En toute humilité - The Humbling : Critique presse
En toute humilité - The Humbling
Note moyenne
2,4
18 titres de presse
L'Express
Critikat.com
Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
Positif
Première
Studio Ciné Live
TF1 News
aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
CinemaTeaser
Le Monde
Ouest France
Télérama
Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Express
par Sandra Benedetti
Difficile de démêler le vrai du faux dans cette "dramédie" traversée de personnages plus ou moins dingues. Le rythme a beau être inégal, Al Pacino livre là l'une de ses plus incroyables compositions, superbe dans la débâcle et la dérision.
Critikat.com
par Quentin Le Goff
The Humbling est une variation du Roi Lear qui doit beaucoup à Philip Roth.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
S’il n’enthousiasme pas, "The Humbling" se voit avec beaucoup de plaisir, notamment grâce à la prestation d’Al Pacino, vraiment dans son rôle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par La Rédaction
Le comédien, à l'énergie intacte, s'en donne à cœur joie dans le registre de la crise existentielle, sous la direction de Barry Levinson dont la mise en scène se concentre sur les personnages. Globalement touchant, ponctué de scènes loufoques, le film bénéficie du charme de Greta Gerwig (...).
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Touchant par bien des aspects, ce film de Barry Levinson repose, pour beaucoup, sur les épaules de Pacino.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par La Rédaction
Dès que ce conte pourrait virer à la tragédie, Levinson et Pacino inventent (aidés par le coscénariste Buck Henry, excusez du peu !) des boutades ou des gags marrants. Dans l'équipe qui entoure le prince des cabotins, il faut applaudir le toujours génial Charles Grodin et l'"allénienne" Dianne Wiest.
Première
par Gérard Delorme
Guetté par la démence, la fatigue et l’impuissance, son personnage cherche auprès de Pegeen (fracassante Greta Gerwig) une possible troisième jeunesse et un prétexte pour remonter sur les planches. C’est à la fois drôle et tragique et c’est fait exprès.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Al Pacino excelle en acteur vieillissant qui confond rêve et réalité. Mais le scénario, trop flou, pourtant signé Buck Henry (Le lauréat), surcharge ce film qui avait tout d'un "Birdman" en puissance.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Yves Grosjean
L'interprétation (Al Pacino en tête, évidemment) reste le point fort de ce film un poil cabotin. Séduisant mais sans plus.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Dans cette chronique du troisième âge où un ultime flirt avec la jeunesse pourrait raviver l’illusion de pouvoir éconduire une mort programmée (la tentation du suicide est obsédante), Levinson et Pacino ne faillent pas. Mieux, ils livrent un dernier acte théâtral, sur fond d’une relecture du "Roi Lear" plus qu’attachante, émouvante !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
"The Humbling" est atteint, comme tant d'autres films dévorés par le statut d'un acteur star qui devient l'instrument et le sujet du film, de ce qu'on pourrait appeler le "syndrome de la master class".
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un Pacino plus cabot que jamais.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Monde
par Franck Nouchi
Adapté du roman de Philip Roth, ce film n’en a pas la grâce. Reste néanmoins le grand Al Pacino dans le rôle de Simon Axler : médiocrement filmé mais épatant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Pierre Fornerod
Al Pacino en fait des tonnes face aux caméras de Barry Levinson.
Télérama
par Jacques Morice
Le film, boursouflé et bavard à souhait sur le théâtre de la vie, et vice-versa, est à peine égayé par la présence de Greta Gerwig, lesbienne attirée par celui qui fut son idole.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Dents qui grincent ou yeux au ciel, le spectateur de The Humbling est un spectateur gêné, devant ce qu’il convient d’appeler, en un mot, une catastrophe.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le film se limite bien vite à cette théâtralité agonisante, ce numéro de cirque qu'est devenu le jeu de Pacino.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clémentine Gallot
Mal gaulé, fantastiquement verbeux et photographié par un chef op en proie à une maladie de la cornée qui fait voir le monde en moche, c’est un document sur un talent qui ne trouve plus vraiment rôle ou metteur en scène à sa taille, à la fois grandiose et pathétique (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
Difficile de démêler le vrai du faux dans cette "dramédie" traversée de personnages plus ou moins dingues. Le rythme a beau être inégal, Al Pacino livre là l'une de ses plus incroyables compositions, superbe dans la débâcle et la dérision.
