Avis : X-Men: Days of Future Past - Page 9

A mes yeux, ce film est sans doute le meilleur de la saga xmen. Le scenario est bien maitrisé, les acteurs convaincants, tout est bon dans ce film. A voir absolument

Le meilleure " X-men " jamais réalisé ! Bryan Singer revient, pour un épisode plus sombre et plus inquiétant. " Days of Future Past " réussi a donner une seconde jeunesse aux films de super-héros, en rajoutant beaucoup d'éléments de science-fiction tout en restant fidèle à l'esprit des films précédents, le résultat est ahurissant. Au casting on retrouve les meilleures, c'est à dire Wolverine, Tornade, Magnéto, le professeur X, et sans oublier Mystique. Il y a tout de même quelques nouveaux, le national Bishop, Warpath, Vif-argent, etc... Le rendu émotionnel de ces personnages est juste incroyable, les liens et les relations entres les protagonistes sont très soignées. Bref, on a maintenant le casting le plus profond et attachant. Le scénario est intelligent et très cherchée. L'intrigue est juste parfaite, le film nous laisse même pas une seconde de répit tellement l'intensité est épique ! Le tout profite d'un rythme bien maîtrisé. Les effets spéciaux sont encore plus spectaculaire, donnant une ( autre ) couche ( encore ) plus héroïque au film. La mise en scène ressemble beaucoup à celle du " Commencement ", c'est à dire IMPRESSIONNANTE !! John Ottman compose ici, des morceaux totalement magnifiques, toutes les émotions y passent ; que ce soit le sentiment de vengeance ou d'amour. En conclusion " X-Men: Days of Future Past " est une belles prouesse, qui dit que l'avenir de Marvel est loin d'être à sa fin.

Depuis les années 2000, la saga des X-Men rencontre en franc succès même si tous les volets qui s'y rattachent demeurent de qualité inégale. En effet, "X-Men : l'Affrontement final" qui faisait guise de conclusion à la première trilogie tranchait nettement avec la qualité de ses prédécesseurs réalisés pas Bryan Singer. La saga Wolverine ayant certes plus d'atouts ne faisait pas mieux, en témoigne "The Wolverine" sorti récemment. Mais la franchise retrouva de sa grâce suite à "X-Men, Le commencement" qui se focalise sur les origines du Professeur Xavier et de Magnéto. Autant dire que cette suite était attendu de pied ferme par les spectateurs, et force est de constater que "X-Men Days of Future Past" offre à la franchise le plus bel épisode jamais réalisé. Cette nouvelle aventure nous projette dans un futur proche où les mutants ont été décimés par les Sentinelles, des robots intelligents traquant sans pitié les X-Men. Afin de sauver leur espèce, Magnéto et le Professeur Xavier envoient Wolverine dans le passé pour garantir la survie de leur espèce. Avec "X-Men Days of future Past" nous assistons à la réunion rassemblant les anciens X-Men (ceux de la trilogie originelle) et les plus jeunes vus récemment, le tout réalisé par Bryan Singer, initiateur de la saga. S'inscrivant dans la lignée de son prédécesseur, cette septième aventure surpasse allègrement "Le commencement" et pose un regard réaliste ancré dans le quotidien. Bryan Singer revient aux commandes, onze ans après son dernier film sur la saga X et nous convie à un petit voyage dans le temps espacé de cinquante ans. Adapté d'un comics culte aux yeux des fans, l'intrigue se déroule sur deux fronts différents, l'un en 2023 avec la "vieille génération" est celle en 1973 avec les jeunes. Le concept pouvait paraître douteux et compliqué mais la construction est si rigoureuse et habile qu'elle nous happe littéralement. Singer réécrit l'histoire en plaçant sont intrigue dans un contexte historique réaliste (Guerre du Viêt-Nam et assassinat de Kennedy) tout en dosant parfaitement le conflit politique. On aurait pu craindre un rythme assez inégale car il y a beaucoup de dialogues et peu d'action, mais l'histoire est si dense et intéressante qu'on ne s'ennuie pas une seule seconde. Les rares scènes d'actions sont impressionnantes, servis par des effets spéciaux plus magiques que jamais, la scène d'introductions et la scène finale est bluffante de maîtrise. Malgré la noirceur ponctuelle du récit, Singer y insuffle une touche d'humour bienvenue où les punchlines de Hugh Jackman (plus parfait que jamais) sont renversantes. Les acteurs sont à l'aise dans leur rôle (mis à part Omar Sy que l'on voit trois minutes et qui est transparent) et apportent tout le jeu nécessaire pour rendre leur personnage attachant et crédible : Hugh Jackman, James MacAvoy, Michael Fassbender, Ian McKellen, Patrick Stewart et Jennifer Lawrence, autant d'acteurs que l'on ne présente plus, demeurent tous excellents. Ainsi, "X-Men : Days of Future Past" est à ce jour le meilleur X-Men de la saga, porté par des acteurs talentueux qui subliment la caméra d'un Bryan Singer inspiré. Marvel prouve une nouvelle fois qu'ils sont les papas du divertissement et qu'ils savent après tant d'années proposer des blockbusters intelligents et spectaculaires.

