Un film qui démarre comme un drame social en suivant quelques pêcheurs pauvres japonais et qui va virer au film de vengeance qui fait mal. Dans ce dernier aspect même s il se livre par moment à quelques outrances, il délaisse la pure exploitation pour nous montrer une vengeance qui laisse des traces qui est une fuite sans fin dans l hémoglobine censée laver le deuil de l héroïne et ce jusqu à son épuisement. Agrémenté d un sous texte sur la corruption qui lui donne du relief, cette « Vengeance de la sirène » est aussi à voir pour la performance incomparable de son actrice principale qui semble donner ses forces jusqu aux dernières extrémités.