Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Emile Breton
Aussi bien ce beau film – beau par ses fulgurances, un plan de la jeune femme dans son bain alors que le dialogue évoque "une hideuse statue de Marilyn Monroe à Vladivostok", ou les échappées sur des gares et leur quotidien de petits marchés – est-il une belle histoire d'amour qui ne s'aveugle pas sur lui-même.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
"Sibérie", que l'on imaginait carnet de route, devient alors bouleversant journal d'une rupture (...). En recomposant à sa volonté les images privées de cette passion révolue, [Joana Preiss] a imaginé une fiction intime à partir de son expérience (...), elle s'est écrit un rôle, peut-être pas conforme à la réalité mais dicté par son désir. Elle est devenue cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Usant de la mini DV comme auto-applicateur de fiction, [Joana Preiss] y rejoue pour la énième fois une figure exténuée de la modernité où le couple en voyage découvre en son coeur une distance jusque-là invisible et s'y abîme (...). De là s'informe peu à peu un récit spéculaire et carnassier, presque parodique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Porte ouverte au pire déballage narcissico-exhibitionniste, le projet donne finalement lieu à une sorte de mini-autofiction malignement agencée.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Trop soumis à la réalité du voyage, le film ne cesse de perdre consistance faute d'adopter une direction narrative et formelle précise.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Les considérations pathétiques tenues sur le couple, le désir et le cinéma créent un profond malaise (...) Bruno Dumont semble tout de même gêné et, par deux fois, comme une critique à la fois amoureuse et cinématographique, emploie le terme de "dignité", comme pour se dédouaner de l'entreprise dans laquelle il s'est laissé embarqué.
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Dans une épicerie, Preiss hésite à acheter une pomme rouge ou une pomme jaune. Finalement elle choisit une poire et c'est une des meilleures scènes du film. Plus loin, elle rame pour comprendre ce que veut le chauffeur de taxi qui ne parle pas un mot d'anglais : on est traversé là par un vrai vertige, presque un plaisir, qui est celui que l'on peut prendre devant le puits sans fond de l'insignifiance.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Que la réalisatrice soit une actrice connue (elle a joué dans certains films de Christophe Honoré et d'Olivier Assayas) et son compagnon un cinéaste plus connu encore (Bruno Dumont), ne change curieusement rien à cet aveu d'impuissance cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Benjamin Untereiner
Autofiction mettant pauvrement en scène la relation entre une actrice et un cinéaste, "Sibérie" manque totalement sa cible et ne parvient qu'à agacer en pointant les travers narcissiques de deux personnalités.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Pascal Binétruy
Dommage que le titre soit déjà pris, car on aurait pu intituler cet exercice narcissique et prétentieux : Ceci n'est pas un film.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jacques Morice
C'est juste barbant, pseudo-audacieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Aussi bien ce beau film – beau par ses fulgurances, un plan de la jeune femme dans son bain alors que le dialogue évoque "une hideuse statue de Marilyn Monroe à Vladivostok", ou les échappées sur des gares et leur quotidien de petits marchés – est-il une belle histoire d'amour qui ne s'aveugle pas sur lui-même.
Les Inrockuptibles
"Sibérie", que l'on imaginait carnet de route, devient alors bouleversant journal d'une rupture (...). En recomposant à sa volonté les images privées de cette passion révolue, [Joana Preiss] a imaginé une fiction intime à partir de son expérience (...), elle s'est écrit un rôle, peut-être pas conforme à la réalité mais dicté par son désir. Elle est devenue cinéaste.
Libération
Usant de la mini DV comme auto-applicateur de fiction, [Joana Preiss] y rejoue pour la énième fois une figure exténuée de la modernité où le couple en voyage découvre en son coeur une distance jusque-là invisible et s'y abîme (...). De là s'informe peu à peu un récit spéculaire et carnassier, presque parodique.
TéléCinéObs
Porte ouverte au pire déballage narcissico-exhibitionniste, le projet donne finalement lieu à une sorte de mini-autofiction malignement agencée.
Critikat.com
Trop soumis à la réalité du voyage, le film ne cesse de perdre consistance faute d'adopter une direction narrative et formelle précise.
Cahiers du Cinéma
Les considérations pathétiques tenues sur le couple, le désir et le cinéma créent un profond malaise (...) Bruno Dumont semble tout de même gêné et, par deux fois, comme une critique à la fois amoureuse et cinématographique, emploie le terme de "dignité", comme pour se dédouaner de l'entreprise dans laquelle il s'est laissé embarqué.
Chronic'art.com
Dans une épicerie, Preiss hésite à acheter une pomme rouge ou une pomme jaune. Finalement elle choisit une poire et c'est une des meilleures scènes du film. Plus loin, elle rame pour comprendre ce que veut le chauffeur de taxi qui ne parle pas un mot d'anglais : on est traversé là par un vrai vertige, presque un plaisir, qui est celui que l'on peut prendre devant le puits sans fond de l'insignifiance.
Le Monde
Que la réalisatrice soit une actrice connue (elle a joué dans certains films de Christophe Honoré et d'Olivier Assayas) et son compagnon un cinéaste plus connu encore (Bruno Dumont), ne change curieusement rien à cet aveu d'impuissance cinématographique.
Les Fiches du Cinéma
Autofiction mettant pauvrement en scène la relation entre une actrice et un cinéaste, "Sibérie" manque totalement sa cible et ne parvient qu'à agacer en pointant les travers narcissiques de deux personnalités.
Positif
Dommage que le titre soit déjà pris, car on aurait pu intituler cet exercice narcissique et prétentieux : Ceci n'est pas un film.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
C'est juste barbant, pseudo-audacieux.