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moket
526 abonnés
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2,0
Publiée le 27 juillet 2015
Un blockbuster bruyant et éreintant : des scènes d'action gigantesques et illisibles, sans queue ni tête, beaucoup d'esbroufe pour un joyeux bazar qui frise l'hystérie, des intrigues inexistantes et des rôles inconsistants. Après, à condition d'oublier son cerveau (de toutes façons, l'overdose de lumières, de couleurs et de sons métalliques y contribue...), on ne peut pas dire qu'on s'ennuie.
Argh Michael Bay, mais qu'est-ce que t'as encore fait?? Avec ses films récents tels que "No pain no gain" voire même le totalement foufou "Transformers 3", Bay avait prouvé que tout décrié est-il, il n'en est pas moins capable d'emballer avec rythme et entrain un blockbuster de pure commande, et même de donner dans la comédie d'auteur bariolée sans être ridicule. "Transformers 4" tente de faire table-rase des éléments reconnaissables des trois premiers films, mais Bay et son équipe n'arrivent qu'à faire oublier les derniers opus regardables de l'enfant terrible du filtre lumineux et de l'explosion au ralenti. Mark Walhberg, biceps atrophiés et charisme en berne, est la preuve vivante que Shia Labeouf, tout coincé fut-il dans son personnage, est loin d'être un mauvais acteur. La première trilogie avait ceci de sympathique, chacun des films développait une première partie ouvertement comique avant de donner dans la destruction massive, et le petit Shia (fort de sa solide expérience dans la comédie télévisée) s'en sortait toujours avec une certaine facilité. Ici le comique est clairement mis de côté (en tout cas le comique drôle) et le manque de dérision a ici des conséquences catastrophiques: comment prendre au sérieux des robots géants qui se mettent sur la tronche à grands coups de répliques téléphonées du genre "je sauverais l'espèce humaine car tel est mon destin". Niveau spectacle la surenchère des trois premiers permettait au moins aux scénaristes de se creuser pour en mettre plein les yeux, dans cet âge de l'extinction tout est terne, rien n'est osé, chaque bateau lancé à la figure des méchants semble avoir été détruit cents fois ailleurs, et les dinobots, dont on nous a teasé les exploits à longueur de bandes-annonces, sont aussi laids que brefs à l'image. Mais le plus triste dans tout ça reste le manque absolu de rythme de la chose, du en grande partie au montage très plan-plan d'un coupeur de bobine sous prosac (ce qui est tout de même étonnant de la part de Bay) la faute aussi, évidemment, à un scénario inepte qui ne parviens jamais à faire prendre la sauce. Résultat; étirer le truc sur 2h50 (!!!) relève du simple masochisme cinéphilique. "Transformers 3" était peut-être le meilleur blockbuster de Michael Bay, "Transformers 4" est haut la main le pire de tous, à ranger directement entre "Pearl Harbor" et "The island".
Je ne sais pas ce qui m énerve le plus: Michael Bay qui avec Transformers 4 semble adresser un doigt d honneur à tout le monde (ceux qui le critiquent ou ses spectateurs qu il prend réellement pour des abrutis) ou alors ces même spectateur qui sont allé voir ce film qui risque de donner lieu à un cinquième épisode. Ce film concentre tout ce que l on peut critiquer des films de Michael Bay: un scénario lamentable car on va nager dans du grand n importe quoi mais après tout avec Transformers on s attend à cela; des placements produits en veux tu en voilà qui le fait ressembler à une longue publicité de deux heures et demie, un film ou tout semble fait pour flatter le spectateur de base blanc américain avec son personnage musclé vivant au Texas; un clin d œil à la famille avec un père veuf élevant seul sa fille dont le petit copain ne convient pas trop au papa protecteur (déjà fait dans Armageddon ? On s en fout!!!), l explosion d à peu près tout ce qui se trouve dans le décor et enfin les ralentis. Des ralentis en veux tu en voilà: quand il y a une explosion plus grosse que les autres, quand le héros est désespéré ou alors quand sa fille (qui pourrait jouer le rôle de Barbie sans problème il ne lui manque que la voiture rose) se retrouve en danger. Le film réussit l exploit malgré les moyens employés d être d une laideur à faire frémir, les Transformers ne ressemblent à rien et font penser à un mauvais jeu vidéo. Je me demande si ce film n est pas le sommet de la dégénérescence du système Hollywoodien mais attention ce bon vieux Michael peut encore nous réserver des surprises!
Malgré l'évolution assez classique du scénario et des personnages primaires, si on pose son cerveau et qu'on se laisse prendre par cet univers, ce film est plutot divertissant et impressionant!
J'ai passé un excellent moment, je vais au cinéma pour me distraire et me dépayser, contrat rempli pour Transformers. Combats, suspense , on se demande comment ils vont faire pour se sortir de cette galère, humour, tristesse quand les Autobots sont mis à mal et bonheur quand ils reprennent "du poil de la bête", si je puis dire. Pas besoin d'en dire trois tonnes. A voir !
Je ne connaissais pas les précédents films transformers, donc tres neutre, bien sur on rentre tres facilement dans l'histoire, un scénario blockbuster américain, on vient surtout pour des cascades et baston et là on est servi mais 2h40, ça frole l'indigestion.
