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    Holy Motors
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    3,0
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 août 2013
    un film qui n'est pas pour le commun des mortels.

    Ont ce demande ce qui ce passe ....

    un film pour des pseudo elite qui vous diront : hommage au rôle d'acteur , du grand art etcc ...

    mis a part en effet le jeu d'acteur de denis lavant ce film a mon sens est vide ...
    apres pour ceux qui aime les messages subliminaux et débattre du pourquoi du commun pendant des heures , la il y a de quoi faire !! :

    un belle exemple encore du grand écart "critique de film" , "spectateur" :)
    et encore pour les critiques des que le film a reçu des prix il devient "genial " "incontournable " ..

    au courageux : bonne projection .
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 août 2013
    Je sais que l'on peut tout justifier par la phrase: "Mais c'est de l'art". Cependant, je dois avouer que je n'ai pas compris ce film et que je me suis pris à regarder la montre plusieurs fois en désespérant de le voir finir. Même si j'ai ma petite théorie sur l'histoire ça reste étrange.

    La question que je me suis posé à la fin de ce film c'est: Pourquoi? Quel en est le message? Que veut nous dire le réalisateur? Pour moi il y a trois catégories de film: les divertissements, Les films "engagés" (voulant faire passer un message) et les documentaires. Or je ne comprends pas la fonction ou le but de ce film peut être qu'il me dépasse (surement même) mais en tout cas, rien que ça, cela a grandement détérioré l'avis que je me suis fait du film.

    Ma conclusion est que si vous cherchez un moment de détente devant un bon film, passez votre chemin. Mais si vous aimez vous prendre la tête ou tout simplement vous poser des questions comme moi, vous serez servie ! Mais si quelqu'un a comprit ce film je l'invite grandement à me contacter !
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2013
    « Holy Motors » a cette qualité : il ne laisse pas indifférent. D’aucuns disent que l’histoire en elle-même n’est pas importante, c’est un film sensoriel aux images d’une force incroyable ; à considérer ce film comme une œuvre d’art. En soi, ce n’est pas faux, et c’est même bien vu. Est-ce que ladite force des images ne serait pas prétexte à excuser une histoire incohérente ? Après tout, si ce film est considéré comme œuvre d’art, dans ce cas, sa force sensorielle suffit. Et inconsciemment, ça raconte une histoire, peu importe ce qu’elle raconte, car on est dans le domaine de l’irrationnel. Quand on est imprerssionné par une œuvre d’art, cela signifie qu’elle touche à nos sentiments, qu’il y a comme une résonnance et chacun s’approprie l’histoire car l’émotion qu’elle suscite est de l’ordre de l’intime. Cela dit, quand un film ne plaît pas, ne lit-on pas qu’il n’y a pas d’histoire, que l’histoire tient à peine sur un timbre-poste etc... Pas d’histoire, pas de film. Est-on vraiment objectif avec Leos Carax ? La force des images ? M’ouais. Je n’ai nullement été impressionné. Par contre, j’ai pris ce film comme un film à scketch. Puisque tout le monde se cache derrière la très pratique œuvre d’art, je ne vois pas pourquoi ma critique serait plus tartignolle qu’une autre. Ce film pourtant ne devrait pas être sujet à plusieurs interprétations, car ma foi, il raconte une histoire. L’histoire d’un type qui raconte ou vit plusieurs vies dans une journée. Leos Carax y ajoute une dimension philosophique : le moteur. Le fameux moteur de la caméra qui permet de dérouler la bobine, le moteur de la voiture qui ronronne et qui permet de se déplacer d’un point à un autre, le moteur des machines qui permet peut-être de se sentir vivant en raison du bruit qu’il fait. Leos Carax