X Men: Days of Future Past : Comme prévu, ce nouvel opus est tout simplement énorme et voit les choses en grand. Et pour moi, c’est un des meilleur de toute la saga car il est l'un des plus ambitieux et réunit tout la force de chaque épisode. Déjà, on retrouve le très attendu Bryan Singer (il nous avait quitté depuis X-men 2) qui reprend le destin de la série et la tire vers le haut. Déjà, sa réalisation est grandiose, les scènes d’actions forts maitrisés et les effets spéciaux sont spectaculaires. Et il y a un parfait dosage entre scènes d’actions et l’histoire du film. Qui parlons en est juste incroyable. Il réunit les deux équipes : celle du passé (FirstClass) et du futur (X-men 1,2 et 3 ) pour un combat contre le temps et les sentinelles : armes de destruction des mutants. Et vraiment, j’adore les voyages dans le temps et le processus du film est bien ficelé sans grandes incohérences. Et d’ailleurs, ils gagnent le pari de faire le lien entre les épisodes de la série et ça de façon simple certes mais efficace. Sinon, il y a beaucoup de personnage que j'adore comme iceberg , kitty pride ,tornade et colossus et de nouveau comme bishop , blink , solar et alors mon prefere vif-argent(quiksilver) il est enorme en pmus il est pas dans tout lefilm malheureusement mais la scene auquel il participe et juste incroyable bref ils sont tous bien avec aussi bien wolverine tounours extra et mystique et franchement genial pareilpour magneto jeune et vieux et charles xavier ,ils sont émotionnellement bien développés et bien menés donc ça passe tout seul (avec la souffrance de chacun...). Et puis, le film tourne au niveau des mêmes thèmes mais ils sont toujours aussi prenants : l’espoir, la différence, la vengeance… Et il est remplit de moments forts, riches en action et émotion mais aussi une pointe d’humour très bien placée car le film reste sérieux (la scène au ralenti avec le gars qui est rapide : juste jouissif). D’ailleurs, un des points que j’ai aimé : c’est l’ambiance années 70 et le côté sombre du futur avec cette tension palpable qu’ils ont pendant tout le film. Et le casting est juste monstrueux : il y a tout le monde… et les acteurs sont géniaux et donnent le meilleur d’eux mêmes... Donc voila, l’épisode ultime à ne pas manquer. PS : Restez jusqu'à la fin du générique... car il annonce le prochain : vivement ou non car la conclusion de celui-ci est parfaite j'ai etais super heureux de cette fin franchement j'en croyait pas mes yieux whoooooaaa bref ce film et parfait vivement x-men apocalispe .

