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    The Giver
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    404 critiques spectateurs

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    FaRem
    FaRem

    7 522 abonnés 8 881 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 septembre 2014
    Cet adaptation d'un bouquin de 1993 ne m'a vraiment pas convaincu tout simplement parce que c'est très ressemblant de ce que l'on a pu déjà voir avec en l’occurrence "Divergente" en faite ce film à la malchance d'arriver après. Je ne sais pas si la personne qui a écrit "Divergente" s'est inspirée de cette oeuvre mais les similitudes sont troublantes surtout au début avec là aussi des gens qui vivent reclus après une catastrophe je crois et surtout la même cérémonie d’orientation pour adolescent qui est dirigée là aussi par une femme. Ensuite on semble reconnaître la même histoire que dans "The Island" mais une fois de plus pas de copie possible car c'est le bouquin qui est précurseur. Bref, mis à part ce sentiment de déjà vu le reste du film n'est pas à la hauteur c'est lent et ennuyeux il y a quelques bonnes idées comme celle de départ avec les gens qui sont drogués pour oublier le passé et les atrocités humaines ou encore la photographie avec cette variation de couleur mais c'est trop secondaire de toute façon et le traitement est trop superficiel voir niais pour que ça soit réellement efficace. En faite ça me fait mal de dire ça mais j'ai trouvé "Divergente" beaucoup plus divertissant que ce film et pourtant je ne l'ai pas trouvé bon ce qui veut tout dire concernant mon ressenti sur ce film.
    Napoléon
    Napoléon

    119 abonnés 1 541 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mai 2018
    Une histoire très intéressante et assez captivante qui fait réfléchir sur les agissements de l'être humain. Après les personnages sont assez transparents et la fin nous laisse trop sur notre faim.
    Seemleo
    Seemleo

    52 abonnés 888 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2014
    Dans la série des dystopies pour ados se déversant en cette fin d'année, "The Giver" est peut-être le moins tonitruant. Il y a pourtant une grâce, dans dans son adaptation cinématographique, manquant certainement à ses rivaux du moment. Roman écrit au début des années quatre-vingt, avant l'époque potérienne, pour ainsi dire dans la préhistoire de la teen-littérature, il a été ressorti à la suite du succès de "Hunger Games". Étonnement, la structure narrative colle jusqu'à la caricature au pitch à la mode : un monde structuré et normatif, des ados dans une sorte de prison surveillée, une volonté de s'en sortir et de se rebeller, la révolution au bout du compte. Pas besoins d'avoir fait de longues années de psychologie pour y décerner le béaba des préoccupations de tout adolescent : la société normative : les parents, l'affirmation de sa singularité face à ceux-ci etc...The Giver est plutôt dans le haut du panier de part sa thématique effleurant la philosophie et la spiritualité et par sa réalisation intelligente, fluide et sobre. On aurait aimé une suite...
    Inglorious_Ben
    Inglorious_Ben

    49 abonnés 1 438 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 décembre 2014
    Film pour midinettes par excellence, The Giver n'a rien à envier au récent Divergente, dans le même genre.
    Dans un futur plus ou moins proche, les humains ont perdu tout sentiment et vivent parqués dans des sortes de lotissements aseptisés. Chaque jeune, à l'âge de la majorité, se voit attribuer un rôle à part entière dans la communauté. Jonas, le personnage principal, est promu au rôle de "Passeur", sorte de gardien des souvenirs du passé. Ce rôle va lui offrir la possibilité de remettre en cause toute la société dans laquelle il vit.
    Passée la surprise d'un monde qui aurait pu être foisonnant et extrêmement profond, on se retrouve finalement avec une histoire rocambolesque, des acteurs pas si doués que ça (seuls les anciens s'en sortent bien), et un finish trop décevant. Une fois le générique de fin lancé, on conserve un léger goût amer, en se disant qu'on aurait pu faire beaucoup mieux avec une histoire aussi intéressante...
    Oriwa
    Oriwa

    54 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 octobre 2014
    La joie, le malheur, l'amour, la douleur, la beauté, la peine, la haine, la différence... nous animent et nous font vivre, tout simplement. Une énième adaptation qui verra sans nul doute ses suites, que j'attendrai !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 novembre 2014
    Scénario et surtout personnages d'une platitude ahurissante!!! Un film d'une vacuité inouïe. Reste l'originalité du jeu entre le noir et blanc et les couleurs, mais on est loin du compte pour rendre ce film un minimum intéressant.
    tisma
    tisma

    262 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2016
    Un bon film, tres prenant quoique un peu long au debut mais qui reste quand meme tres cruel, tres beau, avec des bons acteurs !
    Aurélien Syncopy
    Aurélien Syncopy

    30 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2014
    Une dystopie magistralement réalisée par Phillip Noyce ! Dans le futur, le monde est devenu une division de communauté dans lesquelles toutes les émotions, différences, sentiments ont été effacé alors les habitants vivent dans un semblant d'harmonie. Ces dernières années, les dystopies foisonnent au cinéma entre les géniaux Hunger Games et les moins bonnes Ames Vagabondes, le cinéma se rempli de monde futuriste sous contrôle. Outre le fait que The Giver ait une histoire de départ plus qu'intéressante, le traitement du réalisateur s'en trouve être parfait, le film a une esthétique incroyablement réussie avec le traitement des couleurs, des cadrages…
    Certains pourraient cependant reprocher quelques invraisemblances dans l'histoire ou quelques niaiseries qui sont finalement très peu présentes et nous laissent profiter au maximum de ce film réussi ! Partez voir The Giver dans vos cinémas pour profiter d'une expérience visuelle sublime sur une histoire entrainante !
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    159 abonnés 2 770 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2016
    Conspiration pour le maintien d'un système totalitaire, asseptisation et omission du milieu, le tout menant à une rébellion évidente, quoi de bien nouveau dans cette S.F mis à part le petit jeune au centre de l'intrigue... pas grand chose sachant que l'ado rebel est déjà intervenu pendant la Divergente. Sauf, que le divertissement adulescent prend ici davantage de profondeur, même si le rythme est moins enjoué.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 janvier 2016
    Bien au dessus de toutes les sagas pour ados, THE GIVER à quelque chose de plus profond : une histoire d'amour, une satire de l'homme, une leçon de vie...
    Beau jeu de couleurs et belles performance d'acteurs (jeunes), THE GIVER mérite son coup d'oeil.
    Mimit_le_vrai
    Mimit_le_vrai