aurait tourné à contre-cœur avec une caméra numérique, autant dire, une caméra silencieuse. Les limousines ne s’interrogent-elles pas sur leur fin de carrière ? Oui, ce film est sujet à interprétation, à rêverie. Oui, ce film peut être considéré comme une œuvre d’art mais de là à dire que c’est DU VRAI CINEMA, je m’insurge un petit peu. C’est du cinéma. Un cinéma personnel, une vision d’un cinéma, un autre cinéma, une autre proposition de cinéma mais ça reste du cinéma. Il est tout aussi respectable qu’un « Dark Knight », qu’un « Sucker Punch », qu’un « Cloud Atlas ». Car là encore, est-on objectif ? Non. Je me suis enthousiasmé pour « Cloud Atlas » car l’histoire qu’on m’a raconté m’a ému. « Holy Motors » ne m’a pas ému, mais par moments, il m’a tenu en haleine comme monsieur Merde qui arpente un cimetierre en bouffant toutes les fleurs sur son passage et tombant sous le charme glamour d’une Eva Mendes ; je suis resté attentif quand Monsieur Oscar a dansé avec des capteurs avec une contorsionniste pour illustrer une copulation entre deux monstres sortis d’un héroïc fantasy ; j’ai été intrigué quand monsieur Oscar se fait tuer par son double... Et c’est tout. Il y a des vies qu’il a jouées dont je me moque comme dans la vie, comme un film dont l’histoire s’étirerait sur une heure trente ! Oui, « Holy Motors » est un film à segments qui se relient et je n’ai pas tardé à saisir l’histoire au bout de deux segments. En effet, je me moquais de savoir où il voulait vraiment en venir, en effet, je me suis laissé embarquer dans cette limousine-loge de théâtre où par moments, la journée de monsieur Oscar m’a paru interminable où par moments, j’ai apprécié quelques séquences. Plus haut, j’ai évoqué « Sucker Punch », j’avais reproché au film de se répéter, ici, aussi, ça se répète. D’où cette lassitude par moments. Au lieu de parler de la force des images, je parlerais de force des petites histoires. Enfin, il est vrai, que l’histoire, parfois, on peut ne pas la comprendre, ou s’en passer si les images proposées sont une claque. Je pense à Peter Greenaway ; sa réalisation était léchée, ses films étaient des tableaux animés, « The baby of Macon », « Meurtre dans un jardin anglais » par exemple, dignes des plus grands peintres de la Renaissance. Voilà un réalisateur dont je ne comprenais pas toujours ses films, mais en effet, la force de ses images, sa réalisation presque hors-norme me séduisait tout en m’intriguant. Oui, ce sont aussi des films sensoriels, des œuvres d’art, à la frontière de l’expérimental. C’est aussi du cinéma. Pour finir, je dois rendre hommage à Denis Lavant, formidable comme toujours, il est le prolongement de la pensée de Leos Carax, car grâce à son interprétation, on croit à « Holy Motors » et mention spéciale à Edith Scob, élégante et méconnaissable. Cela aussi, on le doit à Leos Carax ; il est de ces metteurs en scène qui savent transformer ou sortir des acteurs de leur confort de jeu. Par contre, je ne me suis pas pâmé devant Kylie Minogue ; sa scène a failli me plonger dans un sommeil qui aurait pu être irréversible. Rien d’exceptionnel. Ce n’est pas sa faute. Voilà pourquoi, je ne me suis pas extasié pour ce film aux segments inégaux. Par contre, quand je dis qu’il ne laisse pas indifférent, je le prouve avec ces quelques lignes ! Ouf...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 août 2013
    Holy motors est un film déstabilisant par sa narration dont l'interprétation peut varier, pour moi c'est un véritable hommage au boulot d'acteur dont ici Denis Lavant propose une interprétation impressionnante même si quelques scènes auraient pu être évitable certaines sont mémorables comme l'interlude en musique, la scène avec Kylie Minogue et la scène où Denis Lavant joue le père d'une adolescente.
    MARIPOP48.
    MARIPOP48.

