Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
[Les réalisateurs] ont une nouvelle fois réussi leur coup, experts qu'ils sont dans l'art délicat d'enraciner dans une réalité précisément décrite des personnages et des situations complètement barrés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
A mi-chemin entre Harold Pinter et Jérôme Deschamps, les dialogues sont formidables. Certaines séquences, comme celle du pendu par exemple, ou celle des lettres dérobées aux enseignes, aussi. Dupontel est ahurissant de talent. Quant à l'émotion, elle est là, constante, prégnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir le site du Point.
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Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Delépine et Kervern brossent un portrait à la fois juste, drôle, amer, féroce et stimulant de la France d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
20 Minutes
par Caroline Vié
Les réalisateurs de "Mammuth" et "Louise-Michel", joyeux transfuges de "Groland", se donnent un mal fou pour avoir l'air de jean-foutre, mais leur comédie brillante et désespérée vibre d'amour pour le cinéma.
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CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Benoît Poelvoorde trouve là l'un des rôles les plus bouleversants de sa carrière.
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Critikat.com
par Ursula Michel
"Le Grand Soir" invite à une virée à tombeau ouvert, drôle et touchante, barrée et politisée. Un grand film en somme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Delbecq
Le talent de Delépine et Kervern s'illustre dans leur manière brutale et poétique de peindre des outsiders et dans le choix de leurs interprètes, exceptionnels Albert Dupontel et Benoît Poelvoorde. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de l'Express.
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L'Humanité
par Marie-José Sirach
Après "Mammuth" et "Louise Michel", le tandem Delépine-Kervern récidive et se lance dans une comédie loufoque, sans prétention, mais qui évoque, entre deux éclats de rire, les maux de notre société.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Kervern et Delépine signent un western social délirant et réconfortant, qui donnerait presque envie, au spectateur aussi, de tout envoyer balader.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Au vu de son casting explosif et du brio de sa mise en scène, "Le Grand Soir" devrait logiquement casser la baraque à frites.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marianne
par Danièle Heymann
Dans "Le Grand Soir", les images sont plus belles et les idées plus noires, la colère est tombée, plus fragile est l'espoir.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Mehdi Omaïs
Les cinéastes signent un conte social drôlatique porté à bout de crêtes par des comédiens déjantés.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Enivrés par leur imagination qui déborde comme une bière pression, Delépine et Kervern poètent comme ils respirent.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean A. Gili
(...) cinéma minimaliste, lieux anonymes, photographie sans apprêt, filmage frontal. C'est le propos qui supporte le film. Nul besoin d'effet de style pour éclabousser le conformisme ambiant. (...) avec son humour décapant et sa démarche en zigzag, ["Le Grand Soir"] affirme la liberté de l'individu à se bâtir une autre vie, connaître une existence qui puisse se construire autrement que dans la marginalité et l'exclusion.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
[Poelvoorde et Dupontel] forment le duo de choc d'une comédie de crise, paradoxale, sans espoirs ni illusions, qui fait le constat de l'inutilité des appels à la révolte, simplement parce que le lieu est mal choisi (personne ne veut foutre le feu à un centre commercial). C'est drôle et triste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Insuffler un peu de mythologie (poétique, politique, cinématographique) quand tout part à vau-l'eau : tel est le défi du cinéma, devenu indispensable, de Delépine et Kervern. (...)[Les réalisateurs] fomentent un " grand écart " entre générosité et pulsion destructrice, entre rire et rage nihiliste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Ce refus borné de la narration, c'est un " no future " en réponse à un autre, celui de la crise économique. Les scènes ainsi ne tentent jamais rien au-delà d'elles-mêmes, préférant pousser jusqu'au point ultime d'absurdité, façon Chaplin qui visse des écrous dans le vide.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ecran Large
par Didier Verdurand
Un ton en dessous de "Mammuth" et surtout de "Louise-Michel", mais que c'est bon tout de même de retrouver l'univers anar-Groland post-punk du duo Kervern/Delépine.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Excessif
par Romain Le Vern
La seule réserve vient peut-être d'un manque d'unité: l'impression d'assister à une succession de sketches souvent réussis, gonflés et hilarants mais dont la somme paraît plus inégale. (...) Un contrepoint accessoire qui n'entache pas cette comédie à la fois sombre et débonnaire, lucide et salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Le film s'essouffle en bout de course et le final demeure laborieux. Sous la pochade outrancière et la caricature appuyée, on peut y voir une forme de poésie urbaine sur la vie des gens ordinaires, par temps de crise.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Le Grand Soir" est un film bon esprit (ou plutôt d'un réjouissant mauvais esprit), une comédie de grands ados attardés, un film punk avec toute la grandeur (jamais domptés !) et la limite du genre (no future, et après ?).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno Icher
Si l'on s'abstient de tenir la comptabilité des sourires que déclenche le film, c'est davantage son mélange d'amertume et de lucidité qui fait tenir l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Lucie Calet
[Les réalisateurs] marquent de leur poésie kaurismakienne quelques scènes (...). Mais négligent d'approfondir leurs personnages et privilégient l'excentricité de la saynète à la continuité du récit. Le film s'en trouve considérablement amoindri.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le film cultive avec un tel soin sa propre "norme de la subversion" qu'il se retrouve impuissant à y semer les graines d'un désordre qu'il ne cesse d'implorer. Somme toute, il faudrait "tout faire péter", mais surtout pas les recettes déjà bien arrêtées de ce petit cabaret.
