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    Le Grand soir
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    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 juin 2012
    Pourtant l’idée originelle de prendre comme décor une gigantesque zone commerciale périphérique avec son lot pléthorique d’enseignes universelles laissait présager du meilleur. En effet, comment ne pas voir dans ces espaces anonymes et tellement formatés et uniformes qu’ils sont globalement identiques d’une ville à l’autre, sauf leur surface et donc le nombre de magasins à s’y implanter, le territoire rêvé de la consommation de masse, avec l’abrutissement et le suivisme qui font logiquement avec. L’apparition de Not, dernier punk à chien d’Europe selon ses propres dires, même si on verrait davantage son compagnon canin aux basques d’une petite vieille, a quelque chose de l’éléphant dans le magasin de porcelaine. Jean-Pierre, son frère, qui trime à vendre des matelas à la technologie révolutionnaire dans un des hangars de la zone, constitue le symbole de la réussite et de l’intégration de la famille, dont les parents tiennent le restaurant de La Pataterie, établissement curieusement désertifié. Les deux compères de Groland ne semblent pas s’intéresser réellement à leur sujet, préférant prendre la tangente et renouer ainsi avec l’escapade et les chemins buissonniers, lorsque Jean-Pierre est viré, pète les plombs avant d’être récupéré et ‘éduqué’ par son frère aîné à une existence libre et sans contraintes, hormis la pauvreté, la solitude, l’ostracisme et l’ennui.



    Dès lors, de grand soir, envisagé comme la destruction par le feu des surfaces de la zone commerciale, il ne pourra bien sûr y avoir. Par amitié, on retiendra l’esprit libertaire et bordélique qui prévaut à l’ensemble, Not et Jean-Pierre comme des lointains parents de Jean-Claude et Pierrot, les deux marginaux des Valseuses en 1974. Bien sûr, le film a son côté punk, non seulement dans le look de Not savamment entretenu à la bière et à la sueur, puis dans la nouvelle dégaine de Jean-Pierre, mais aussi dans les concerts des Wampas, et surtout dans ces scènes de délire total : l’irruption au mariage, l’intrusion dans les maisons du lotissement. Dans ces instants, Benoît Delépine et Gustave Kertern semblent en complète roue libre, tout comme leurs acteurs débridés qui s’en donnent à cœur joie – l’inénarrable Brigitte Fontaine épluchant soigneusement ses patates restera comme une séquence culte du film. Culte peut-être, mais terriblement anecdotique et superficiel. Quitte à opter pour la dérision et le déjanté, autant être drôle et grinçant, caustique et innovant. Hélas, Le Grand soir parait en rester aux intentions, se perdant rapidement dans des sketches lourdingues et inopportuns qui manquent résolument leur cible.
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 août 2014
    Comédie déjantée qui a même été primée ! « Bouleversant… portrait de la France… entre Harold Pinter et Jérôme Deschamps… etc. ». Moi, j’y ai vu une pantalonnade décousue et ennuyeuse, aussi subversive qu’un discours de Mélanchon, avec quelques bonnes idées certes, mais plutôt mal mises en valeur. Les acteurs, excellents, font leur numéro mais sans grand résultat. On est loin de l’originalité de « Louise-Michel » par exemple.
    Caine78
    Caine78

    6 693 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2012
    Le duo Benoît Délépine - Gustave Kervern, c'est l'assurance d'un spectacle non conventionnel, n'hésitant pas à ruer dans les brancards et à proposer un mode de vie que ne renierait pas Jean-Luc Mélenchon. Vous dire que j'ai adoré « Le Grand soir » serait mentir. Il y a beaucoup de longueurs, l'humour ne fait pas toujours mouche et le récit patine à plusieurs reprises, à l'image d'une dernière demie-heure où les deux trublions ne semblent plus avoir grand-chose à dire. Malgré tout, je dois avouer que cette mini-révolution suggérée par l'excellent duo Benoît Poelvoorde - Albert Dupontel a aussi du bon. Les réalisateurs de « Mammuth » ont en effet trouvé une alchimie assez savante entre grosse blague et sombre constat sur une société de consommation qui n'en a rien à foutre de rien ni personne, à l'image de cette scène incroyable de cynisme dans un supermarché (je ne vous en dis pas plus). Les deux compères ne tombent d'ailleurs jamais dans un esprit bien-pensant, assumant leur vision du monde de bout en bout, auquel on peut ne pas adhérer, mais qui a au moins le mérite d'interpeller sans tomber dans une démonstration lourdaude. Cela n'en reste pas moins une comédie, grinçante, inégale et respectueuse de son public, à défaut d'être aussi jubilatoire qu'on l'espérait. Un drôle de film, pas forcément indispensable, mais que l'on ne regrette pas d'avoir vu.
    Julien D
    Julien D

