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    The Two Faces of January
    Note moyenne
    3,0
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    Votre avis sur The Two Faces of January ?

    251 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 novembre 2014
    J’ai trouvé que le scénario manquait de consistance…
    Par contre les ambiances sont hitcockiennes, mais malheureusement, il n’y a rien d’autres du maître dans ce film… Dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 novembre 2014
    dommage il manque un petit quelque chose à ce film pour être un grand film, on est dans un polar mêlant les sentiments, l’appât du gain, et la manipulation, il aurai fallut creuser un peut plus sur l'attirance du guide et de la femme mariée. Dommage, il y a de l'action, du suspens et les dialogues sont bons .. A voir quand même pour sa distribution .
    Ocepa
    Ocepa

    7 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 novembre 2014
    On cherche vain une intrigue, un peu de surprise, une atmosphère, une mise en scène dans ce film très décevant où les personnages on tout donné dès les premières images, où l'histoire dépourvue d'intérêt s'écoule de façon totalement prévisible et ennuyeuse au fl des plans. Par lassitude on prend un bon livre et on jette un coup d’œil au film distraitement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 novembre 2014
    Un petit bijou classique ,superbement réalisé et qui nous fait voyager avec de magnifiques décors .Les acteurs sont excellents ( surtout Viggo Mortensen ), et ce triller psychologique est bien mené .Ca fait plaisir de voir un travail aussi soigné à Hollywood . Allez en bémol , le coté un peu trop classique au niveau de l histoire , mais comme c est l adaptation d un roman..
    gabdias
    gabdias

    85 abonnés 1 803 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2014
    Voilà un thriller ultra classique voir même rétro dans la mise en scène avec un scénario quasi Hitchcockien, avec un casting aussi efficace qu'élégant : Viggo Mortensen est ce genre d'acteurs qui porte un film à lui tout seul. Le suspens est bien mené parfois un poil longuet.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    316 abonnés 2 974 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2021
    le film bénéficie d'une certaine esthétique et d'une jolie carte postale. mais cet engrenage et la cavale qui s'en suivent sont assez rocambolesques... on se laisse malgré tout emporter, curieux du dénouement mais l'ensemble reste un petit film sans grande originalité.
    normangray
    normangray

    5 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 novembre 2014
    Dommage, il y avait matière à une belle variation. La Grèce, les années 60, une valise, un casting dominé par un Viggo Mortensen impérial... et à l'arrivée un devoir d'élève appliqué qui a révisé ses classiques. Manque tout de même un regard.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 novembre 2014
    Hitchcock et les aventuriers de la valise perdue. Les deux petites valises sont l'intrigue du film puisqu'on se demande comment Kirsten Dunst transporte toutes ses (très jolies) tenues et ses chapeaux.Interessant de voir Viggo Mortensen dans un registre simili oss117. Je crois que j'aurais préféré me contenter de lire le livre de Patricia Highsmith... mais c'est vrai que, pour cela, il aurait fallu qu'il soit dans la liste de mes envies. Le suspense à la Hitchcock n'a pas tenu longtemps : le temps des belles images de Grèce et de Turquie, version catalogue de voyages. Puis quand j'ai réalisé qu'il n'y avait pas de talentueux Mr Ripley caché ou de rebondissement quelconque, j'ai compris que le film allait se terminer faute de combattants. Film noir à l'ancienne, on dit !
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2014
    S’étant fait un nom en tant que scénariste, notamment pour avoir couché sur papier le célèbre Drive de Nicholas Winding Refn, Hossein Amini passe à la réalisation avec The Two Faces of January. Son film s’inscrit dans une très stricte tradition du polar à l’ancienne, école Alfred Hitchcock, et nous promène en terres grecques et turques au début des années 60. Oui, The Two Faces of January est un pur film académique, mais soyons honnêtes, le dépaysement est total, les acteurs sont excellents et la patine vintage de la pellicule, assortie aux excellents costumes d’époque, font mouche et permettent d’outrepasser le manque d’originalité du film d’Amini, du moins ses fortes références. Il s’agit donc, pour l’occasion, d’une confrontation psychologie d’avantage que physique, entre un couple fortuné et un guide, tous les trois américains, dans un territoire touristique à mille lieues de leurs pays d’origine.

    Mais qu’en est-il vraiment de chacun de deux protagonistes masculins? Le mari respectable et fortuné l’est-il réellement? Le jeune expatrié, guide à ses heures perdues, trop généreux pour être honnête, est-il une personne de confiance? Hossein Amini parvient parfaitement à instaurer un climat malsain autour de cette alliance forcée. Qui sera le plus malin? L’heure et demie que dure le film pose ces questions-là et la maîtrise de mise en scène du cinéaste permet de découvrir quelques scènes drôlement rythmées qui soulèvent toutes de grandes montées d’adrénaline chez les protagonistes. Le récit est rondement mené, à l’exception d’un final un brin téléphoné qui voit le cinéaste perdre pour l’occasion toutes ses valeurs scénaristiques précédentes. La psychologie des personnages étant un des moteurs du travail d’Amini, il apparaît dommageable qu’il s’oriente alors vers un final un peu standardisé.

