amoureuses ultra prévisibles et recherche de soi au rendez vous bien sur ) qui vont bouleverser l'ordre établi car le héros est l"élu". Bref , la recette de ce genre de film a marché par le passé, donc pourquoi se priver? Mais cette fois ci, le concept n'est pas assez interessant ni travaillé pour tenir le temps du film. Vite la couleur reviens, et l'ennui avec. Le film nous fait penser très brievement à Equilibrium ou les personnages découvrent aussi les sensations devenues interdites. Mais malgré le concept de la mort ici revisité,et assez interessant, the giver n'offre pas assez de profondeur , les personnages sont mal écrits, et le manque de fin confirme que ce film aurait du rester un livre.
Un scénario intéressant et plutôt original. Un film à l'esthétique remarquable. Cependant, le traitement est beaucoup trop froid et superficiel pour donner un film passionnant. C'est bien dommage.
Il fut un temps où Phillip Noyce était un grand réalisateur, un grand espoir du cinéma international. Il nous avait notamment carrément bluffés avec son "Calme blanc" de très haute volée. Il semble toutefois s'émousser, car au cours des années on a perdu de vue ce qui paraissait être un talentueux bonhomme. Tout ça pour en arriver à ce film mièvre, cousu de fil blanc et prodigieusement ennuyeux. Il n'y a en effet aucune émotion, aucun suspense (le scénario étant d'une insigne banalité), aucune originalité. Il faut par ailleurs en terminer définitivement avec ces histoires post-apocalyptiques que l'on nous sert jusqu'à l'écoeurement. Et puis, Phillip, il faut te ressaisir.
Je n'ai rien trouvé de bon dans ce film. Déjà l'histoire est tirée par les cheveux. Les acteurs ne sont pas convaincants. Il ne se passe rien d'intéressant. Et le dénouement est également dénué d'originalité.
En plus le film est truffé d'invraisemblances et incohérences. Oui ok, c'est un film de fiction et c'est difficile d'être réaliste, mais ici c'est trop de clichés inspirés des films et séries de fiction des années 80 : on est du coup du niveau d'un petit film de série B.
En plus le film est truffé d'invraisemblances et incohérences. Oui ok, c'est un film de fiction et c'est difficile d'être réaliste, mais ici c'est trop de clichés inspirés des films et séries de fiction des années 80 : on est du coup du niveau d'un petit film de série B.
Dans la lignée des teen movie tels que Divergente ou Hunger Games, mais supérieur à ses deux derniers car ponctué de quelques bonnes idées : L’association des couleurs aux émotions est par exemple plutôt ingénieuse. Le scénario est correct bien que convenu, avec des ados en rébellion face à un état totalitaire. La casting est honnête et le film, sans être exceptionnel, à le mérite de divertir. Malgré une niaiserie ambiante inhérente à ce type de film, The Giver est plus agréable et profond que je ne l'aurais pensé.
J'attendais beaucoup de ce film qui avait tout pour me plaire d'après le synopsis.
L'histoire était très intéressante, j'avais hâte de le voir. En plus, Jeff Bridges et Meryl Streep sont deux acteurs que j'affectionne particulièrement. Eh bien, ce fut sans plus... J'ai trouvé que le film restait trop superficiel, n'exploitant pas son potentiel jusqu'au bout. Il m'a manqué de l'émotion également, de l'action. Et le pire, c'est que jamais nous n'avons de réponse à nos questions : pourquoi en sont-ils là ? Où sont-ils ? Qui sont les autres à l'extérieur...
Très décevant donc, quel dommage !
L'histoire était très intéressante, j'avais hâte de le voir. En plus, Jeff Bridges et Meryl Streep sont deux acteurs que j'affectionne particulièrement. Eh bien, ce fut sans plus... J'ai trouvé que le film restait trop superficiel, n'exploitant pas son potentiel jusqu'au bout. Il m'a manqué de l'émotion également, de l'action. Et le pire, c'est que jamais nous n'avons de réponse à nos questions : pourquoi en sont-ils là ? Où sont-ils ? Qui sont les autres à l'extérieur...
Très décevant donc, quel dommage !
Un concept très accrocheur qui est prometteur. Petit à petit, le film prend la trajectoire de la facilité, dommage. Cela reste malgré tout agréable à regarder.
Mon avis:
Ca partait plutôt bien ce film, un bon début avec quelques bonnes idées sympa comme le noir/blanc (me rappelant l'excellent Pleasantville) , le style pure et propre très 'Gattaca', et surtout l'histoire proche de 'Brave New World', le roman dystopique d'Aldous Huxley.
SPOILERS
...il y a la découverte des couleurs liées aux sentiments, aux émotions, l'amour, un peu comme si le héros se prenait une puberté accélérée en pleine tronche, les premiers émois pour une fille, c'est joli tout ça...