Pfff j'en ai de plus en plus marre de Michael Bay et de ses robots de mes deux. A part le fric, aucune motivation ne peut pousser des gens à produire des films aussi nuls et aussi chers (210 000 000 $ pour ce navet intersidéral !). Et le pire c'est le box-office : encore plus d'un milliard de recettes pour un immondice même pas fichu de nous présenter des personnages un tant soi peu étudiés et un scénario sans incohérence à défaut d'être original ! Honnêtement je ne comprends pas ce que les spectateurs qui sont allés le voir ont dans le ciboulot... Les acteurs ne sont pas bons, le sentiment patriotique et la suprématie américaine toujours de mise, les placements de produits comptables par dizaines, et le déluge d'effets numériques ne suffit à masquer les autres immenses défauts de ce blockbuster sans âme. En fait je ne sais même pas pourquoi je me fatigue à écrire encore une critique sur cette saga alors qu'il n'y a jamais rien eu à en attendre (et encore moins aujourd'hui)... Et dire que c'est le début d'une nouvelle trilogie...
J'adore Transformers!J'ai tous été les voir!Mais celui qui m'as le plus impressionné et quand même celui-ci. Pour moi,c'est le meilleurs transformers de haut et de très!l'histoire est parfait en plus!Mari walberg est cade Yeager qui remplis bien son rôle!Tessa (je ne sais plus l'actrice) et une jolie blonde sexy!le film est super!vivement le 5
J’avais eu un bref sursaut d’espoir en voyant “No pain, no gain”, mais hélas non, Michael Bay a décidément laissé tomber toute volonté d’écrire un scénario pour les films qu’il met en scène. L’intrigue de ce dernier volet de la saga “Transformers”doit tenir sur deux pages, avec pour unique fonction d’articuler entre-elles les scènes d’action pléthoriques et sans fin qui constituent 80 % du film. Car c’est à ça que ressemble le film une longue succession de scène de combats, d’explosions et de poursuites dopées aux effets spéciaux. Cela rend le spectacle épuisant à regarder ! Quant au reste : les personnages sont des stéréotypes creux, les dialogues des formules ineptes et souvent risibles, l’humour des gags dignes de conversations de pré-ados. Je n’évoque même pas la qualité de l’interprétation, parce que vu le peu de scène où les acteurs doivent montrer un peu de profondeur, il n’est nul besoin d’être un grand acteur pour paraître crédible. La saga “Transformers” réunit donc tous les défauts des blockbusters : une histoire anémique, des personnages clichés, de l’action quasi non-stop et une durée interminable. Elle réussit sans mal, opus après opus à maintenir le même niveau de médiocrité qui en fait un spectacle décérébrant qui a donc tout les chances de trouver un public nombreux et donc de se pérenniser encore longtemps. À voir pour les fans inconditionnels, les vrais amateurs de cinémas (et pas seulement ceux qui aiment les films d’auteurs) pourront passer leur chemin sans rien perdre.
Les films a la Michael Bay; du grand spectacle, mais des dialogues tellement lourd et bas de gamme. Ce 4eme Transformer plaira aux irréductibles fans de la saga. Moi jai bueb aimé mais sans plus.
4 ans se sont écoulés depuis l’attaque alien sur Chicago, les USA encore sous le choc ont expulsés les Transformers de la planète, et les Black Ops au service de la CIA traquent et éliminent les derniers aliens présents sur Terre afin de récupérer le métal dont ils sont faits, dans le but de créer leurs propres robots. Cade Yaeger, mécanicien dans le Texas va de son côté mettre la main sur une carcasse de camion n’étant autre que Optimus Prime. Dès lors le gouvernement va le prendre en chasse, obligeant une fois de plus les Autobots à secourir des humains, d’autant plus qu’une menace bien plus puissante et ancienne s’apprête à frapper la Terre.
Transformers 4 ne dépayse pas les habitués de la saga, les scènes d'actions sont toujours aussi spectaculaires, mais le scénario en pâti cette fois légèrement moins, peut être grâce au renouvellement du casting, malgré le départ du très bon Shia LaBeouf.
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Non mais quel pied ! Axé sur l'action, les rares scènes de dialogues constituent une respiration dans ce tourbillon pyrotechnique. Seule la caractérisation des personnages humains demeure faible.
Encore un en plus...comme x-men ou d'autre, ça commence a faire beaucoup quand même...ça se répète...un peu en dessous des autre a mon goût mais ça reste a voir pour l'histoire et l'action
J'adore le premier, j'aime le deuxième, le troisième m'a fait mal et le quatrième m'a achevé ! C'est ... vide ... Tout ce qui faisait la force des premiers n'est plus, je parle de l'humour, des SFX maitrisés et distillés et surtout des acteurs attachants et efficaces. Shia Labeouf manque énormément à cet épisode, Mark Walhberg étant d'une lourdeur absolue dans cet opus. Les dialogues ne volent pas bien haut non plus, il n'y a absolument plus rien de drôle. Reste les SFX, et ça on en bouffe à la pelle ! C'est explosion sur explosion sans finesse aucune et images de synthèse à s'en cramer la rétine. Après deux heures et demi interminables, on ne se rend même plus compte de la qualité de l'image, c'est l'overdose totale, les yeux qui saignent ! Trop c'est trop Mr Bay, plus de simplicité serait le bienvenu ...