    Comme mentionné plus haut, le film est un dépaysement. La région du sud-est européen visitée, soit respectivement Athènes, La Crête et Istanbul, constituent chacun d’eux un personnage à part entière. Tout commence bien entendu par une visite en mode sépia du mont Olympe, de son Parthénon. La suite nous dirigera vers la principale des îles grecques pour que tout se termine dans les rues grouillantes de la métropole turque. Les images sont splendides, le cinéaste ayant sélectionné avec soin ses arrières plans, ses décors et les ambiances qui vont avec. Un sans-faute, techniquement, alors que dans le fond, le film, passablement court, n’est qu’un enchevêtrement de références aux modèles du réalisateur, à Hitchcock, comme dis plus haut. Quoiqu’il en soit, le voyage est agréable.

    Il convient par ailleurs de souligner que The Two Faces of January est un film d’interprétation. Pour cela, le tandem Oscar Isaac, vu récemment chez les frères Coen, en l’infatigable Viggo Mortensen, monstre du charisme, remplissent parfaitement leurs contrats respectifs. Le jeune acteur tient parfaitement la dragée haute à un comédien bien plus expérimenté qui signe ici sa plus honorable interprétation, selon moi, depuis Les promesses de l’ombre. Les deux acteurs étant excellents, ils ne sont pas pour autant bien accompagné puisque la femme, incarnée passivement par Kirsten Dunst, semble bien pâlichonne en rapport à ses collègues masculins. Pour conclure, saluons donc la tentative honorable de Hossein Amini et son respect pour ses aïeux. Nous espérons donc retrouver le bonhomme avec sa casquette de réalisateur très prochainement mais pour une œuvre cette fois-ci plus personnelle. 14/20
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 novembre 2014
    FILM LENT. L intrigue est banale, pas de suspens. En attendant la fin, je me suis à chercher de belles images dans ces beaux pays. Rien on a oublié de nous faire profiter du décor.

    Je comprends que l on puisse aimer mais ce n est pas grand public.
    LeGaNico
    LeGaNico

    14 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 octobre 2014
    J’ai regardé ce film sans trop me documenter avant (ce que j’aime faire) et je n’ai vraiment pas été déçu par ce magnifique film noir « old school ». Vraiment je le recommande. La tension monte naturellement sans artifice. BRAVO !!
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    66 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2014
    "The Two Faces of January", c'est un film un peu bizarre. Un couple de touristes américains riches se trouve à Athènes et rencontre un guide sensé être du coin (alors qu'il est en fait américain lui aussi). Ils décident de faire des trucs ensemble et après tout un enchaînement d'évènements, spoiler: ils meurent
    . Si le scénario paraît fort sympathique sur le papier, il semble dans le film n'avoir aucune finalité. C'est assez déroutant et un peu dérangeant car quand on visionne le long-métrage, on ne sait pas du tout où il se dirige. Si encore on sentait que c'était fait exprès, on s'en serait accommodé, mais là ce n'est pas le cas (ou alors Hossein Amini cache bien son jeu). Cela porte tort au film et c'est fâcheux, car la bonne interprétation du trio d'acteurs principaux et la mise en scène plutôt bien ficelée valent le détour, et dans l'ensemble peu de défauts viennent perturber le spectateur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 octobre 2014
    Pour qui connaîtrait le livre de Patricia Highsmith "The Two Faces of January", ce film en est, comme vous l'aurez deviné, une adaptation. Loin de moi le désir de le visionner au départ, dans la mesure où ces dernières années les thrillers noirs se réfèrent davantage à des films reposant sur de la violence et de l'épouvante plutôt que sur les manipulation psychologiques. Et oui... il faut dire que c'est plus facile de tuer quelqu'un d'un coup de couteau, que d'un coup de mots et phrases.

    Seulement, Patricia Highsmith n'est pas n'importe qui. On l'oublie parfois, mais le grand succès "L'inconnu du Nord-Express" de Hitchcock est l'un des chefs d'oeuvre de cette écrivaine. Lorsque outre Atlantique Agatha Christie écrivait ces romans à énigme, l'américaine privilégiait les récits troubles, la manipulation, les mensonges...

