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Un visiteur
2,0
Publiée le 16 juillet 2012
Le problème, c'est que Holy Motors se contente de nous laisser bouche bée face à un film très décousu, et finalement déçu de ne pas avoir ne serait-ce qu'une ébauche de réponse.
Sans queue ni tête. J'ai vainement essayé de comprendre l'idéologie du film, sans succès ... Et la scène finale a mis fin à mon semblant d'intérêt. Ou bien je manque de références cinématographiques, ou bien je ne navigue pas dans le même univers que Leos Carax ... ou les 2 !! Il a tout de même réussi à m'interroger pendant les 3/4 du film, ce qui m'a permit de ne pas m'ennuyer pendant 2h !!
Dommage qu'il n'y ait pas de note négative... C'est complètement naze... Enfin si vous êtes un grand malade vous comprendrez sûrement l'intérêt de ce film!
On se rend au cinéma, entre autre, pour être bluffé, non ? Et bien ce film est bluffant ! Il n'y pas 1 film, mais 10 courts-métrages en un, sans parler des références multiples qui relient les histoires entre elles, mais également à d'autres grands films de l'histoire du cinéma et même aux séries de science-fiction et d'espionnage. Une originalité visuelle, des performances d'acteurs, un étonnement de chaque instant. Du vrai suspens tout du long. Ce film est un petit bijou qui nous laisse incrédules, désorientés comme des ados devant leur premier film "claque". Du rêve de cinéma pas bégueule, qui peut embarquer tout le monde dans la limousine. Allez rêver debout, ou plutôt assis ! Merci Leos Majax !
Ce film n'est aucunement de l'art d'essai. c'est un navet, inconsistant,sans réel trame. les maigres réconfort sont : le maquillage et l'acteur principal qui est bon. ceci étant malgré cela le scénario étant inexistant ça sert à rien. bref j'ai perdue deux heures devant un film ça m'était pas arrivée depuis la légende de beowaulf ^^
"Holy Motors" est un film un peu raté, qui ne tient pas toutes ses promesses. Film sur la mort du regard plus que sur la mort du cinéma (l'une entraînant certes l'autre), le 5ème film de Carax peut également se voir comme un film sur le métier d'acteur autant qu'une tentative vaine de son auteur de rattraper une grosse décennie d'inactivité en racontant une dizaine d'histoires différentes. Forcément, elles ne sont pas toutes du même intérêt : les segments du père et du mourant sonnent assez faux et semblent s'étirer en longueur, ces scènes "normales" ne semblant pas à leur place chez un cinéaste aussi singulier que Carax. Objet imparfait, "Holy Motors" comporte néanmoins des scènes magnifiques, à commencer par le prologue (l'auteur entrant littéralement dans une salle de cinéma) et l'épilogue (à la fois drôle et réponse improbable à la question entendue dans "Cosmopolis" sur l'activité des limousines la nuit), mais plus encore la séquence de la Samaritaine, vibrante rencontre entre deux anciens amants à proximité du Pont Neuf. Sans doute la presse s'est-elle un peu trop enthousiasmée à Cannes (Carax est d'ailleurs vraiment un phénomène franco-français), mais "Holy Motors" est suffisamment audacieux, ludique et hors des sentiers battus pour être accueilli avec un soupir reconnaissant.
La critique est unanime, le film de l’année ; Je confirme que ce film m'héritait la palme d'or à Cannes voire même l’oscar a hollywood. C’est le genre de film qui me dit que je suis trop bête pour le comprendre. Trop bête de n’avoir pas pu rentrer dans le génie du réalisateur. Trop bête pour n’avoir pas compris la fantastique scène des voitures qui conversent ….. Leos Carax a pris mon temps une fois mais jamais il ne récidivera.
Un film où on se dit qu'après avoir vu les "rendez vous" du héros qui s'enchainent les uns après les autres sans aucun lien entre eux il va y avoir un "comment du pourquoi du parce que" à la fin... Une fin qui se résume à un homme rentrant chez lui pour vivre avec des singes et des limousines qui parlent entre elles... En clair, pas d'histoire avec un héros mort qui ressuscite deux fois; des scènes presque toujours incompréhensibles (ah le combat de ninjas avec un coït virtuel dans des costumes rappelant Jacques Villeret dans ce qui pourrait être qualifié de film d'auteur par rapport à "Holy motors", vous aurez reconnu "La soupe aux choux"); le type égorgé qui repart en pleine forme pour aller se faire cribler de balles devant le "Fouquet's" et repartir comme si de rien n'était font que ce film restera la pire daube que j'ai eu le déplaisir de voir depuis "le grand appartement" (pour lequel j'étais parti avant la fin, ayant compris qu'il n'y aurait de toute façon pas de fin). Bref, je boycottais systématiquement les films encensés par les critiques de Libé, du Monde, des Inrocks et de Télérama, ce que je n'ai pas fait cette fois ci...ca m'apprendra!
Je n'ai pas pu rester jusqu'à la fin tellement ce film est une honte pour le cinéma... Comment peut-on attribuer des budgets à des navets pareils ?! C'est complètement aberrant ! ça n'a ni queue ni tête, ni goût ni sentiment, c'est vide... Il n'y a rien à retirer de ce "film" A FUIR, si aucun film ne vous intéresse, attendez les sorties du mercredi plutôt que de gâcher votre temps pour Holy motors...
Je ne m'ennuie pas. Le film est plein de clin d'oeil à l'histoire du cinéma. À commencer par le choix d'Edith Scob, qui nous remet sur la piste de G.Franju. Et Monsieur Merde qui reste mon portrait d'artiste préféré. Quelle aisance ! Kylie Minogue chantant sur la terrasse de feue la Samaritaine ... La plus belle vue de Paris depuis les "amants du pont neuf" j'ai beaucoup aimé!
C'est rare de voir des films aussi audacieux, libres et divertissants (si si on rigole beaucoup). Et Léa Seydoux en combinaison latex ? Plus de blabla sur http://idiotheque.over-blog.net/article-holy-motors-pour-la-beaute-du-geste-108011570.html