Pour le premier jour de la sortie de X-Men : Days of Future Past, le nouvel opus de la franchise créer par Bryan Singer, et qui revient d'ailleurs avec ce septième volet des X-Men, le film affiche déjà la note extraordinaire de 4,4, et je n'ai absolument pas été déçu. Un film somptueux, extrêmement bien fait, extraordinairement bien joués, avec un scénario solide à la hauteur de X-Men : le Commencement en 2011. Le début est excellent, on ne s'ennuie pas une seconde, mais après les longueurs s'accumulent en laissant place à de longs dialogues qui n'en finissent pas. C'est dommage, c'est vraiment le seul bémol de ce X-Men. Côté casting, rien à dire vraiment, James McAvoy (Charles Xavier jeune) est excellent, tout comme Michael Fassbender (Erik Lensherr/Magneto jeune), Jennifer Lawrence (Raven/Mystique) est extrêmement présente, je m'y attendais pas, mais l'intrigue joue autour d'elle ce qui fait d'elle l'un des personnages princpaux, et joue comme à son habitude majestueusement bien (Hunger Games, Happiness Therapy, American Bluff), Hugh Jackman (Logan/Wolverine) est aussi drôle qu'impressionnant, Nicholas Hoult (Le Fauve) est très bon, comme le reste du casting : Peter Dinklage, Evan Peters... Omar Sy tient un petit rôle et ne décroche que trois mots donc il ne dérange pas pour ceux qui le redoute, et les acteurs du futur sont peu présents, ce qui signifie que Ian McKellen, Patrick Stewart, Halle Berry etc... restent 20min à l'écran sur les 2h10. L'action est très présente, sauf pendant un moment où c'est beaucoup de blabla, pas forcément inutile, mais juste long. J'ai trouvé les interactions entre le futur et le passé superbes, et les différentes scènes d'actions spectaculaires et magistrales qui sont accompagnées d'un humour à mourir de rire par moment, et qui est très bien amené et détend l'atmosphère. Le scénario reste à la hauteur des autres X-Men, et est donc légèrement répétitif, et parfois complexe. Les effets spéciaux et les effets visuels sont extraordinaires, c'est vraiment super bien fait, la 3D vaut vraiment le coup dans certains passages. La fin est spectaculaire, mais je m'attendais à autre chose. Restez jusqu'à la toute fin par compte car une petite scène annonce le prochain volet intitulé X-Men : Apocalypse et qui mettra donc en scène l'un des plus puissants et méchants X-Men des tous les temps : Apocalypse, originaire d'Egypte. Je précise ça pour que vous puissiez comprendre si vous allez le voir ou pour ceux qui l'on déjà vu et qui n'ont pas trop compris. X-Men : Days of Future Past est un excellent film, super suite de la saga, malgré certains moments complexes et je suis donc impatient de retrouver Bryan Singer pour la suite, car il nous a véritablement bluffer avec ce film.

Après l’immense déception de The Amazing Spider-Man 2, nous ne pouvions que compter sur X-Men : Days of Future Past pour combler nos attentes en ce qui concerne l’envie de voir LE film Marvel de cette année 2014 (il reste encore Les Gardiens de la Galaxie, mais ne sachant pas vraiment à quoi s’attendre, l’attente est, du coup, moindre). Surtout que sur le papier, ce nouvel X-Men a de quoi faire plaisir au fan service : réunion de (quasiment) tous les personnages et donc acteurs de la saga (notamment la trilogie de base et le prequel X-Men : le Commencement ou First Class en VO) ainsi que le grand retour de Bryan Singer à la réalisation (X-Men, X-Men 2 et ayant mis son grain de sel sur X-Men : le Commencement). Alors, ce Days of Future Past est-il le Marvel du moment ?

Le film démarre en 2023, dans un monde post-apocalyptique où les mutants sont peu à peu décimés (tout comme les humains qui les aident) par les Sentinelles. Des robots conçus pour les anéantir, ne laissant donc plus aucun espoir aux survivants. Mais une petite équipe, menée par Charles Xavier / Professeur X (Patrick Stewart) et Erik Lensherr / Magneto (Ian McKellen) décide de contre-attaquer, en envoyant l’un d’eux, Logan / Wolverine (Hugh Jackman) dans le passé. En 1973 exactement, dans le but de réunir ses leaders jeunes (respectivement, James McAvoy et Michael Fassbender) afin de retrouver Raven Darkholme / Mystique (Jennifer Lawrence). Avant que celle-ci n’élimine l’ingénieur Bolivar Trask (Peter Dinklage), avec pour conséquence la mise en service des futures Sentinelles dont il est l’inventeur.