    Ainsi, la notoriété de cette femme, ainsi que des nombreux films qui ont été adaptés de ses romans, m'a poussé à regarder ce film qui m'a, à juste titre, fortement impressionné : un film d'une rare violence de part cette manipulation extrêmement bien mise en exergue, entre nos deux personnages principaux, particulièrement excellents. Ils se font faces, l'un est un "arnaqueur de lycéennes", l'autre un arnaqueur de grosses baleines. Et pourtant, ces deux hommes à la personnalité distincte et opposée sont semblables dans l'esprit. Le jeu d'acteur est parfait, juste et sobre.

    Tout débute avec le simple voyage d'un couple de riches américains en Grèce en 1962, puis de leur rencontre avec ce guide charmeur et rusé sur les bords... Mais le plus escroc dans l'histoire n'est pas celui qu'on pense. Les américains sont suivis, s'ensuit un meurtre, le guide les aide, et les voilà embarqué dans la même galère, avec entre eux deux, une femme, innocente et victime... Qui va manipuler qui ? C'est toute une intrigue qui va ainsi se nouer, pour rendre un chemin sinueux et par moment insoupçonné. Sans dévoiler le film, on retiendra l'évolution, la transformation des deux hommes, dans cette descente vertigineuse et de moins en moins contrôlée, l'un tombe tandis que l'autre en contrepartie va s'affirmer et devenir le maître de ce jeu de pouvoir diablement efficace. Kirsten Dunst a un rôle totalement secondaire mais essentiel à la construction du scénario. C'est donc bien cette confrontation entre Chester et Rydal, sous forme de sac de noeuds, qui va vous tenir en haleine, mêlant rebondissements et mystères. Sans oublier cette scène de gare incroyablement filmée.

    Le film est pesant, je n'aurai qu'une question, pourquoi Hitchcock n'a pas adapté ce roman auparavant ? Et oui, l'adaptation est signée Hossein Amini, rien à voir avec le film "Drive" sur lequel il avait été scénariste. Ici, le récit fait vraiment la part belle à la psychologie des personnages, et c'est devenu tellement rare dans les thrillers actuels, qui se contentent d'accumuler les coups de théâtre.

    Bref, plongez dans cette réalisation maîtrisée, dans cette Grèce des années 60, plongez dans ce trio d'acteurs impeccables, élégants et ambigus.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 octobre 2014
    C'est l'ambiance très solaire des images qui m'a amené à regarder ce drame teinté de polar dans lequel la tension est essentiellement psychologique, un parti pris qui se vaut surtout couplé à une mise en scène aussi élégante mais qui amène du coup un manque d'action assez considérable pour un résultat final longuet pour ne pas dire chiant. En effet les obstacles tiennent essentiellement de la psychologie des personnages, les obstacles concrets se comptent quant à eux sur les doigts d'une main (et encore c'est beaucoup) ce qui amène forcément l'intrigue à traîner en longueur et les situations à s’éterniser. Le jeu des comédiens est très correct voire plus en ce qui concerne Mortensen (même si le charisme naturel du mec y est pour beaucoup) et la B.O. bien que très discrète sait souligner l'importance de chaque temps fort, et c'est intéressant de voir les masques des personnages tomber petit à petit, mais pas assez pour rendre cette cavale passionnante à mon goût.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 octobre 2014
    Janus, dieu grec aux deux visages, a donné son nom au mois de Janvier. Son mythe, repris par une célèbre auteure elle-même adaptée par Hossein Amini, scénariste de Drive (non, je ne me suis pas renseigné plus que ça, oui, c'est parce que "The Two Faces of January" ne m'en a pas donné envie), se déroule ici au travers du personnage de Chester January (Viggo Mortensen, un cador à n'en pas douter) et ses vices à peine cachés par une apparence chic de gentleman accompli. Plus encore, l'intérêt des appuis mythologiques de ce scénario plutôt fouillé réside dans la relation ambivalente dont ils sous-tendent la construction, entre lui et Rydal (Oscar Isaac, complètement impliqué), un guide touristique spécialisé dans l'escroquerie qui succombe rapidement au charme de madame January (Kirsten Dunst, sous-utilisée et un peu agaçante). Je ne sais donc pas vraiment d'où vient mon indifférence devant le déroulement de ce jeu psychologique qui paraît écrit avec inspiration mais n'installe jamais une emprise réelle. Le manque de rythme y est sans doute pour beaucoup, ainsi que la linéarité cotonneuse d'une mise en scène-carte postale qui n'a rien de très stimulant. Le classicisme est d'ailleurs autant narratif que formel, rendant ce thriller désuet plutôt cliché. Pas l'idéal pour croire à une histoire qui cherche avant tout son suspense dans les méandres internes des personnages mais met de plus très longtemps à leur offrir une dimension minimale. Vraiment, juste une goutte de plus dans un océan, celui de tous les films assoupis que l'histoire du cinéma a vu se noyer dans la masse.
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