    2 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 février 2019
    A trop vouloir faire de la pseudo philosophie cinématographique, il y a un fossé entre les critiques cinéma et le public.
    Cela ressemble plus à des pensées (ou fantasmes) mis bout à bout sur un écran, plutôt qu'à un scénario bien construit. Nous regardons une séance de psychothérapie plus qu'un film. Rien d'intéressant pour moi, et je ne le conseille pas
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 6 août 2013
    Je salue les prestations et la réalisation, mais cela reste un film WTF ! Incompréhensible et très ennuyeux, je comprends pas l'encensement autour du film...
    CRICOUBA
    CRICOUBA

    7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 août 2013
    impossible de rentrer dans cet univers.
    Où sont les clés ?
    Le film est-il destiné à d'autres qu'à l'auteur lui-même ?
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    749 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2013
    Film bien loufoque de Leos Carax où l'on suit un certain Monsieur Oscar qui en l'espace d'une journée se glisse dans la peau de plusieurs personnages dont un banquier, une mendiante, une créature monstrueuse sortant des égouts, un patriarche, ou encore un tueur. L'histoire brille par une certaine originalité et la réalisation en numérique est assez audacieuse. Mais, ce que je retiendrais le plus dans ce film c'est surtout la performance de Denis Lavant qui incarne avec une facilité déconcertante tous ces étranges personnages. A noter aussi les participations pour le moins sympathique d'Eva Mendes et de Kylie Minogue.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 juillet 2013
    Après à peine 2 min de film je me suis dit " oh non encore un film d'auteur déprimant où je vais rien comprendre". C'est vrai. Pendant la première demie-heure je me suis bien demandé ce que j'étais en train de regarder !! Un homme d'affaires entre dans une superbe limousine blanche avec chauffeur et en ressort déguisé en mendiante à faire la manche su un pont de Paris ? Non mais où est le rapport ? Et les scènes s’enchaînent et je ne comprend toujours pas ce que fait ce mec avec sa limousine aménagée comme une loge d'artiste de théâtre.
    Enfin j'ai compris.
    Holy Motors ne doit pas être considéré comme du cinéma classique, il ne se contente pas de raconter une histoire avec un début, un milieu et une fin. Ce n'est pas la vie de M. Oscar à laquelle on s'intéresse, le personnage n'étant lui-même que lorsqu'il est dans sa limousine, entre deux scènes. Ce film nous entraîne dans une autre dimension du cinéma, qui passe de la description à la sensation, ni réaliste ni fantastique, à mi-chemin entre notre réalité et une fantaisie artistique, on se laisse enfin emporter dans la vie de cet acteur, M. Oscar qui ne joue ni devant un public dans une salle, ni devant une caméra, mais qui joue les personnages qu'on lui donne à jouer, allant du père de famille à une créature proche du farfadet en passant encore par d'autres tout aussi inattendus et extravagants. On se perd entre réalité et fiction et on se rend compte alors ce que c'est une "performance d'acteur".
    4.5/5 parce qu'il faut vraiment bien s'accrocher pour arriver à voir ce film pour ce qu'il est et non pour les seules images qu'il montre, mais au final, on se rend enfin compte de ce que le cinéma peut apporter, on est tellement anesthésié par tous les blockbusters américains, qu'on arriverait à en oublier que le cinéma est un art, ce film nous le rappelle.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juillet 2013
    Holy Motors est un film à part dans la filmographie de Leos Carax. Après la trilogie des "Alex" qui avaient étonné par la jeunesse de la mise en scène mais dont le propos romantique et pompeux pouvait très rapidement lasser et Pola X qui s'enfonçait encore plus dans le ridicule et le malsain d'un cinéaste qui se regarde souffrir avec jubilation, on pouvait redouter le retour (hors le court métrage "Merde" pour le film collectif "Tokyo!", Monsieur Merde qui refait d'ailleurs une apparition dans Holy Motors) au grand écran de Leos Carax. Holy motors est à part dans la filmographie de Carax mais c'est un film qui est à part dans l'histoire di cinéma tout court.
    L'histoire importe peu, on suit un homme qui, pendant sa journée de travail, se déguise et incarne plusieurs personnages jusqu'à vivre leur vie. Ce qui importe dans Holy Motors, c'est la beauté des images. Mise en scène inventive, audacieuse, chaque segment regorge de trouvailles, d'images qui marquent, d'images qui restent en tête. Holy Motors est un film qui rend hommage au cinéma, aux métiers du cinéma et aux acteurs. Jamais un cinéaste ne ce sera interrogé à ce point sur l'essence du cinéma. Car au fond, faire des films est un acte beaucoup plus important que d'assembler des images pour divertir un public pendant une heure et demie. Leos Carax vit le cinéma (ça, au moins, on ne peut pas lui reprocher le contraire), vit pour le cinéma, et chaque seconde de Holy Motors en est une preuve. Visuellement éblouissant, Denis Lavant n'y est pas pour rien. Véritable contorsionniste, il joue les rôles successifs avec beaucoup de talent et toujours en se glissant totalement dans la peau du personnage. "Pourquoi continuer comme ça ?" lui demande-t-on dans le film, "Pour la beauté du geste" répond-il. C'est ça. Holy Motors est un film qui montre ce que le cinéma devrait-être : quelque chose que l'on fait pour la beauté du geste.
    Que l'on soit d'accord ou pas, il est une chose qui met tout le monde d'accord, c'est l'immense beauté du film, la force esthétique des images.
    Le reste, on ne peut que l'aimer ou le détester, Holy Motors est un film qui ne laisse pas indifférent. Si on accepte d'entrer dans une histoire où les images comptent plus que le déroulement du scénario, on ne peut être que comblé. Beaucoup ont détesté ce film en disant qu'il était réservé à une élite cinématographique, mais ils ont tort. Il suffit d'admettre que ce que l'on voit n'est pas un film mais une réelle oeuvre d'art pour y entrer complètement. Holy Motors se regarde comme une peinture d' art moderne. Une fois que l'on a admis de ne pas avoir toutes les clés en mains, on peut profiter du voyage sensoriel. 5 étoiles, donc, mais plus pour l'oeuvre d'art que pour le film de cinéma.
    choobab
    choobab