    1 196 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2012
    Quand le Groland fait ressusciter la culture punk, on ne pouvait attendre qu’une explosion jouissive de politiquement incorrect filmé avec une absurdité démentielle et des idées de mise en scène en continu. Et effectivement Delepine et Kervern se sont une nouvelle fois surpassés dans ce coup de folie déjantée dopée au son de Wampas. Depuis le temps que leurs fans attendaient de voir Poelvoorde et Dupontel réunir leur potentiel d’humour noir, c’est une réussite jouissive que de les voir participer pleinement à ce déchainement de cynisme aux antipodes des habituelles comédies franchouillardes. La dénonciation de notre système passant par le rôle majeur de ce centre commercial en tant que symbole de la surconsommation et l’uniformisation est un formidable coup de génie narratif, quand aux personnages secondaires, de Yolande Moreau à Brigitte Fontaine, ils sont tous d’excellents portes drapeaux de leur laxisme face au monde qui les entoure. Plus qu’un long sketch survolté, il s’agit d’un pamphlet idéologique impressionnant.
    Max Rss
    Max Rss

    197 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 avril 2019
    Enfin ! Quoi ? J'ai aimé un film de Kervern et Delépine ? Non, non, ce n'est pas ça. Mais c'est la première fois que je ne m'ennuie pas à mourir devant un de leur film. Mais bon, il n'empêche que je n'arrive pas à adhérer à leur cinéma. Et pourtant, l'idée de ce "Grand soir" était franchement géniale. Mais moi, il y a un truc qui me pose un gros souci : l'élément déclencheur, c'est le licenciement du personnage joué par Albert Dupontel et ce dit licenciement intervient après près d'une heure de film. Ce qu'il se passe avant ? Absolument rien. Tout ce qu'on a devant les yeux, c'est du vide. Oh, il y a bien quelques passages sympas. Voir Poolvoerde faire l'abruti devant la fenêtre d'un resto ou Dupontel se bastonner avec un arbre, c'est bien mignon, mais ça n'est au service de rien. Il faut attendre la dernière demi heure pour enfin voir quelque chose qui a un sens. Là, le propos des deux anciens Grolandais prend forme. Et leur film devient comme un miroir tendu, laissant apparaître un reflet de mouton consommateur. Pour ensuite devenir comme un appel à l'affranchissement. Et là, on voit des trucs vraiment drôles. Comme le mec qui se pend dans le manège. Mais bon, avant ça, il faut se fader cette fameuse heure qui ne raconte rien. Et sur un film d'une telle durée (1h30), c'est fatal.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 octobre 2012
    Après les patrons voyous et les retraites misérables, Delépine et Kervern poursuivent leur exploration de la vie de la France d'en-bas à l'heure de la crise, en prenant cette fois prétexte du burnout de Jean-Pierre pour trimbaler leurs deux héros dans l'immensité claustrophobique d'une zone commerciale de périphérie urbaine. Comme dans leurs deux films précédents, les personnages suivent un parcours erratique, mais tels les personnages de "L'Ange exterminateur", ils semblent condamnés à rester dans ce périmètre de laideur et de vacuité.
    Au sein de cette zone se trouvent le bouiboui parental, le magasin de literie où travaille Jean-Pïerre, et semble-t-il, la maison où ce dernier habite avec sa femme et sa petite fille. Seul Not vient d'ailleurs, et il est d'abord filmé en centre ville ; normal pour un punk accompagné d'un chien qui attaque le chat sur les panneaux Feu Vert. Le film met énormément de temps à réellement démarrer, du fait de l'étirement des scènes d'exposition qui présentent en parallèle les trois protagonistes : les parents aquoibonistes, le punk forcément rebelle et le cadet aux aspirations raffariniennes. La première scène où on les voit réunis ne fonctionne absolument pas, parce que construite sur une seule idée délayée : filmés en plan fixe, les deux frères parlent à leur père, ou plutôt débitent leurs discours sans se préoccuper de celui de l'autre, Not racontant ses dernières bastons et Jean-Pierre ventant les avantages du système surround dans le home cinéma.
    C'est certainement là que se situe la principale faiblesse du film : l'absence de cohérence scénaristique ne peut pas être compensée par l'empilement d'idées plus ou moins réussies. Au chapitre des idées qui marchent, une courte scène entre Bouli Lanners et Areski Belkacem avec un dialogue à la Raymond Devos, le caméo de Gérard Depardieu en oracle lisant l'avenir dans l'eau-de-vie ("La vérité, elle est trop belle pour que tu puisses la supporter"), ou encore la scène drôle et cruelle du suicide de l'agriculteur. Mais la ligne narrative que donnait le but à atteindre dans les deux films précédents (la vengeance dans "Louise-Michel", la récupération des papelards dans "Mammuth") fait ici défaut, et les deux personnages principaux s'agitent en vase clos, d'ailleurs symbolisé par le recours aux caméras de surveillance, voire à l'Iphone du patron de Jean-Pierre.
    Les deux réalisateurs se sont étonnés que Benoît Poelvoorde et Albert Dupontel, deux acteurs de la même génération prêts à endosser les pires personnages n'aient jamais encore tourné ensemble. Dans cet exercice, le premier s'en sort mieux, jouant beaucoup plus en retenue qu'on aurait pu le craindre. Dupontel s'agite beaucoup, comme le requiert son personnage, mais ce burlesque tourne à vide, créant même parfois un sentiment de gêne, comme quand il se bat avec une arbuste. Le jeu minimaliste et décalé du duo des années 70 reconstitué, Areski et Brigitte Fontaine, amuse au début mais lasse très vite du fait du vide des personnages.
    "Le Grand soir" fait partie de ces films qui enregistrent un décalage significatif entre la réception des critiques et celle du public, comme le manifeste le système d'étoiles d'Allociné. Effet cannois de réaction positive devant un film malgré tout optimiste au milieu de la dépression ambiante ? Sensibilité cinéphilique devant un film qui rappelle par moment Tati dans sa façon de capter de loin l'absurdité du monde moderne ? Toujours est-il que ce nouveau film du duo grolandais ne tient pas les promesses de "Mammuth", et qu'il rappelle une fois de plus qu'il ne suffit pas de quelques idées et de quelques images fortes pour faire un film.
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    real-disciple
    real-disciple

