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    Holy Motors
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    3,0
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    601 critiques spectateurs

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    Audrey L
    Audrey L

    632 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 février 2022
    De notre humble avis, Holy Motors est une métaphore de son propre sujet (l'homme mal déguisé aux milles vies) : un navet déguisé en chef-d’œuvre avec toutes les prothèses grossières et caricaturales imaginables. Voyez ce goût ("particulier") pour le sexe sale (et totalement gratuit), pour les animations absolument ignobles à regarder (en plus de l'ouverture sur du mauvais Solidworks, on remet le couvert avec l'animation de l'incube avec un entrejambe long d'un mètre qui dépasse lors de l'accouplement avec une démone au popotin gonflé comme une baudruche... Aussi incompréhensible - au mieux, sinon on repartirai dans notre théorie, subjective, pour l'obsession sexuelle dérangée du ciboulot de Carax - que corrosive pour les rétines), pour les plans où l'on se demande encore ce que l'on fait à regarder pareil spectacle (la messe de voitures qui parlent... "C'est fini ? Hallelujah !"). Ceci avec un bon lot de scènes où l'on est à deux doigts d'appeler les services psy : regarder une homme qui court sur un tapis roulant pendant de longues minutes avec des formes Solidworks écœurantes qui déboulent, qui mange des fleurs en hurlant puis shoote dans la canne d'un aveugle qui se ramasse (oh que c'est drôle...Non.), qui est en concubinage avec une guenon, qui couche avec une femme dans un souterrain (en n'oubliant pas les lumières qui mettent en valeur le sexe en érection), les voitures qui parlent... On en passe, car on a l'impression d'être devant le Parangon du film d'auteur prétentieux et volontairement bordélique (juste pour faire parler), que tous les étudiants de recherche en cinéma redoutent... On ne rit pas, on ne se désole pas, on ne se choque pas (malgré l'appétance du réalisateur pour les parties de fesses), on ne s'intéresse pas (comme on a l'impression d'être pris de très - très très - haut...), on attend juste que le "holy" générique de fin se pointe.
    Alex Delarge
    Alex Delarge

    10 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 janvier 2022
    Il extrêmement difficile de parler de ce Holy Motors, car il va être considéré par certains comme étant nul, vide, sans intérêt, et il y en a d'autres qui ont complètement immergé dans cet univers instaurer par le réalisateur. Évidemment, je fais partie de la deuxième catégorie. C'est, avec Annette, le seul film du réalisateur que j'ai vu, et il est clair que Leos Carax est vraiment un réalisateur a part, il fait des films qui pousse a la réflexion, et dans ce dernier, c'est surtout le métier d'acteur qui remit en question, le fait de jouer plusieurs rôles...
    Je n'ai pas envie de faire une trop longue critique, donc, pour conclure, essayez de le regarder, et si vous n'arrivez pas à la fin, ce n'est pas grave, ai moins vous aurez essayer !
    En tous cas, il va rester graver dans ma mémoire pendant longtemps !
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 093 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2021
    On suit les nombreuses prouesses de Mr Oscar qui, tel un acteur lors d'une journée de tournage, incarne différents personnages.
    Marion
    Marion

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2021
    OFNI, poétique, abstrait, il n'y a pas lieu de comprendre, simplement de contempler.
    Dans ces multiples vies, et rôles, c'est un éventail de L'humain, de l'acteur, de l'âme qui se déroule dans un univers fantastique. Incompréhensible, hors du commun, et interrogateur, ce film m'a plu pour son décalage et son originalité.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 octobre 2021
    En 2012, la presse professionnelle encense le septième long-métrage de Leos Carax, ce qui ne constitue pas forcément un gage de qualité. Cette œuvre abstraite propose une réflexion sur le métier d’acteur avec un enchainement de saynètes décousues. A ce titre, Denis Lavant qui interprète une multitude de personnages constitue la seule bonne surprise de ce film. En effet, l’absence de véritable scénario finit par être un obstacle à la compréhension du message envoyé par le réalisateur. Bref, un cinéma profondément hermétique qui devient terriblement ennuyeux.
    Alain D.
    Alain D.