Quand, dès les premières déclarations concernant le synopsis, nous apprenions que ce nouvel opus aura pour thème les voyages temporels, le scepticisme avait aussitôt pointé le bout de son nez. Et pour cause, ce genre de trame à été traité maintes et maintes fois dans la plupart des milieux culturels (cinéma, séries TV, livres…), avec comme modèles de base La machine à explorer le temps et la trilogie Retour vers le Futur. Alors, quand une nouvelle œuvre s’attaque à cette thématique, c’est un sentiment de monotonie qui s’offre à nous (il n’y a qu’à voir le dernier exemple en date qu’est Men in Black 3). Ainsi qu’une envie commerciale de réunir un casting prestigieux car faisant appel à tous les comédiens de la saga (en ce qui concerne cet X-Men).

Vous pensez, après un tel paragraphe, que la critique va être négative ? Loin de là, X-Men : Days of Future Past étant le blockbuster de taille que nous n’espérions pas voir ! Mais vu que j’ai commencé comme tel, mettons d’office sur la table les défauts du film. Qui touchent principalement le scénario de la franchise toute entière, à savoir les faux raccords et incompatibilités avec les autres opus (ATTENTION, SPOILERS !!!). En premier lieu, les fameuses griffes en adamantium de Wolverine, qu’il avait pourtant perdues dans The Wolverine et qui, sans explications, son redevenues intactes dans cet opus. Ou encore le manque d’explications vis-à-vis du retour à la vie de Xavier, malgré une scène post-générique (assez vague) dans X-Men : l’Affrontement final (que beaucoup ont oublié ou loupé). Sans parler du pouvoir de Kitty Pride / Shadowcat qu’est de transporté un esprit dans son corps jeune (permettant le voyage dans le temps) alors qu’officiellement, celle-ci ne fait que passer à travers les murs. Ainsi que la relation qui existe entre Xavier et Mystique (alors que dans le premier film, elle lui fait du mal de sang-froid). Et enfin, un look différent pour un même personnage déjà apparu dans la saga (ici, cela concerne Crapaud, qui ne correspond même pas à l’âge que nous pourrions lui donner dans le premier X-Men, paraissant plus jeune que cette nouvelle version, se déroulant en plus en 1973).

Voilà, maintenant que nous avons fait le tour, nous pouvons nous attaquer au reste du film, à savoir ses qualités et ses atouts ! À commencer par son scénario. Malgré les invraisemblances évoquées précédemment, le script est tout simplement proche de la perfection. Avec une histoire qui se voulait complexe au possible, elle se retrouve finalement très simple à suivre (nous ne sommes jamais perdus, et ce malgré les nombreux détails et changements temporels qu’implique l’histoire). Et donc palpitante à suivre. D’autant plus qu’elle permet de creuser encore plus des personnages dont nous pensions avoir déjà fait le tour. Comme ce cher Wolverine (qui, ici, n’a plus rien à perdre et se risque à tout, sans mettre de côté sa « badass attitude », et qui trouve enfin son salut dans une séquence finale dont nous tairons ici le contenu), Xavier (qui se montre pour la première fois impuissant à ce qui se déroule) et Magneto (prêt à tout pour sa cause, quitte à vouloir sacrifier ceux qu’il aime). Sans oublier Mystique, qui a enfin l’honneur d’être au centre de cette l’histoire (je vous laisse découvrir pourquoi). Mais surtout, le scénario permet d’approfondir les relations qu’entretiennent chacun de nos personnages, en priorité Xavier et Magneto (notamment sur cette ironie, qui les voit s’unir dans leurs vieilles années alors qu’ils n’ont fait que s’affronter au fil des âges), mais aussi le Fauve et Wolverine (vite faite évoquée dans X-Men : l’Affrontement final) ou encore la romance entre le Fauve et Mystique (montré ici via des regards ; pas besoin de longs discours inutiles). Et avec leurs acteurs respectifs, qui avaient déjà montré qu’ils étaient les interprètes idéaux pour leur personnage, nous ne pouvons qu’être aux anges !