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 juillet 2013
    Ce film, inesthétique est d'un ennui mortel !!!
    Il est difficile de ne pas douter du jugement des critiques professionnels qui l'ont encensé.
    Sublimer le néant, peut-être ... ?
    Participer à cette mascarade intello-masturbatoire sur le génie de Carax, jamais !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 juin 2014
    Holly Motors est le 5ème long métrage de léos Carax, personnage atypique dans le paysage du cinéma français, aussi rare que précieux. Amis de la prose linéaire, du récit qui mène d'un point A à un point B, avec quelques détours ou divagations, ne vous laissez pas tenter par ce film.
    Holly Motors est une fable métaphorique qui demande au spectateur de faire "son film". On pourrait dire qu'il s'agit d'un film à Sketch ou s'enchaine une dizaine de scène relié entre elle par le personnage énigmatique de Denis Lavant.
    La mise en scène de Carax est à couper le souffle. En un film il résume l'ensemble de ses qualités et en développe de nouvelle (le domaine surnaturelle du jeu vidéo). Denis lavant confirme une fois de plus auprès de son metteur en scène fétiche qu'il est un des grand comédiens français, largement mésestimé.
    Un film à voir, sans à priori, en ouvrant bien grand les œillères. Une claque pour certain (dont je fais partie), une purge pour d'autre, cette œuvre ne laissera pas de marbre : n'est-ce pas le propre d'une œuvre d'art digne de ce nom ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 juin 2013
    Attention, pour dissiper toute méprise, il faudrait dire tout d'abord que Holy Motors n'est pas un film.
    Non, c'est une succession de sketchs tous plus absurdes et abscons les uns que les autres, où on voit entre autres un clochard manger des fleurs, puis les doigts d'une femme, puis des billets de banque, puis des cheveux, avant de chantonner en bandant devant un mannequin enlevé. Mais on aura droit aussi à de la comédie musicale, quelques meurtres, avant de finir sur "Revivre" de Gérard Manset (le pauvre...!), en compagnie de quelques singes.
    Tout est gratuit ici, provocant, paresseux, enfin tout signe la défaite du cinéma.
    C'est d'autant plus triste venant du réalisateur du très bon "Boy meets girl" et du génial "Mauvais sang".
    On a l'impression d'un cinéaste qui se décompose film après film, par paresse, par prétention?
    Autant le dire, on navigue ici entre le pire de Godard et un Gaspard Noé, autrement dit on balance des images à la tête du spectateur, plus hermétiques les unes que les autres, avec en toile de fond un "projet ambitieux", qui tient en trois lignes de scénario: les gens jouent leur vie, ils changent de personnalité et de rôle au gré de "rendez-vous".
    Franchement vide, et prétentieux au possible.
    Après, comme d'habitude, on peut tout dire de tout: on peut dire que le film est "novateur", que c'est un "bolide", que c'est un "ovni", que Carax est en avance sur son temps, et on peut aussi broder sur le 7e art et faire de la philo de comptoir. Mais on peut aussi être honnête, et accepter le fait que ce film soit tout simplement mauvais, et qu'il prenne le spectateur pour un imbécile.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 juillet 2013
    Léos scarax signe un chef d'oeuvre d'une complexité plus que très rare de nos jour dans un film Français (on à d’ailleurs du mal à croire que c'est un film Français). Bref ce film ne nous montre pas la "complexité du métier d'acteurs" comme le disent certains critique pas très large d’esprit mais tout simplement un film dans la ligné de "Muholand dirve" de David Lynch, on sort de la salle, et aucune moral ne nous vient, car c'est des films destiné à autre chose, à nous poser quelques questions comme que devient le cinéma; qu'il n'est plus le même spoiler: dialogue entre Michel Piccoli et Denis Lavant dans la limousine
    mais est t'il moins bien pour autant. c'est la version simplifié de ce que veut nous dire Scarax, après chacun y voit sa réponse. Je pense aussi de la vie qui fourmille dans une ville, toutes les petites histoires (il n'y a que ça dans le film), tout ces habitants qui reste dans l'ombre. Tout cela orchestrer par les cadrage de Scarax. On remarque aussi que tout à un rapport mort-vieillesse-jeunesse, pour en revenir au fameux changement dont je vous parlait, le passage de la bobine au numérique pour être plus claire, les nouveaux jeunes réalisateur auquel les vieux artiste doivent laisser la place. La technique évolue, mais le cinéma il suffit de ne pas oublier les vieux films, et les nouveaux iront de l'avant. J'en conclue tout ça grâce au plans de vieux films qui apparaisse à des moments ou d'autre du film. Ou encore le retour au origine du personnage spoiler: avec la famille des singes
    , et on à pour finir un plan avec des outils qui sont déstiné à disparaître faire un discours : spoiler: les limousines
    . Holy Motors est donc un film incompréhensible au analyse multiple et aux interprétations nombreuses.
    Flotibo
    Flotibo

    52 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 juin 2013
    Un chef d’œuvre pour de nombreuses critiques presse. Néanmoins, j'ai énormément de mal avec les films dépourvus de scénario. Car, c'est bien le problème : Holly Motors est une succession de courts métrages sans aucun lien, la plupart d'entre eux étant vide de sens à mon avis. Un film qui s'avère donc très vite vide et creux. Un conseil, passez votre chemin...
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