    25 abonnés 504 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mai 2015
    Une bonne surprise ce film ! L'acteur principal s'en sort très bien et le scénario m'a beaucoup intéresser. La bande son aussi est vraiment très bien et permet de se faire entrainer encore plus dans le film. 14/20
    dominique P.
    dominique P.

    792 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 novembre 2014
    Je n'ai pas bien adhéré à ce film, je me suis ennuyée.
    C'est vraiment pas terrible et sans grand intérêt.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 novembre 2014
    un film palot (dans tout les sens du terme) qui pique allègrement sur divergente spoiler: la scène des attributions des fonctions sociales
    et sur THX 1138 l spoiler: e héros rebelle et la poursuite finale
    dans ce décors aseptisé le pompon est atteint quand spoiler: on voit le héros faire toutes ses acrobaties avec un bébé sans dommages pour le dit bébé!
    Irène B
    Irène B

    5 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2014
    un film qui nous laisse une impression de mal être, beauxoup de réflexions et la recherche d un monde meilleur. ..peut être une des solutions:
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    593 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 octobre 2019
    Sous ses aspects d’utopie revisitée à la sauce teenage movie se cache, en réalité, une œuvre intéressante et au propos fort qui s’interroge sur le droit à la couleur et à tout ce qu’elle peut suggérer – chaleur humaine, sentiments, art – dans un microcosme monochromatique. Le choix que fait Phillip Noyce n’est pas nouveau : bâtir une cité utopique pour mieux tendre au monde contemporain un miroir inversé. S’il règne aujourd’hui une surenchère des affects à grands renforts de symboles, de postures figées et de poncifs langagiers, c’est l’excès inverse qui prime au sein d’une communauté dépourvue de nom et que nous découvrons par le regard de Jonas. Comme dans le fameux conte voltairien, la valeur positive de l’utopie mise en scène n’est que de courte durée ; contre elle se heurte la connaissance et, en contrepartie, l’incapacité d’autrui à y accéder. Dénonciation du totalitarisme avec eugénisme et lavage des cerveaux – travaillé ici avec pertinence, puisqu’il s’agit de se saisir du passé comme d’un ensemble de données erronées, à la manière de 1984 –, The Giver s’avère être une œuvre sur la transmission du savoir et les pouvoirs figuratifs de la parole. Noyce donne à son édifice une structure éminemment biblique : Jonas, l’ange Gabriel dans le berceau, la notion-même de « passeur » incarnée par ce personnage de sage que campe Jeff Bridges. Passer, donner, transmettre : tous ces verbes portent l’idée d’un mouvement de l’esprit qui non seulement s’ouvre à l’inconnu, mais éprouve le besoin de partager à son tour ce qu’il a reçu. Comme le faisait très bien Pleasantville, le film aborde la transmission sous la forme d’une initiation à la sensibilité : découverte de la musique, des autres couleurs et du flux vital qu’elles contiennent, apprentissage de l’histoire de l’humanité, de ses beautés et de ses horreurs. Découverte de la beauté de l’existence enfin, et du droit à la vie. Tout cela ne va pas sans un contact physique avec son support : on devient soldat pendant la guerre du Vietnam, on tire sur un éléphant, on effleure les touches du piano, on se laisse glisser sur une luge. Là réside l’intérêt majeur de The Giver, soit raccorder le savoir à son émanation corporelle et sexuelle. Car l’entièreté du métrage est perlée d’images érotiques, à commencer par cette fontaine dont les buissons alentours forment un triangle vus du ciel, triangle amoureux (Jonas-Fiona-Asher) tout autant que sexe féminin. Le protagoniste principal commence à rêver, se rabouche à ses fantasmes sortis de leur sommeil : ses nuits se peuplent de visions qu’il ne comprend d’abord pas, lui permettent de s’explorer. Les dernières scènes affirment la nécessité de s’en remettre aux générations nouvelles, de leur transmettre le flambeau de l’humanité. Naissance équivaut à espoir. La connaissance et sa transmission sont alors envisagées comme un acte de foi, dans cette idée que la croyance constitue l’unique manière de voir au-delà des limites imposées par la réalité. Par une bien fade réalité. « On nous a toujours dit que l’ailleurs était loin. C’était une erreur : il était juste à côté ». Preuve que l’atrophie du désir engendre une réduction drastique de l’humanité et de la source d’imagination présente en chacun. Non, il n’y a pas à dire, The Giver se démarque des productions similaires, en dépit de lourdeurs aussi bien dans le raccord de ses thématiques que dans leur exécution. Le noir et blanc prend un sens, la couleur aussi. Pour conclure suffiront les propos du Passeur contemplant le désarroi latent dans lequel son univers est plongé : « nous ne sommes que l’écho lointain de ce qui nous a rendu autrefois vivants ».
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