...puis ça part en vrille totale avec une fuite improbable et en 5 minutes d'images dans 36 climats différents avec pour terminer, le franchissement d'une sorte de ligne d'arrivée, en luge, pour sauver tout le monde comme par magie. Si je résume, il suffit de franchir une simple barrière magnétique pour que tout le système s'effondre? Et les médocs du matin alors ils servent à quoi? Un système aussi complexe tient à un fil aussi mince? Mais je rêve! Et si un lapin de garenne avait franchi la barrière, ou un pinson à col bleu, ou un des habitants du chalet qui cherche du bois pour griller la dinde de thanksgiving?
Bref, ça n'a aucun sens, en tout cas dans le film, le bouquin je l'ai pas lu, mais au risque de me répéter un film doit se suffire à lui-même et pas être l'extrait mal géré d'un livre qu'on doit sans arrêt consulter pour comprendre, car dans ce cas...le film est raté.
Et malheureusement, pour moi The Giver est...raté.
Malgré un bon postulat de départ, The Giver se perd dans du patos et des poncifs habituels (le choipeau...enfin la sélection, encore et toujours la 'différence' du héros, l'ami méchant-gentil, la méchante qui cache mal sa méchanceté, le vieux gentil rebelle désabusé, l'amour naissant, les images d'archives de l'humanité lourdingues à souhait) et le final...bon sang le final, ce machin est envoyé d'une manière tellement expéditive et peu réaliste qu'on en reste bouche-bée...sauf si bien entendu il faut avoir bouffé un space cake en lisant toutes les pages des bouquins pour comprendre les incohérences et les raccourcis scénaristiques...ce qui je répète ferait que le film soit raté.
Il n'y a pas besoin de 250 millions de milliards pour faire un film de qualité, qui plaise au grand public et qui soit intelligent, innovant et pertinent.
Il suffit d'un peu d'imagination, de l'envie de plaire et surtout il faut respecter l'intelligence des spectateurs, quel que soit leur âge.
Dommage, ce film avait un bon potentiel, et pour moi il est totalement gâché
Ah et Taylor Swift n'y est pour rien!
Ca partait plutôt bien ce film, un bon début avec quelques bonnes idées sympa comme le noir/blanc (me rappelant l'excellent Pleasantville) , le style pure et propre très 'Gattaca', et surtout l'histoire proche de 'Brave New World', le roman dystopique d'Aldous Huxley.
SPOILERS
...il y a la découverte des couleurs liées aux sentiments, aux émotions, l'amour, un peu comme si le héros se prenait une puberté accélérée en pleine tronche, les premiers émois pour une fille, c'est joli tout ça...
...puis ça part en vrille totale avec une fuite improbable et en 5 minutes d'images dans 36 climats différents avec pour terminer, le franchissement d'une sorte de ligne d'arrivée, en luge, pour sauver tout le monde comme par magie. Si je résume, il suffit de franchir une simple barrière magnétique pour que tout le système s'effondre? Et les médocs du matin alors ils servent à quoi? Un système aussi complexe tient à un fil aussi mince? Mais je rêve! Et si un lapin de garenne avait franchi la barrière, ou un pinson à col bleu, ou un des habitants du chalet qui cherche du bois pour griller la dinde de thanksgiving?
Bref, ça n'a aucun sens, en tout cas dans le film, le bouquin je l'ai pas lu, mais au risque de me répéter un film doit se suffire à lui-même et pas être l'extrait mal géré d'un livre qu'on doit sans arrêt consulter pour comprendre, car dans ce cas...le film est raté.
Et malheureusement, pour moi The Giver est...raté.
Malgré un bon postulat de départ, The Giver se perd dans du patos et des poncifs habituels (le choipeau...enfin la sélection, encore et toujours la 'différence' du héros, l'ami méchant-gentil, la méchante qui cache mal sa méchanceté, le vieux gentil rebelle désabusé, l'amour naissant, les images d'archives de l'humanité lourdingues à souhait) et le final...bon sang le final, ce machin est envoyé d'une manière tellement expéditive et peu réaliste qu'on en reste bouche-bée...sauf si bien entendu il faut avoir bouffé un space cake en lisant toutes les pages des bouquins pour comprendre les incohérences et les raccourcis scénaristiques...ce qui je répète ferait que le film soit raté.
Il n'y a pas besoin de 250 millions de milliards pour faire un film de qualité, qui plaise au grand public et qui soit intelligent, innovant et pertinent.
Il suffit d'un peu d'imagination, de l'envie de plaire et surtout il faut respecter l'intelligence des spectateurs, quel que soit leur âge.
Dommage, ce film avait un bon potentiel, et pour moi il est totalement gâché
Ah et Taylor Swift n'y est pour rien!
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