Mais surtout, Days of Future Past marque le grand retour de Bryan Singer. Et cela se remarque dans l’écriture. En effet, la comparaison mutants-Juifs et humains-nazis, totalement absente dans les derniers films, refait ici son apparition. Et ce dès la toute première séquence, qui rappelle l’introduction de l’opus initial (le camp de concentration, où les pouvoirs de Magneto « prennent naissance »), version science-fiction (décors funestes, personnages parqués et emprisonnés, génocide d’une race…). Une métaphore qui ne quitte nullement l’esprit du film, qui transparait à travers le personnage de Magneto jeune, qui fait tout en œuvre afin d’éviter un nouveau génocide (encore une fois, c’était explicite que dans X-Men et X-Men 2, les épisodes réalisés par Bryan Singer).

Et les personnages secondaires ? Il y en a bien, mais jamais au même niveau que dans X-Men : l’Affrontement final ni X-Men Origins : Wolverine. C’est-à-dire une surdose de mutants mis en avant et qui sont finalement délaissés rapidement par le scénario (comme l’avaient été Clyclope, Angel, Gambit…). Ici, ils sont annoncés d’office comme des seconds couteaux et restent comme tels (Bishop et ses compagnons). Ou bien possèdent au moins une séquence impressionnante (Vif-Argent). Mais quoiqu’il en soit, personne n’est mis de côté dans ce film, tous ont droit à son moment de bravoure. Tous ont leur place dans cette histoire qui tient incroyablement la route.

Sans que tout cela empêche Bryan Singer de nous livrer un divertissement exceptionnel, qui remplit aisément son cahier des charges. En n’oubliant pas l’action (quelques séquences sont à couper le souffle, notamment niveau mise en scène comme celles de Vif-Argent ou quand les Sentinelles attaquent les mutants), l’humour (via Wolverine et, encore une fois, Vif-Argent), l’émotion (certaines scènes se montrent véritablement prenantes et touchantes) et les clins d’œil (des détails scénaristiques et caméos à prendre en note). En bref, ce qu’il faut pour nous donner un film X-Men digne de ce nom : un blockbuster diablement divertissant et surtout palpitant de bout en bout (jusqu’à une scène post-générique qui annonce la couleur de la future suite X-Men : Apocalypse).

En clair, X-Men : Days of Future Past se livre à nous comme étant l’opus le plus travaillé, le plus maîtrisé de la saga toute entière. Le meilleur épisode, tout simplement ! Mais aussi l’un des meilleurs films de super-héros qui puissent exister, se rangeant sans mal aux côtés de Spider-Man 2, Watchmen – Les Gardiens, la trilogie The Dark Knight et Avengers (ce dernier ayant sa place grâce à son côté spectacle hors normes). Les Gardiens de la Galaxie a fort à faire pour dépasser un film qui lamine sans mal Captain America : le Soldat de l’Hiver et The Amazing Spider-Man 2 cette année. Quant à 20th Century Fox, c’est un joli pied de nez fait à l’encontre de Disney/Marvel, que l’on pensait intouchable question super-héros.

