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    Daddy Cool
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    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    154 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 juillet 2015
    Infinitely Polar Bear (Daddy Cool) est une perle inattendue.
    Un sujet casse gueule traité avec une tendresse incroyable, beaucoup de justesse et sans jamais en faire des tonnes.
    Tous les acteurs font merveille avec une mention spéciale pour les 2 filles de loin les meilleures que j'ai vu jouer depuis des lustres.
    En prime, il y a une jolie photo et la reconstitution des 70's est superbe.
    Highly recommended (en VO of course)!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 décembre 2015
    Les films centrés sur des pathologies lourdes et spécifiques débouchent rarement sur des chefs-d'oeuvre, voire simplement sur des bons films... Quand en prime on oublie d'engager un monteur, bonjour le naufrage... rzzz, rzzz, quel ennui ! Les acteurs sympathiques et compétents ne changent rien à l'affaire.
    Daniel C.
    Daniel C.

    150 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juillet 2015
    C'est bien de rire d'une pathologie si douloureuse parfois. C'est bien de montrer qu'on peut appeler le vivant chez celui, qui a affaire à la bipolarité. Autrefois on parlait de maniaco-dépression ou de maniaco-dépressif. Cela traduisait plus nettement l'alternance entre ces moments d'exaltation et ceux d'effondrement. Le moment formidable du film, c'est lorsque le père s'emporte en disant à ses enfants, qu'elles ne sont pas responsables de sa maladie et qu'elles n'ont donc pas à en avoir honte, ni s'en sentir coupables. C'est important d'entendre cela surgir de la bouche de celui, qui tient le rôle du porteur de cette pathologie pour laquelle le narcissisme occupe (au sens quasi militaire) tout l'espace. La dimension parfois créatrice de l'état maniaque est aussi mise en valeur et c'est une bonne chose. "Daddy cool" est un hymne à la tolérance, non pas à l'empathie pour le symptôme, mais à une compréhension pour l'au-delà du spectaculaire, c'est-à-dire qu'il y a une invitation à ne pas réduire le sujet à sa maladie. C'est une comédie, qui s'autorise à rire et plaisanter sur le tragique.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 15 juillet 2015
    Bonjour,

    par cette critique je ne donne que mon avis personnel .

    Je n'ai pas réussi à rentrer dans le film, le début rapide submergé par l'effet vintage ne m'a pas permit de m'attacher à aucun des personnages, du coup dur de les suivre pendant plus d'une heure.
    La narration m'a paru brouillonne, et n'être qu'un empilement de moments de vie rythmé par la même et récurrente musique ( on la retrouve deja dans la bande annonce).

    Enfin j'ai eu l'impression de voir un film inutile.

    PS : Bonne séance.
    lionelb30
    lionelb30

    446 abonnés 2 606 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 juillet 2015
    Des comédiens vraiment pas mal , quelques belles scènes mais l'alternance des sentiments fait retomber l'ambiance. Des hauts et des bas.
    Chris58640
    Chris58640

