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Un visiteur
0,5
Publiée le 19 juin 2012
Film ennuyant, monotone. Image de mauvaise qualité, gros plant. Quand commence le film ? Beaucoup de longueur. On reste sur sa faim (la bande annonce montre le meilleur) Parti au bout de 35 minutes !!!
Plus que le "My Way" des sex pistols, "le Grand Soir" est Le vrai film Punk, loin devant tous ceux qui l'ont essayé auparavant. Pas seulement un film à crête, mais un film sur le No Future au quotidien, celui qui fleure bon le chômage, la zone, la bière du matin et le manque d'amour. L'envie que tout change sans pour autant savoir dans quel but, le besoin d'être à la marge parce qu'au milieu c'est moche, le rejet global et la solitude.
A bien des niveaux, on retrouve l'idée générale de "Bernie" de Dupontel, excellent ici en père de famille à la dérive. Quant à Poelvoerde, il est tout bonnement incroyable de crédibilité.
Certes on rit, pas mal même, parfois en grinçant des dents, mais il y a une dimension poignante qui fait de ce film une peinture amère (comme la 8.6) de notre société actuelle, dénuée de tout espoir d'amélioration. No future, on a dit...
Le Grand Soir n’aura pas eu lieu mais le plaisir était là. Toujours fidèle à leurs univers Delépine et Kervern s’attaque cette fois-ci aux punks à chien, le plus vieux Punks à chien ! Découle une BO rock qui s’intègre parfaitement au film et un cadre de zone commercial très fouillé. On rit beaucoup avec benoit Poelvoorde et Albert Dupontel qui auront finalement accompli une révolution intérieure.
Une comédie originale et très drôle de bout en bout. Les acteurs et plus spécialement Poelvoorde et Dupontel sont incroyablement bons ! Certaines scènes sont déjà cultes.
Un film désolant, débile a souhait et qui a du être tourné en trois jours. Je ne comprends pas comment on peut investir dans une bouse pareille ! Les plans fixes ajoutent de la torpeur a ce film déjà très lent ! A éviter sauf si vous voulez vous suicider
Oui 4 étoiles, ça me semblait peut être un peu trop mais si le film le mérite.
Oui c'est du Groland mais pas le Groland version gros rouge qui tache ou qui voit des nanas se dessaper devant un docteur; mais le Groland qui fait rire et pleurer à la fois, qui te prend aux tripes. Poolvoerde et Dupontel sont énormes, vraiment. Mention spéciale à Poolvoerde qui m'a vraiment bluffé.
La Berezina de notre société de consommation...avec ce regard provocateur, des comédiens qui pètent les plombs.... Le cadre de la zone commerciale et d'un urbanisme apocalyptique s'accordent avec un monde qui s'écroule..... Qu'on soit punk rebelle marginalisé ou qu'on essaie de s'intégrer en vendant de la literie, on est broyé.... Mais bon, c'est pas de la "dentelle"; certaines scènes appuyées, les comédiens livrés à eux-mêmes. J'étais ravi de voir Brigitte Fontaine, égale à elle même et du coup Areski est sobre , lui ! Contrairement à Mammuth, la poésie a disparue et la fraternité est en danger. Ce n'est pas le triomphe du grand soir mais plutôt une philosophie "no fiuture". Incontestablement, Delépine et Kervern ont un "ton", une couleur de film mais quelques morceaux de bravoure ne font pas un film cohérent.
OK y'a franchement des trucs qui faudrait m'expliquer la ! " Le Grand soir " , projection exclusive au festival de Cannes , critiques emballés et en vue de la bande annonce ce serait mentir que de dire que l'on ne l'est pas aussi . Et puis la on se retrouve dans la salle de ciné , à se faire chier ( je pèse pas mes mots car la franchement c'est pire que du foutage de gueule ) à un point fou . Sur les 100 minutes du film , honnêtement on aurai pu en enlever 60 et la on aurait eu un film mauvais mais pas un horrible navet . Ce film souffre de longueurs , je n'avais jamais vu ça ( bon a part peut être le tout aussi nullissime " Inglorious Bastards " ) . A penser que le cinéma Français commence à utiliser les mêmes techniques que certains soit disant " grand " réalisateur Américain ( la bonne blague ) . Bref je vais m’arrêter la , ça aurait était moi j'aurais mis 0 étoiles ; à savoir pourquoi Allociné impose la demi étoile .. Cependant je ne remet ici pas en cause le talent de Poelvoorde et Dupontel , ils sont bon . A éviter même un dimanche quand l'on décuve , ce serait pire que tout .
Non mais quel navet ! Comment peut-on mettre 4 ou 5 étoiles à ce machin ? Comment POELVOORDE et DUPONTEL ont pu se laisser aller à participer à cette bouse ! La société de consommation est malade d’elle-même ? Et alors ? Ce n’est pas une raison pour infliger au public l’incompétence crasse de deux bobos-gauchos de Canal. Les tartuffes DELEPINE et KERVERN feraient mieux de rester définitivement au GROLAND, pays où ils excellent. Pas d’histoire, pas de scénario viable, on comprend rien et on sait pas où ça va ! Et c’est pas l’autre branquignole de BRIGITTE FONTAINE qui remonte le niveau ! Mal de tête assuré pour ceux qui oseront rester jusqu’à la fin !
Critique de la société, de la société de consommation. Mais que c'es chiant parfois. Les deux acteurs principaux sont bons dans leur personnage. Spécial dirons nous.
Une satire sociale qui bouscule, qui dérange. Les poncifs cherchent toujours "un fond" dans les films humoristiques, j'aurais aimé plus de comique dans cette odyssée de banlieue. On rit quand même de bon coeur aux frasques improbables du duo de choc : Benoît Poelvoorde, Albert Dupontel. Les seconds rôles sont délicieux, mention spéciale à Brigitte Fontaine !! On est toujours sur le fil du rasoir entre générosité et rejet de l'autre, entre rire et sarcasme...
Cinquième long-métrage (déjà !) pour le tandem Delépine/Kervern, les auteurs du Groland qui s’offrent ici une satire sociale sur les laissés-pour-compte, en mettant en scène deux frères que tout oppose. Le premier, qui se fait appeler "Not" est le plus vieux punk à chien d’Europe et le second quant à lui est parfaitement intégré dans la société, il est vendeur de literie. Deux opposés qui vont s’affronter, entre celui qui refuse le système et l’autre qui pousse à la consommation. Il en résulte au final une sympathique (et bordélique) comédie à l’humour noir, à la fois drôle et absurde, mais brassant également du vent. En effet, il n’est pas rare de s’ennuyer durant ces 90 minutes ou de trouver certaines séquences longues (pour ne pas dire inutiles) comme la séquence d’ouverture où les deux frangins se coupent systématiquement la parole ou lorsque l’excentrique Brigitte Fontaine se met à éplucher des patates. Malgré de bonnes idées, on retiendra surtout les moments de flottements où l’ennui prédomine, comme si le film était inabouti ou à trop vouloir en faire, les deux réalisateurs n’auraient pas su conclure comme il se doit cette satire sociale.