La franchise X-Men est née au cinéma en 2002 sous la réalisation de Bryan Singer, responsable du génial Usual Suspect. Malgré les fabuleux matériaux que sont les comics originels (tant les personnages, le scénario, que le puissant message de fond), la qualité des différents films de la franchise n’a pas toujours été au rendez-vous. Les réussites des deux premiers opus, ainsi que du Commencement, s’opposent aux ratages complets d'X-Men : L’Affrontement Final et Wolverine Origins. Mais le septième volet de la saga entend bien remettre les pendules à l’heure. Bryan singer revient donc à la réalisation avec une idée des plus innovantes : mélanger les deux castings des différents X-Men, ceux de la première trilogie et les nouveaux du film de Matthew Vaught (Le Commencement). Avec ce concept surexcitant et un pitch des plus intéressants sur le papier, le film a tout les atouts pour remettre les super-héros de Stan Lee et Jack Kirby au goût du jour, et ainsi en terminer avec les suites fades et insipides. Le pari est remporté haut la main.

Si Days of Future Past n’est pas le plus riche en action et le plus épique de la saga, il est et de loin le plus euphorisant. La concordance entre l’univers de la trilogie initiale et celui des plus jeunes mutants est parfaitement gérée et nourrie de nombreux clins d’œil. Les quelques combats présents à l’écran sont chorégraphiés à merveille et bénéficient d’une gestion du timing impressionnante. Elles sont fluides, spectaculaires et surtout centrées sur les capacités des différents mutants, afin de profiter au mieux du rendu à l’écran de leurs pouvoirs peu communs. La preuve la plus flagrante est l’une des meilleures scènes du film avec un effet bullet time à la Matrix grandiose mettant en lumière le pouvoir de Quicksilver.

Singer signe également un récit complexe mais toutefois cohérent. Le voyage dans le temps est un sujet dense mais puissant, que le réalisateur arrive à manier à la perfection tout le long du film. Il s’amuse même à changer l’Histoire, spoiler: par exemple Magnéto est accusé d’avoir tué le président Kennedy,
ce qui confère une densité scénaristique. Tout cela donne lieu à un récit maîtrisé et passionnant, avec de nombreuses péripéties des plus rythmées et extraordinairement bien filmées. Ces rebondissements sont essentiellement basés sur le personnage de Mystique (Jennifer Lawrence), qui était jusque-là relégué au rang de personnage secondaire dans les précédents opus (surtout ceux de la trilogie initiale où la mutante n'a que très peu de temps de parole). Jennifer Lawrence livre en tout cas une performance sans faille, tout comme le reste du casting, même si les fatigues de Ian McKellen et Patrick Stewart se font légèrement ressentir à l’écran. La mention spéciale va à Peter Dinklage alias Tyrion Lannister, qui se révèle être un très bon bad guy, et qui livre une performance très travaillée du savant dérangé Bolivar Trask.

Finalement X-Men : Days of Future Past, en plus d'être un film de super-héros profond, touchant et spectaculaire, se révèle être un divertissement intelligent et euphorisant. N’oubliez pas de rester pour la scène post-générique et rendez vous en 2016 pour X-Men : Apocalypse.

Beaucoup trop de blabla inutiles ! Des scènes longuettes alors qu'il y avait du potentiel ! Un manque d'action inc
ontestable malgré des possibilités énormes de scènes mémorables. Les sentinelles auraient dû être d'autant plus exploitées. Mais aussi beaucoup trop d'évènements non expliqués, qui se déroulent sans la moindre explication ; pas de continuité. Vraiment dommage...

X-Men: Days of Future Past est sans doute le meilleur des films X-Men depuis l'origine. Sombre, empreint d'une sourde mélancolie, le film parle d'un temps révolu et se leste d'une profondeur étonnante. Grandiose.

