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Sous ses airs de comédie familiale sans prétention, "Daddy Cool" témoigne en réalité d'une grande maîtrise dans l'équilibre des émotions. Tour à tour mélancolique, joyeux, poétique, le film virevolte aussi vivement que les deux petites filles qui donnent du fil à retordre à leur drôle de père.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
La réalisatrice (...) s'est inspirée de son paternel pour trousser cette chronique familiale d'une émouvante drôlerie. La douceur et la fougue de Mark Ruffalo y sont pour beaucoup.
Un père bipolaire, qui n’a pas atteint la maturité de l’adulte qu’il est, se retrouve en charge de ses deux fillettes : l’éducation qu’il leur donne, pour n’être pas spécialement orthodoxe, déborde de fantaisie et d’amour, à l’image d’un film qui donne à la traditionnelle chronique familiale un ton attachant et inattendu.
La réalisatrice Maya Forbes s'inspire de son vécu pour livrer une petite pépite sur un sujet méconnu, la bipolarité, qu'elle traite avec beaucoup de tendresse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
S'il n'édulcore pas la maladie et les tourments qui l'accompagnent, "Daddy cool" montre avec humour les situations où conduisent les phases maniaques : bricolages extravagants, nuit entière à composer une robe de flamenco des plus originales, propositions à de nouvelles voisines de plier leur linge ou d'éplucher leurs oignons.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Revisitant de manière assez plaisante le thème de la relation père-fille dans un contexte de maladie mentale, Daddy Cool est une comédie résolument sympathique.
Une comédie sociale de Maya Forbes. Généreux et optimiste. Mark Ruffalo est parfois tenté d'en faire des tonnes dans le genre décalé, mais c'est le rôle qui veut ça.
En adaptant ce souvenir autobiographique, Forbes vise les cimes émotionnelles d'un John Cassavetes, mais ne réussit pas à décoller de l'horizon d'un "Little Miss Sunshine". C'est tout à fait respectable, mais (...) il serait souhaitable que les "feel-good movies" dépassent leurs clichés (...).
Maya Forbes montre sans pathos un chaos familial rempli d’amour, qui suit les sautes d’humeur, entre exaltation et fond du trou, du père, le seul véritable enfant du film.
La critique complète est disponible sur le site Première
On aurait probablement aimé que Maya Forbes, dont c’est le premier long-métrage, s’aventure un peu plus en terrain glissant pour faire corps avec les troubles de la perception de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
En un haussement de sourcil, Mark Ruffalo passe de l'euphorie à la colère. Il est à la fois touchant et agaçant, et amène de la dinguerie à certaines situations. C’est l’atout maître d’un film qui reste toutefois trop en surface et dont l’absence de progression dramatique nuit à sa force émotionnelle.
Le Point
Sous ses airs de comédie familiale sans prétention, "Daddy Cool" témoigne en réalité d'une grande maîtrise dans l'équilibre des émotions. Tour à tour mélancolique, joyeux, poétique, le film virevolte aussi vivement que les deux petites filles qui donnent du fil à retordre à leur drôle de père.
20 Minutes
Mark Ruffalo incarne brillamment un papa bipolaire dans ce film très émouvant...
Gala
Une chronique touchante d’une vie de famille bouleversée par les troubles bipolaires du père.
L'Express
La réalisatrice (...) s'est inspirée de son paternel pour trousser cette chronique familiale d'une émouvante drôlerie. La douceur et la fougue de Mark Ruffalo y sont pour beaucoup.
Le Dauphiné Libéré
Un père bipolaire, qui n’a pas atteint la maturité de l’adulte qu’il est, se retrouve en charge de ses deux fillettes : l’éducation qu’il leur donne, pour n’être pas spécialement orthodoxe, déborde de fantaisie et d’amour, à l’image d’un film qui donne à la traditionnelle chronique familiale un ton attachant et inattendu.
Les Fiches du Cinéma
Portrait de famille tendre et souvent drôle, ce premier film autobiographique émeut sans jamais en faire trop. Mark Ruffalo est parfait.
Télérama
On rit avant d'avoir le coeur serré devant cet idéal familial perdu (...).
Voici
Emouvant et sans pathos.
aVoir-aLire.com
La réalisatrice Maya Forbes s'inspire de son vécu pour livrer une petite pépite sur un sujet méconnu, la bipolarité, qu'elle traite avec beaucoup de tendresse.
La Croix
S'il n'édulcore pas la maladie et les tourments qui l'accompagnent, "Daddy cool" montre avec humour les situations où conduisent les phases maniaques : bricolages extravagants, nuit entière à composer une robe de flamenco des plus originales, propositions à de nouvelles voisines de plier leur linge ou d'éplucher leurs oignons.
Le Journal du Dimanche
Ce film indépendant américain vaut pour la prestation de Mark Ruffalo, qui ne tombe jamais dans la caricature.
Le Monde
Revisitant de manière assez plaisante le thème de la relation père-fille dans un contexte de maladie mentale, Daddy Cool est une comédie résolument sympathique.
Ouest France
Une comédie sociale de Maya Forbes. Généreux et optimiste. Mark Ruffalo est parfois tenté d'en faire des tonnes dans le genre décalé, mais c'est le rôle qui veut ça.
Positif
En adaptant ce souvenir autobiographique, Forbes vise les cimes émotionnelles d'un John Cassavetes, mais ne réussit pas à décoller de l'horizon d'un "Little Miss Sunshine". C'est tout à fait respectable, mais (...) il serait souhaitable que les "feel-good movies" dépassent leurs clichés (...).
Première
Maya Forbes montre sans pathos un chaos familial rempli d’amour, qui suit les sautes d’humeur, entre exaltation et fond du trou, du père, le seul véritable enfant du film.
Critikat.com
On aurait probablement aimé que Maya Forbes, dont c’est le premier long-métrage, s’aventure un peu plus en terrain glissant pour faire corps avec les troubles de la perception de son personnage.
Studio Ciné Live
En un haussement de sourcil, Mark Ruffalo passe de l'euphorie à la colère. Il est à la fois touchant et agaçant, et amène de la dinguerie à certaines situations. C’est l’atout maître d’un film qui reste toutefois trop en surface et dont l’absence de progression dramatique nuit à sa force émotionnelle.