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Votre avis sur The Two Faces of January ?
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Voila un sympathique thriller, ni-noir-ni-glauque, ni-japonais-ni-coréen. Du thriller classique, à l'ancienne quoi!!
Histoire d'escrocs, de jolie femme, d'opposition père haï /fils. Le film est tiré d'un roman de Patricia Highsmith, c'est tout dire. Monsieur Ripley n'est jamais très loin.....
Le premier film à la réalisation du scénariste (de Drive en particulier!) britanico -iranien Hossein Amini nous balade agréablement d'Athènes au bazar d'Istanbul, en passant par les fouilles de Cnossos en Crète.. Deux escrocs, donc. Le jeune Rydal (Oscar Isaac) est américain; il a fui son père, professeur d'Université omniscient et omnichiant, et s'est installé comme guide touristique en Grèce où il survit à coups d'arnaques et petites escroqueries en tous genres, tout particulièrement en direction des jeunes filles que son regard enjôleur fait craquer...
Quand Rydal rencontre un couple d'élégants, et généreux, touristes américains, il flaire la bonne affaire. Mais Chester (l'inquiétant et toujours parfait Viggo Mortensen, ces nordiques ont un petit quelque chose que les méditerranéens n'ont pas!!!) est, lui, un escroc de haut vol. Trader, ils vend aux gogos des actions sur des sociétés inexistantes. Mais il est poursuivi par un détective privé engagé par des clients -et le tue. Le film raconte donc élégamment la fuite du trio, sous la conduite de Rydal et de ses combines. Pourquoi s'engage t-il dans cette histoire dangereuse? Parce qu'il est convaincu que Chester a un paquet de fric. Et aussi, parce que sa jolie femme, Colette (Kirsten Dunst) lui plait bien.....
Fidèlement highsmithien et en plein soleil, ce film parfaitement, mais très classiquement réalisé nous assure deux heures de plaisir, et il a l'élégance de se terminer par une jolie fin -assez inattendue. A voir
Histoire d'escrocs, de jolie femme, d'opposition père haï /fils. Le film est tiré d'un roman de Patricia Highsmith, c'est tout dire. Monsieur Ripley n'est jamais très loin.....
Le premier film à la réalisation du scénariste (de Drive en particulier!) britanico -iranien Hossein Amini nous balade agréablement d'Athènes au bazar d'Istanbul, en passant par les fouilles de Cnossos en Crète.. Deux escrocs, donc. Le jeune Rydal (Oscar Isaac) est américain; il a fui son père, professeur d'Université omniscient et omnichiant, et s'est installé comme guide touristique en Grèce où il survit à coups d'arnaques et petites escroqueries en tous genres, tout particulièrement en direction des jeunes filles que son regard enjôleur fait craquer...
Quand Rydal rencontre un couple d'élégants, et généreux, touristes américains, il flaire la bonne affaire. Mais Chester (l'inquiétant et toujours parfait Viggo Mortensen, ces nordiques ont un petit quelque chose que les méditerranéens n'ont pas!!!) est, lui, un escroc de haut vol. Trader, ils vend aux gogos des actions sur des sociétés inexistantes. Mais il est poursuivi par un détective privé engagé par des clients -et le tue. Le film raconte donc élégamment la fuite du trio, sous la conduite de Rydal et de ses combines. Pourquoi s'engage t-il dans cette histoire dangereuse? Parce qu'il est convaincu que Chester a un paquet de fric. Et aussi, parce que sa jolie femme, Colette (Kirsten Dunst) lui plait bien.....
Fidèlement highsmithien et en plein soleil, ce film parfaitement, mais très classiquement réalisé nous assure deux heures de plaisir, et il a l'élégance de se terminer par une jolie fin -assez inattendue. A voir
un grand film superbement filmé servi par un magistral duo d'acteurs Viggo Mortensen égale à lui même et une belle découverte Oscar Isaac une reconstitution des années soixante parfaite un film à consommer sans modération pas un temps mort du suspense même si la fin est un peu tirée par les cheveux
je me fâche encore une fois contre le choix de garder le titre original. Je me demande quand les producteurs se rendront compte qu'ils se coupent ainsi d'une partie substantielle de spectateurs. D'autant plus que j'ai encore dû louper un épisode, je n'ai pas compris quelle était la référence au mois de janvier...sinon, le film est élégant, rappelle le cinéma d'Hitchcock, ses actrices blondes et ses hommes à la classe ravageuse, on pense aussi au talentueux monsieur Ripley, un peu trop d'ailleurs, et cela pour découvrir qu'il s'agit également d'une adaptation de Patricia Highsmith. Quant aux rouages et à la manipulation...bof bof, c'est du machiavelisve un peu daté. mais ça a beaucoup de charme, et la musique rappelle inévitablement celle de Bernard Hermann dans le mort aux trousses...donc ce n'est pas très novateur, mais quelle bonne idée finalement d'avoir parodié, avec autant de talent, sir Alfred et son cinéma raffiné !
Un excellent film! Un trio d'acteurs excellents, une très bonne histoire, beaucoup de suspens et un scénario très bien mené! Un excellent moment!