Critikat.com
The Humbling est une variation du Roi Lear qui doit beaucoup à Philip Roth.
Franceinfo Culture
S’il n’enthousiasme pas, "The Humbling" se voit avec beaucoup de plaisir, notamment grâce à la prestation d’Al Pacino, vraiment dans son rôle.
Le Journal du Dimanche
Le comédien, à l'énergie intacte, s'en donne à cœur joie dans le registre de la crise existentielle, sous la direction de Barry Levinson dont la mise en scène se concentre sur les personnages. Globalement touchant, ponctué de scènes loufoques, le film bénéficie du charme de Greta Gerwig (...).
Les Fiches du Cinéma
Touchant par bien des aspects, ce film de Barry Levinson repose, pour beaucoup, sur les épaules de Pacino.
Positif
Dès que ce conte pourrait virer à la tragédie, Levinson et Pacino inventent (aidés par le coscénariste Buck Henry, excusez du peu !) des boutades ou des gags marrants. Dans l'équipe qui entoure le prince des cabotins, il faut applaudir le toujours génial Charles Grodin et l'"allénienne" Dianne Wiest.
Première
Guetté par la démence, la fatigue et l’impuissance, son personnage cherche auprès de Pegeen (fracassante Greta Gerwig) une possible troisième jeunesse et un prétexte pour remonter sur les planches. C’est à la fois drôle et tragique et c’est fait exprès.
Studio Ciné Live
Al Pacino excelle en acteur vieillissant qui confond rêve et réalité. Mais le scénario, trop flou, pourtant signé Buck Henry (Le lauréat), surcharge ce film qui avait tout d'un "Birdman" en puissance.
TF1 News
L'interprétation (Al Pacino en tête, évidemment) reste le point fort de ce film un poil cabotin. Séduisant mais sans plus.
aVoir-aLire.com
Dans cette chronique du troisième âge où un ultime flirt avec la jeunesse pourrait raviver l’illusion de pouvoir éconduire une mort programmée (la tentation du suicide est obsédante), Levinson et Pacino ne faillent pas. Mieux, ils livrent un dernier acte théâtral, sur fond d’une relecture du "Roi Lear" plus qu’attachante, émouvante !
Charlie Hebdo
"The Humbling" est atteint, comme tant d'autres films dévorés par le statut d'un acteur star qui devient l'instrument et le sujet du film, de ce qu'on pourrait appeler le "syndrome de la master class".
CinemaTeaser
Un Pacino plus cabot que jamais.
Le Monde
Adapté du roman de Philip Roth, ce film n’en a pas la grâce. Reste néanmoins le grand Al Pacino dans le rôle de Simon Axler : médiocrement filmé mais épatant.
Ouest France
Al Pacino en fait des tonnes face aux caméras de Barry Levinson.
Télérama
Le film, boursouflé et bavard à souhait sur le théâtre de la vie, et vice-versa, est à peine égayé par la présence de Greta Gerwig, lesbienne attirée par celui qui fut son idole.
Cahiers du Cinéma
Dents qui grincent ou yeux au ciel, le spectateur de The Humbling est un spectateur gêné, devant ce qu’il convient d’appeler, en un mot, une catastrophe.
Les Inrockuptibles
Le film se limite bien vite à cette théâtralité agonisante, ce numéro de cirque qu'est devenu le jeu de Pacino.
Libération
Mal gaulé, fantastiquement verbeux et photographié par un chef op en proie à une maladie de la cornée qui fait voir le monde en moche, c’est un document sur un talent qui ne trouve plus vraiment rôle ou metteur en scène à sa taille, à la fois grandiose et pathétique (...).