Il faut bien l’admettre, c’est moins le retour à l’écran des mutants que celui de Bryan Synger aux manettes qui faisait trépigner d’impatience les fans de la toute première franchise super-héroïque de ce siècle. Il semblait certain que seul l’initiateur de la saga serait à même de relever ce défi scénaristique sans précédent qu’était de créer une suite cohérente à, à la fois un troisième épisode décevant où l’on voyait mourir certains des principaux personnages, à un prequel ayant lieu une quarantaine d’année plus tôt. A partir d’une scène ayant lieu dans un futur uchronique dont on ne sait finalement quasiment rien, sinon que quelques mutants (parmi lesquels le Pr. Xavier ressuscité sans explication du précédent opus alors qu’il n’a finalement rien d’indispensable à la narration) se battent pour survivent à des robots géants, se met en place une histoire de voyage dans le temps assez simplette renvoyant Wolverine à l’époque postérieure à celle de de X-men : First Class. De là, commence une intrigue qui implique bien moins de mutants que ce que l’on n’avait l’habitude de voir dans les autres films, réduisant la dimension épique qui caractérisait la lutte qui les opposait aux humains intolérants, tandis que, hormis la présence du président Nixon, emploie moins bien le contexte politique et l’ambiance seventies que ne l’avait fait Matthew Vaughn. Le système de paradoxe temporel n’est pas exploité comme il le devrait, faisait perdre beaucoup d’enjeux aux quelques rebondissements. Les scènes d’action sont rares mais l’exploitation à l’image des pouvoirs de certains personnages, tels que Blink dont les portes de téléportation permettent des effets de profondeur surprenant ou de Vif-argent dont la vitesse est utilisée de façon amusante, assure quelques beaux passages. Tous les éléments sont réunis pour faire de Days of the future past un agréable divertissement mais aucunement le grand film que l’on en attendait. Peut-être le prochain, annoncée par une scène post-générique ne parlera qu’aux lecteurs de comics, ramènera la saga à son meilleur niveau.

Tout simplement genial. Les acteurs sont parfaits ainsi que le scenario et l'ambiance du film (les annees 70). L'histoire aussi est geniale et aussi la morale du film c'est dur a expliquer mais en le voyant vous comprendrez. Bref un vrai chef d'oeuvre, a ne surtout pas manquer!

J'ai eu un froissement quand j'ai appris que Bryan Singer reprenait à nouveau les commandes de la saga X-Men après l'excellente débrouillardise de Matthew Vaughn. Alors, non pas que Singer rata les deux premiers volet non, je tenais juste qu'il s'attaque à autre chose mais bon, au final je vais pas bouder. Et la raison est simple. Tout bonnement parce qu'au fond, Singer réalise un volet avec prouesses et n'a pas perdu de son pouvoir pour mettre en scène les mutants. Il réussit à faire un volet bien plus costaud que ses propres précédentes adaptations. Days of Future Past envoi des scènes fortes en action, notamment le passage avec le Vif d'Argent qui spoiler: s'occupe de désarmer des agents de sécurité sous une musique qui passe dans son casque audio
. De l'émotion aussi, que Singer pousse encore plus loin, entre le professeur Xavier dans son passé et les relations entre l'ensemble des personnages. Et le grand plaisir de revoir Michael Fassbender en Magnéto jeune qui joue admirablement bien. Pas assez de cela, un second acteur tout aussi séduisant dans son jeu, c'est McAvoy.

Certainement le meilleur film X-Men à ce jour, le scénario est brillant, le casting est monstrueux, on ne s'ennuie jamais.

Comment ce film peut il être aussi débile, incohérent et ennuyeux alors que le précédent était super bien réussi ?! D'habitude les films xmen sont un minimum cohérents. Là dès le début les explications du vieux Xavier concernant l'idée lumineusement aberrante pour essayer de revenir dans le passé et empêcher la création des sentinelles ressemble à un mode d'emploi pour le spectateur dont on sait qu'il ne va rien capter. Et en effet tout est tiré par les cheveux, il faut s'accrocher et avaler un paquets d'énormités pour continuer à suivre. Les personnages sont crétins à en pleurer, ils font toujours les mêmes choix et erreurs, on a limite envie qu'ils se fassent dézinguer une bonne fois pour toutes. Palme d'or pour les débats idéologiques culcul et redondants des ennemis/amis de toujours Xavier (toujours l'oeil mouillé de larmes de culpabilité) et eric (toujours plus fort ça en devient ridicule, y a pas un mutant qui pourrait le tuer ??? pas crédible!). Seul les passages avec vif argent sont très bons, mais pourquoi ne le voit on pas plus ? Surement pour préparer un spin off bien creux en 3 parties de 2h30... Kitty se retrouve avec un pouvoir inexplicable (faire remonter dans le temps l'âme de quelqu'un? Temporairement en plus, et en devant rester concentré pour pas qu'il se perde?? Du très grand n'importe quoi) Et Mystic, agréable à voir mais casse couilles, n'a même plus besoin de toucher les gens une fois pour prendre leur forme. Au final un bon point pour m'avoir définitivement refroidie en montrant Hugh Jackman nu, quasi monstrueux, aux veines distendues par la musculation stéroïdienne.