Pas mal, comme toujours bien joué par K. Dunst. Une bonne intrigue, j aurais aimé '' happy end '', cela se regarde
Très bonne surprise pour ce film style année 50. Kirsten Dunst toujours craquante avec ses fossettes. L'arnaque nuit gravement ... Je recommande.
le film s'inspire des productions des années 50 ou 60, malheureusement il n'a pas le charme, le mystère ou le scénario d'un Hitchcock
je ne savais pas du tout à quoi m'attendre et j'ai passé un bon moment , le film est captivant on suit les aventures du couple et du guide sans aucun problème. Cependant un petit coté déjà vu dans cette histoire, qui n'et pas très originale, mais cela reste un très bon film.
Au lieu de faire un vrai thriller qui aurait pu avoir un intérêt, le réalisateur nous offre plutôt un exercice de style, certes très soigné, mais qui manque bien trop d’âme pour être satisfaisant. Tout le monde fait le job mais la mayonnaise ne prend jamais véritablement.
Janus, dieu romain aux deux visages et grand architecte du passé comme du futur. Divinité ayant donné son nom au premier mois de notre calendrier, il est le symbole de la fin ainsi que du commencement, et convient parfaitement à ce thriller, présentant la rencontre entre trois êtres. Rydal est un jeune guide installé en Grèce. Quand il rencontre un couple américain fortuné, c'est pour lui le début d'une nouvelle aventure. Lorsque Chester et Colette tombent sur ce mystérieux inconnu, c'est pour eux la fin d'une belle vie.
Il a écrit les scénarios de Blanche-Neige et le Chasseur, 47 Ronin et surtout Drive. The Two Faces of January est le premier film d'Amini, qui nous livre un récit efficace mais sans aucune surprise. Délibérément très classique, sa narration souhaite s'inscrire dans un certain passé (1962), fait de valeurs mais aussi de trahisons. L'ambiance chaude et presque suffocante de la Grèce pourront vous donner certaines suées, même si de petits creux dans l'écriture vous refroidiront quelque peu.
Il faut aller chercher du côté des personnages pour trouver les réelles qualités de ce film. Alors que Dunst ne propose rien de nouveau en interprétant une femme perdue et dépendante de son mari, les protagonistes masculins sont très séduisants à étudier. Quelles sont les motivations qui les poussent à avancer dans cette histoire d'escroquerie ? L'argent, l'amour, la recherche d'un père disparu ou bien la mort ? À vous de vous faire votre opinion, même si tous les choix sont possibles vu la profondeur de ces rôles, joués par un Oscar Isaac (Inside Llewyn Davis) incisif et un Mortensen plus désemparé que jamais.
En cela, The Two Faces of January marquera vos esprits sans pour autant réussir à être le grand thriller qu'il veut être. On retiendra les dernières images d'un homme aux deux visages et dos au mur. Dans ce déluge de mensonges et de fausses identités, quelle face va t-il nous montrer ?
Il a écrit les scénarios de Blanche-Neige et le Chasseur, 47 Ronin et surtout Drive. The Two Faces of January est le premier film d'Amini, qui nous livre un récit efficace mais sans aucune surprise. Délibérément très classique, sa narration souhaite s'inscrire dans un certain passé (1962), fait de valeurs mais aussi de trahisons. L'ambiance chaude et presque suffocante de la Grèce pourront vous donner certaines suées, même si de petits creux dans l'écriture vous refroidiront quelque peu.
Il faut aller chercher du côté des personnages pour trouver les réelles qualités de ce film. Alors que Dunst ne propose rien de nouveau en interprétant une femme perdue et dépendante de son mari, les protagonistes masculins sont très séduisants à étudier. Quelles sont les motivations qui les poussent à avancer dans cette histoire d'escroquerie ? L'argent, l'amour, la recherche d'un père disparu ou bien la mort ? À vous de vous faire votre opinion, même si tous les choix sont possibles vu la profondeur de ces rôles, joués par un Oscar Isaac (Inside Llewyn Davis) incisif et un Mortensen plus désemparé que jamais.
En cela, The Two Faces of January marquera vos esprits sans pour autant réussir à être le grand thriller qu'il veut être. On retiendra les dernières images d'un homme aux deux visages et dos au mur. Dans ce déluge de mensonges et de fausses identités, quelle face va t-il nous montrer ?
Raphaël O
Adapté d'un roman de P. Highsmith, ce thriller, première réalisation de Hossein Amini dispose, malgré un manque de rythme et d'originalité, d'un bon scénario, une reconstitution fidèle aux 60' et est interprété par un casting absolument excellent.
Un bon divertissement.
Un bon divertissement.
J'ai aimé cet hommage magistralement bien ficelé au maître Hitchcock...peut être que ce dialogue aux multiples références ne sera pas du gout de tous ?
Une déception à la hauteur de l'attente...... J'attendais beaucoup plus et mieux à la vue du casting et du synopsis..... J'ai vu une Dunst transparente, un Mortesen tout pâle, un Isaac absent, un scénario qui tient sur un post it, une intrigue digne du plus mauvais thriller de l'année, en fait, il n'y a pas d'intrigue et surtout, surtout......... je n'ai pas vu la Grèce et ses paysages, et çà c'est impardonnable........
super decor, le jeu de dupe entre arnaqueurs dans des paysages magnifiques est vraiment sympa.
trop de lenteur pour peu d'intrigue. ni suspense ni action pure mais plutôt un road movie touristique faisant apparaitre des beaux paysages grecs. La confrontation psychologique des 2 personnages masculins beaucoup plus proche qu'il n'y parait est l'élément principal du film mais leurs traits sont trop rapidement dévoilés. Et on anticipe trop vite la suite des évènements ce qui nuit à un semblant de suspense et mène nulle part finalement.
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