    216 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2015
    « Daddy Cool » n’est pas un film sur la bipolarité, la maladie y est omniprésente mais elle n’est pas montrée à l’écran dans toute son ampleur, toute sa complexité. Elle sert plutôt de toile de fond, presque de prétexte à un film sur la famille et l’amour d’un père maladroit pour ses deux filles. A vrai dire, cette famille transpire l’amour dans chaque plan, que ce soit entre les filles et leur père ou entre Cameron et Maggie. On se dit que leur vie serait simple et parfaite sans cette maladie qui complique tout, mais évidemment il n’y aurait pas de quoi en faire un film de 90mn ! Le scénario de « Daddy Cool » est étonnement efficace et ça dés les premières images. Immédiatement on s’attache à ce drôle de type qui doit composer avec sa folie et ses humeurs changeantes. La réalisatrice Maya Forbes évite soigneusement tout le pathos qui aurait du résulter d’un personnage si borderline, et préfère s’attacher à l’humour et à la tendresse des situations dans lesquelles Cameron se plonge et entraine ses filles. Assez court, le film d’1h30 passe si vite qu’on voit arriver le générique de fin avec une certaine déception. Il y a des moments drôles, on sourit beaucoup mais c’est un humour léger, on n’est pas dans une comédie pure mais dans quelque chose de beaucoup plus nuancé, de plus doux-amer. Les difficultés financières, la lutte de Cameron pour rester à flot pour ses deux filles, le courage exemplaire de Maggie et le sacrifice inouï qu’elle accepte, elle aussi par amour, sont toujours là pour nuancer le rire, pour lui donner une couleur particulière. Le casting de « Daddy Cool » est pour beaucoup dans la réussite du film : la très belle Zoé Saldana est épatante en mère courageuse. Les filles aussi sont toujours hyper-justes, et ce n’est pas forcément évident pour des enfants, il faut qu’elles soient bien dirigées. La grande Imogène Wolodarsky et la petite Ashley Aufderheid, dans deux registres un peu différents (la grande est plus dans l’émotion, du fait de sa place d’ainée, alors que la petite est plus pétillante), sont adorables et hyper attachantes. Et puis voilà, voilà enfin Mark Ruffalo dans un vrai premier rôle à sa mesure ! Cet acteur, j’ai déjà eu l’occasion de dire et d’écrire combien je le trouvais excellent dans les seconds rôles qu’on lui confiait (« Shutter Island » « Insaisissable » ou « Zodiac » par exemple) mais il ne s’agissait que de seconds rôles. Là, il donne toute la mesure de son talent, de son potentiel comique rarement exploité jusque là, et je classe sa performance dans « Daddy Cool » dans les plus belle réussites de sa carrière : je suis contente qu’on lui ai offert ce rôle un peu différent de ce qu’il a fait jusque là (on est vachement loin d’ « In the Cut » !), et je suis très heureuse de voir ce qu’il en a fait. Maya Forbes lui a offert un rôle difficile mais gratifiant : il est de chaque scène, presque de chaque plan et même dans ce genre de rôle, son charisme et même son charme sont évidents ! La bande originale est intéressante mais elle ne fait pas trop 70’s, la musique est bien choisie et bien utilisée. La reconstitution de la fin des années 70 n’est pas tape à l’œil, Maya Forbes n’est fait pas trop là non plus sur ce point. Si on ne savait pas que l’action se déroule en 1978, on pourrait à peine le deviner. En fait, c’est surement parce que son propos est d’une simplicité totale : comment la famille et l’amour paternel peut aider à guérir et à donner un équilibre. C’est un propos tout simple, universel et intemporel. Si on devait chercher des petits défauts à « Daddy Cool », on pourrait regretter qu’il soit un peu court mais aussi que le scénario élude un peu la complexité de la maladie pour ne retenir au final qu’un message simple et positif. Ca rend le film plus doux, moins lourd mais un tout petit peu simpliste. Les phases de dépressions sont éludées assez vite, et pourtant chez un bipolaire qui se soigne mal elles sont inévitables. En 1978 comme en 2015, une mère pourrait elle laisser son mari maniaco-dépressif avec ses deux filles sans savoir s’il suit bien son traitement, s’il ne va pas disparaitre pendant des jours en laissant les filles livrées à leur sort, si sa forte consommation de bière ne va pas briser son fragile équilibre ? Le plus honnêtement du monde je n’en suis pas certaine…
    Laurent C.
    Laurent C.

    260 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2015
    Il y a des films qu'on sait qu'ils ne laisseront pas une trace inoubliable dans l'histoire du cinéma, même si, en le regardant, on ne doute pas un seul instant du talent et de l'inventivité de son réalisateur. "Daddy Cool" n'a pas justement pas d'autre ambition que celle d'offrir à ses spectateurs un moment cool, de pure détente et de rires parfois grinçants. L'histoire est simple et attachante, comme le titre : un père complètement bipolaire tente d'éduquer ses deux chipies de filles, en l'absence de la mère partie en semaine à New-York étudier à l'université. Il faut dire que le pari d'éducation est osé, tant le père est barré. Il vit dans un monde totalement décalé, où il manque de tout sauf de l'amour pour ses filles. Le film échappe au risque de proposer un documentaire sur la maniaco-dépression. La maladie est si intense qu'elle finit par disparaître de la préoccupation de la mise en scène pour privilégier la relation souvent tendue, souvent belle, souvent colérique, des deux filles avec leur père. Car elles l'aiment, ce père, malgré ses comportements étranges, la différence qu'il génère dans la vie sociale des petites filles, elles l'aiment au point qu'elles passent leur temps à tester la solidité du lien tout en étant incapables de laisser seul leur père malade. L'appartement HLM où vit la famille est un trésor d'inventivité et de drôlerie. Les personnages sont tous déroutants et incroyables à commencer par ce père déstructuré. Toutefois, l'émotion tarde à venir. On a du mal à cerner la patience de ces deux enfants, encore plus de l'épouse qui abandonne l'éducation de ses filles à cet homme irresponsable et dangereux. Certes, le propos du réalisateur fuit toute espèce de jugement moral sur la protection de l'enfance ou la maladie mentale. Mais si l'action manque, on passe une grande partie du film à s'interroger pourquoi une épouse, une grand-mère, un psychiatre, les parents des copains de quartier, ne s'inquiètent à aucun moment de l'état de santé de ce père et surtout des conséquences pour les deux filles en matière d'éducation. Cette invraisemblance du film finit par tellement peser sur la narration qu'on en oublie totalement la douce émotion qui grandit au fur et à mesure du film pour éclore à la fin dans une scène touchante et délicate.
    NewBoorn
    NewBoorn

    62 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 février 2016
    Les rouages de cette comédie classique sont trop connus pour nous surprendre, c'est globalement du classique, rien de surprenant dans la réal, la construction etc... Non, le film vaut surtout pour Mark Ruffalo, totalement juste, drôle et touchant, avec un personnage entier mais ne tombant jamais dans la caricature.
    zoupeurman
    zoupeurman