X-Men: Days of Future Past est la suite directe de First Class, qui avait déjà révolutionné les films de superhéros. Avec DoFP, Bryan Singer perpétue parfaitement le travail commencé par Matthew Vaughn. En effet, ce film s'impose comme le meilleur de la saga X-Men et comme l'un des meilleurs films de superhéros de ces dernières années.
Les effets spéciaux (et le travail visuel d'une manière générale) sont très beaux et la réalisation est bien maîtrisée. Quand on combine les deux, cela nous donne la magnifique scène au ralenti de l'un des meilleurs personnages de ce film, Quicksilver. Ce qui m'amène à signaler que le film contient quelques moments très drôles, mais trop centrés autour des scènes avec ce personnage. Il aurait mieux valu garder cet humour dans la continuité car le film se prend parfois trop au sérieux.
Cela a souvent été dit, le grand plus de ce film c'est que les scénaristes se sont un minimum creusés la tête pour nous fournir un scénario digne de ce nom et une histoire un minimum recherchée. Certains ont pu trouver quelques petites incohérences mais il faut savoir qu'il y en a toujours en ce qui concerne les histoires de voyages dans le temps. Mais on est tenté d'y croire car le retour vers le passé nous est expliqué plutôt précisément dès le début du film et paraît finalement assez concret, surtout que Singer s'accroche bien à son scénario et s'y tient du début à la fin.
Personnellement, je mets une réserve sur la fin du film qui, sans en dévoiler plus, me paraît un peu trop simpliste. Et on s'est également posé une question à la sortie de la projection: comment ont-ils pu créer ces énormes et intelligentes sentinelles en 1973 ? Avec quelles technologies ?? Enfin bref, passons..
Ce qui est plaisant avec ce film, c'est qu'il n'est pas composé seulement de scènes d'action de bourin du début à la fin sans aucune raison. Non, au contraire, les scènes d'action nous sont distribuées à la cuillère et le film nous propose de beaux dialogues et s'attarde sur les personnages, ce qui prouve une fois de plus qu'il y a une réelle volonté scénaristique.
Côté casting, c'est du très bon. Pas de points faibles à signaler. Mais des points forts en revanche: James McAvoy excelle, Hugh Jackman continue sur sa lancée, Michael Fassbender est encore une fois fantastique et Jennifer Lawrence, que j'adore, gère parfaitement l'extension de son rôle par rapport à First Class. Les jeunes qui jouent les nouveaux mutants remplissent bien leurs petits rôles, et c'est ici que je dois citer Omar Sy, qui fait plaisir à voir ! Je trouve intéressant le mélange entre les personnages de l'ancienne et de la nouvelle saga, car on retrouve dans DoFP Ian McKellen, Patrick Stewart et Halle Berry, ce qui permet de bien nous faire comprendre que nous somme toujours dans le même univers.
En ce qui concerne la 3D, elle est dispensable mais s'avère finalement assez sympathique.
Ce nouveau X-Men pourrait signer une nouvelle ère dans les films de superhéros, qui commençaient légèrement à s’essouffler. Des effets spéciaux toujours plus beaux mais surtout une réalisation, un scénario et des dialogues plus intelligents combinés avec une histoire plus poussée et plus approfondie.
Bien sûr, ce film est à conseiller. Si vous avez aimé le nouveau genre que marquait First Class, vous allez aimé Days of Future Past qui continue sur la lancée et qui fait progresser le genre.