    81 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 novembre 2012
    Un film qui cumul le vide abyssal et l'affligeant.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 juin 2012
    Bon, j'ai tenu environ 3/4 d'heure et puis j'ai craqué : je me suis barré. Je n'ai rien à dire sur le film puisque je n'ai pas tenu la distance. Simplement que depuis "Le bruit des glaçons" (une autre daube, signée Bertrand Blier), Dupontel est en nette baisse de régime. Quant à Poelvoorde, il est comme toujours assez atypique et très inégal. Je ne sais pas si c'est de l'humour "Groland" (d'habitude j'aime bien et ça me fait rigoler), mais ici Delépine et Kervern sont vraiment au creux de la vague... Quelle pitié !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juin 2012
    Les réalisateurs marquent de leur poésie kaurismakienne de nombreuses scènes du film sans pour autant négliger d'approfondir leurs personnages Sans privilégier l'excentricité de la saynète à la continuité du récit le film s'en trouve considérablement grandi et est un véritable autoroute pour deux acteurs au top!
    cylon86
    cylon86

    2 509 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2012
    L'esprit punk ressuscité par Benoît Delépine et Gustave Kervern dans toute sa splendeur. Ici les réalisateurs n'oublient pas de dresser un constat social assez amer mais rien n'est perdu tant que des fous continueront de se dresser en marge d'un système qui peut broyer n'importe qui. Mais quitte à faire dans le social, "Le Grand soir" n'est pas chiant et même très drôle, rythmé par les chansons des Wampas et par les prestations de Benoît Poelvoorde et d'Albert Dupontel, l'un étant punk à fond et l'autre découvrant ce que ça fait d'être libéré du travail. Réaliste et gonflé, c'est une bonne surprise qui réserve de beaux moments.
    ferdinand75
    ferdinand75