    13 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2015
    Daddy cool est un feel good movie qui n'a pas assez montré son potentiel. Le scénario est un peu brouillon - peut-être aurait-il fallu ajouter 20min au film - et survole l'histoire d'un couple et de ses deux enfants. La bipolarité du personnage principal est comme une excuse pour incruster par-ci par-là des scènes comiques et loufoques. C'est d'ailleurs ça et le jeu parfait de Mark Ruffalo qui font l'essentiel de cette œuvre. On appréciera particulièrement de le voir passer sa colère contre sa veste.
    Christophe L
    Christophe L

    8 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juillet 2015
    Quand la maladie prend des allures de comédie loufoque alors même qu'elle est une épreuve pour la famille, ça donne un long métrage de Maya Forbes, plein de vie, absolument épatant. Mark Ruffalo [Tu peux compter sur moi, Le dernier château, Windtalkers, Collateral, Ethernal sunshine of the spotless mind, Zodiac, Shutter island, Crazy night, Avengers, Foxcatcher...] a lui seul pourrait mériter le déplacement mais sa femme, alias Zoe Saldana [Le terminal, Pirates des caraïbes,  Black/White, Star trek, Avatar, Les brasiers de la colère, Les gardiens de la galaxie...] et les filles du film créent l'élément indissociable à ce charmant moment de cinéma qui fait tout oublier et prolonge au delà du film un sentiment de bien être fort agréable...
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 955 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2018
    Produit par J. J. Abrams, "Daddy Cool" n'est pas une chanson cèlèbre de Boney M. mais le premier long-mètrage de Maya Forbes! Une production indèpendante juste et sensible d'un papa pas comme les autres! On croit à l'excellent Mark Ruffalo, à l'èmouvante Zoe Saldana et aux deux formidables jeunes actrices Imogene Wolodarsky (fille de la rèalisatrice) et Ashley Aufderheide dont on se règale! Golden Globes mèritè pour Ruffalo qui fume sans arrêt et qui trouve l'un de ses meilleurs rôles! L'acteur est si à l'aise que l'on croit à son personnage de père de famille atteint d'une maladie mentale! L'ènergie qu'il dèploie pour jouer Cameron Stuart se retrouve dans les scènes de tendresse avec ses deux filles qu'il mène avec talent! Telle la scène finale, èmouvante et magnifique! La bipolaritè n'en altère pas l'essentiel, le combat, pour Maggie, l’acceptation de ses responsabilitès, pour Cameron, et de la maladie, pour Amelia et Faith, menèe avec talent par une rèalisatrice prometteuse! On soulignera la prèsence de Keir Dullea...
    Ciné2909
    Ciné2909

    72 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2015
    Si la réalisatrice Maya Forbes se lance dans la réalisation de son premier film, elle n’aura pas cherché l’histoire bien loin puisqu’elle puise directement dans sa vie personnelle. Daddy cool nous dresse le portrait d’une famille atypique emmenée par un père de famille bipolaire et donc totalement imprévisible. Les regards sont ainsi braqués sur Mark Ruffalo qui se montre parfait dans son rôle évitant la surenchère et qui est, en plus de ça, magnifiquement entouré par les adorables Imogene Wolodarsky & Ashley Aufderheide. Un sujet grave traité ici avec beaucoup de délicatesse, une très belle découverte !
    Cine vu
    Cine vu

    145 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 novembre 2015
    Larmoyant et vaguement militant

    Daddy est cool surtout parce que ses neurones partent en live, un père attentionné et idéal pour rester garder les mômes avec son âme d’enfant et une désinvolture parfois touchante.

    Mark Ruffalo est capable du meilleur comme du pire, mais il est trop caricaturale dans sa bipolarité.

    Une comédie ponctuée d’émotions mais sans grande profondeur. Quelques jolis plans joyeux et poétiques ne suffiront pas à rendre ce petit film inoubliable, à regarder avec des enfants pour sourire et se dire que ben… La famille ça compte ! Peu importe nos névroses l’amour reste dans le pré et aussi à Boston.

    Zoe Saldana est charmante mais inexistante. Les deux gamines s’en sortent plutôt bien. Donc en bref, mielleux, assez bien réalisé mais rien de renversant.

    Maya Forbes a voulu bien faire, ça reste bon enfant sans aucune mauvaise autre intention que de nous distraire gentiment et avec tendresse.
    David B.
    David B.

    44 abonnés 565 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 novembre 2015
    C'est une bien terrible maladie qui brise les foyers que la bipolarité d'un des conjoints, et plutôt un drame qu'une comédie. Néanmoins, le film démontre la difficile voire impossible vie de couple, l'instabilité chronique du malade et son immaturité. Il se suit avec plaisir, pour qui ne s'attachera pas à son manque de réalisme, et le papa gentillement disjoncté prête au rire en même temps qu'on perçoit en lui de formidables capacités créatives mais très mal canalisées.
    Gerard P.
    Gerard P.

    3 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juillet 2015
    Ce film est une pépite, extrêmement émouvant et drôle à la fois. Un thème pas forcément facile mais traité sur le parfait ton. Dès les premières minutes du film, on se sent déjà très proches et attachés aux acteurs, qui sont tous excellents et très touchants. On ne s'ennuie pas une seconde. On voudrait qu'il ne finisse jamais. Un film plein de grâce.
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