L'Obs
[Les réalisateurs] ont une nouvelle fois réussi leur coup, experts qu'ils sont dans l'art délicat d'enraciner dans une réalité précisément décrite des personnages et des situations complètement barrés.
Le Parisien
A mi-chemin entre Harold Pinter et Jérôme Deschamps, les dialogues sont formidables. Certaines séquences, comme celle du pendu par exemple, ou celle des lettres dérobées aux enseignes, aussi. Dupontel est ahurissant de talent. Quant à l'émotion, elle est là, constante, prégnante.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Delépine et Kervern brossent un portrait à la fois juste, drôle, amer, féroce et stimulant de la France d'aujourd'hui.
20 Minutes
Les réalisateurs de "Mammuth" et "Louise-Michel", joyeux transfuges de "Groland", se donnent un mal fou pour avoir l'air de jean-foutre, mais leur comédie brillante et désespérée vibre d'amour pour le cinéma.
CinemaTeaser
Benoît Poelvoorde trouve là l'un des rôles les plus bouleversants de sa carrière.
Critikat.com
"Le Grand Soir" invite à une virée à tombeau ouvert, drôle et touchante, barrée et politisée. Un grand film en somme.
Elle
Le talent de Delépine et Kervern s'illustre dans leur manière brutale et poétique de peindre des outsiders et dans le choix de leurs interprètes, exceptionnels Albert Dupontel et Benoît Poelvoorde. Une réussite.
L'Express
Voir le site de l'Express.
L'Humanité
Après "Mammuth" et "Louise Michel", le tandem Delépine-Kervern récidive et se lance dans une comédie loufoque, sans prétention, mais qui évoque, entre deux éclats de rire, les maux de notre société.
Le Journal du Dimanche
Kervern et Delépine signent un western social délirant et réconfortant, qui donnerait presque envie, au spectateur aussi, de tout envoyer balader.
Le Monde
Au vu de son casting explosif et du brio de sa mise en scène, "Le Grand Soir" devrait logiquement casser la baraque à frites.
Marianne
Dans "Le Grand Soir", les images sont plus belles et les idées plus noires, la colère est tombée, plus fragile est l'espoir.
Metro
Les cinéastes signent un conte social drôlatique porté à bout de crêtes par des comédiens déjantés.
Paris Match
Enivrés par leur imagination qui déborde comme une bière pression, Delépine et Kervern poètent comme ils respirent.
Positif
(...) cinéma minimaliste, lieux anonymes, photographie sans apprêt, filmage frontal. C'est le propos qui supporte le film. Nul besoin d'effet de style pour éclabousser le conformisme ambiant. (...) avec son humour décapant et sa démarche en zigzag, ["Le Grand Soir"] affirme la liberté de l'individu à se bâtir une autre vie, connaître une existence qui puisse se construire autrement que dans la marginalité et l'exclusion.
Première
[Poelvoorde et Dupontel] forment le duo de choc d'une comédie de crise, paradoxale, sans espoirs ni illusions, qui fait le constat de l'inutilité des appels à la révolte, simplement parce que le lieu est mal choisi (personne ne veut foutre le feu à un centre commercial). C'est drôle et triste.
Télérama
Insuffler un peu de mythologie (poétique, politique, cinématographique) quand tout part à vau-l'eau : tel est le défi du cinéma, devenu indispensable, de Delépine et Kervern. (...)[Les réalisateurs] fomentent un " grand écart " entre générosité et pulsion destructrice, entre rire et rage nihiliste.
Chronic'art.com
Ce refus borné de la narration, c'est un " no future " en réponse à un autre, celui de la crise économique. Les scènes ainsi ne tentent jamais rien au-delà d'elles-mêmes, préférant pousser jusqu'au point ultime d'absurdité, façon Chaplin qui visse des écrous dans le vide.
Ecran Large
Un ton en dessous de "Mammuth" et surtout de "Louise-Michel", mais que c'est bon tout de même de retrouver l'univers anar-Groland post-punk du duo Kervern/Delépine.
Excessif
La seule réserve vient peut-être d'un manque d'unité: l'impression d'assister à une succession de sketches souvent réussis, gonflés et hilarants mais dont la somme paraît plus inégale. (...) Un contrepoint accessoire qui n'entache pas cette comédie à la fois sombre et débonnaire, lucide et salutaire.
La Croix
Le film s'essouffle en bout de course et le final demeure laborieux. Sous la pochade outrancière et la caricature appuyée, on peut y voir une forme de poésie urbaine sur la vie des gens ordinaires, par temps de crise.
Les Inrockuptibles
"Le Grand Soir" est un film bon esprit (ou plutôt d'un réjouissant mauvais esprit), une comédie de grands ados attardés, un film punk avec toute la grandeur (jamais domptés !) et la limite du genre (no future, et après ?).
Libération
Si l'on s'abstient de tenir la comptabilité des sourires que déclenche le film, c'est davantage son mélange d'amertume et de lucidité qui fait tenir l'ensemble.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
[Les réalisateurs] marquent de leur poésie kaurismakienne quelques scènes (...). Mais négligent d'approfondir leurs personnages et privilégient l'excentricité de la saynète à la continuité du récit. Le film s'en trouve considérablement amoindri.
Cahiers du Cinéma
Le film cultive avec un tel soin sa propre "norme de la subversion" qu'il se retrouve impuissant à y semer les graines d'un désordre qu'il ne cesse d'implorer. Somme toute, il faudrait "tout faire péter", mais surtout pas les recettes déjà bien arrêtées de ce petit cabaret.