    547 abonnés 3 866 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2012
    Un beau film engagé et révolté, dans la grande tradition du cinéma "libertaire" et révolté des années 70's. On retrouve la liberté de ton et la férocité des films de Ferreri , de Jodorowsky ,de Claude Faraldo ( Themroc), du Gébé / Doillon de l' An 01, de Antonioni de Blow Up avec ce final d'explosion de feu , tout pète , d'une manière allégorique . Rien que pour cela je trouve que le film est très courageux et nous change un peu du cinéma conformiste, ou au mieux Bobo bien pensants des années 2000. C'est beau , c'est pur comme un chant révolté de Leo Ferré , ou dejanté, et la présence de Fontaine et surotut Areski , ces icones des années 70's, remonte bien la filiation. Les acteurs sont exceptionnels Poelvoorde est dans son meilleur rôle , une composition incroyable , des cernes sous les yeux , le poids du monde porté par ce Punk, il joue même plutôt en dedans , sans exagérer, des scènes d'anthologie, quand il prend sa douche au milieu du rond point , c'est énorme , c'est toute la déliquescence de la société morderne. Il se met à poil , au sens propre et figuré. Sa diatribe au micro "volé " du supermarché est belle comme une poèsie de Lautréamont, il est beau , il est sublime , il touche au tragique . Dupontel est lui remarquable , sa transformation de cadre BCBG , en punk révolté est un must. Pour la première fois il nous montre de multiples facettes, il nous régale , il joue aussi probablement son meilleur rôle de cinéma. Tous les petits seconds rôles et participations sont chouettes. Et puis je ne comprends pas les critiques sur la qualité de la réalisation. C'est un alternance de plan fixes exceptionnels , cadrés comme des photographies, au millimètre , avec un cadre bien plein , et des travellings longs , magistralement orchestrés : la traversés des villas du lotissement en travelling est un pur exercice de style pour les écoles de cinéma . La traversée du camp de gitan aussi, avec les enfants qui entrent et sortent du champ, de manière très élaborée . L'image est belle un peu sur -exposée, très colorée, on est dans de la photo sur réaliste. Il y a quelque petites longueurs et imperfections , entre autres la scène de cacophonie entre les deux frères dans la restaurant Patata, c'est dommage , car c'est un scène longue en plan fixe presque insupportable ,et on a vite compris ou il voulait en venir ( l'incommunicabilté entre les êtres), qui est en ouverture de film et qui peut en rebuter certains , alors que la deuxième partie du film est beaucoup plus lyrique et poètique. Un bel excercice , courageux, sincère et très "cinématrographique".
    reymi586
    reymi586

    467 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juin 2012
    Les réalisateurs Benoît Delépine et Gustave Kervern sont aujourd'hui assez "branchés" et leurs films sont toujours très attendus mais personnellement ils commencent un peu à me gaver. C'est toujours pareil et il faut attendre des dizaines de minutes de longueurs pour avoir droit à une folie qui n'est d'ailleurs pas toujours drôle. Je n'avais pas trop aimé Louise-Michelle, pour Mammuth ça allait encore mais là ce "Grand soir" a du mal à passer. J'espérais que ce grand duo me ferait vibrer mais pas vraiment, cette écriture ne me convient pas. Je peux apprécier le décalé et le "bizarre" mais là je me suis ennuyé et j'ai attendu les scènes drôles et fortes.
    Cyril L.
    Cyril L.

    16 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2014
    Bonjour tout le monde! Venez découvrir mon analyse du film sur mon blog!
    marie W.
    marie W.

    8 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2013
    Poelvoorde et Dupontel: mélange explosif.

    Un film qui renoue avec une certaine tradition burlesque dénonçant les temps modernes.

    Un film que certains détesteront parce qu'il flirte trop avec l'absurde et heurte les bien pensants.

    Moi, je pense qu'on peut rire de tout, surtout pour cacher ses larmes.
    pfloyd1
    pfloyd1

    128 abonnés 2 108 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 novembre 2012
    Pourtant,j'aime beaucoup ces deux acteurs (surtout Dupontel et son esprit décalé) mais là ,il faut reconnaitre que je n'ai pas bien saisi l'interet de ce film sans fil conducteur.Avec un décore de zone commerciale (qui finit franchement par lasser),l'histoire est plutot plate et ennuyeuse.Poelvoorde s'en sort mieux que Dupontel dans son role de punk et son jeu est impeccable.Dupontel semble sur-jouer avec son look de premier de la classe.On a droit à une bande son plutot bonne mais pas sympas pour les oreilles puisque on y passe quelques morceaux de punk d'outre tombe qui agacent à la longue.A la fin du film qui finit trop rapidement à mon gout, on se dit "mouais...bof" .Film à oublier au final
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