    583 abonnés 3 279 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2021
    Ce Drame, écrit et mis en scène par Leos Carax, nous délivre de superbes scènes Fantastiques. Si certaines sont hard, d'autres gores, toutes sont fascinantes. Conforme à son univers très singulier, le réalisateur Français nous montre de superbes décors de Paris la nuit, et des espaces insolites comme celui de La Samaritaine.
    Outre la présence de Michel Piccoli, la distribution nous offre un superbe casting pour incarner les séquences surréalistes de ce film : Eva Mendes, Edith Scob en chauffeur de limousine de la Holy Motors, et un Denis Lavant qui porte le film avec un charisme et des transformations hallucinantes.
    Tout ceci était pour la forme. Pour ce qui concerne le fond, Leos Carax nous propose un film d'atmosphère tragique avec très peu de dialogues ; un scénario, a priori énigmatique, mais aussi totalement hermétique et même parfois totalement incohérent.
    Vinz1
    Vinz1

    175 abonnés 2 425 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2021
    Sorte de métaphore sur les acteurs qui interprètent toutes sortes de personnages sans état d’âme à la merci d’un réalisateur agissant en coulisses tel un démiurge perfide à moins que ce ne soit une analogie sur nous, individus jouant tous un rôle dans la vie, ce film singulier de Carax interroge, c’est sûr. Toutefois, on ne pourra que louer la qualité visuelle de quelques scènes, voire de certains plans aussi beaux que des tableaux de maîtres (cf. celle dans les égouts entre M. Merde et le mannequin) alors que d’autres sont juste prenantes (comme la séquence dans l’église avec les accordéonistes) ! Quant aux acteurs, on n’en retiendra qu’un forcément car il (l’extraordinaire Denis Lavant !) n’endossera pas moins de onze personnalités différentes, un tour de force aussi incroyable que celui d'Alec Guinness naguère ! Seul bémol de ce métrage onirique : la fin dans le garage avec les voitures, semblant peu à propos et trop décalée…
    Apleupleu
    Apleupleu

    6 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juillet 2021
    sure il a son univers, sure la mise en scene est originale, sure l'image est superbe. Sure le film
    interroge ,mais on ne comprends pas sur quoi ,ce qui fait que de reponses ,il n'y en a pas.
    donc au final de la bouillie pour intellectuels pour briller dans les diners.
    Rémi P.
    Rémi P.

    27 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juillet 2021
    "Holy Motors" raconte la journée de Monsieur Oscar (Denis Lavant, excellent), un homme dont le métier est de prendre l'apparence physique de quelqu'un d'autre pendant un court laps de temps (qu'il appelle ses "rendez-vous") et d'effectuer l'activité de cette personne. Il prend par exemple la forme d'une SDF demandant la charité, celle d'un meurtrier ou encore celle d'un personnage monstrueux "Monsieur Merde", défrayant la chronique lors d'un shooting photo. Si le concept est déjà très original et intéressant en soit, on comprend vite que cette idée est une parabole du métier d'acteur au cinéma, puisque l'acteur est justement celui qui interprète un personnage, c'est un illusionniste qui arrive à nous faire croire, de par son talent, à l’authenticité du personnage qu'il joue. On comprend cette parabole tout d'abord de manière implicite, puis de manière quasi explicite dans une très belle scène du film, le dialogue entre Michel Piccoli et Denis Lavant dans la limousine : "- Pourquoi faites vous ce métier Oscar ? - Pour la beauté du geste." Le but est alors, tout comme l'acteur, artistique, il s'agit de ne faire qu'un avec son personnage et de le rendre réel aux yeux des autres. La minutie avec laquelle Oscar se maquille est un bel exemple de ce travail, qui est au fond celui d'un illusionniste, d'un magicien qui jubile de voir ses tours réussir. C'est donc une idée très belle sur le papier mais Leos Carax rencontre malheureusement de nombreux problèmes pour la mener à bien à l'écran. Le principal est que, même si l'idée est intéressante, elle prend très vite le pas sur l'histoire si bien qu'on finit par être perdu dans le scénario qui devient inutilement compliqué et tordu. Les exemple sont alors légions : spoiler: Pourquoi Oscar ne meure t'il pas quand on lui tire dessus ou quand on le poignarde ? Il est pourtant humain et l'idée qu'il soit un acteur n'a pas à intervenir de la sorte dans l'histoire, si ses personnages peuvent être immortels, ce n'est pas son cas et c'est donc une incohérence terrible que de le voir s'en sortir dans des situations où il est humainement impossible d'en réchapper. Qui sont les clients d'Oscar et quelles sont leurs motivations ? Point jamais expliqué dans le film mais qui aurait pourtant pu être très intéressant pour mieux comprendre l'histoire et donner plus de contenance aux personnages. Pourquoi Oscar tue t-il le banquier ? Pourquoi essaye t-il de maquiller le macchabée à son image ?
    Bref, mises bout à bout toutes ces incohérences et questions sans réponses viennent grandement perturber la cohésion du récit et donnent l'impression désagréable que le film de Carax repose simplement sur la parabole de l'acteur et que celui-ci a complètement délaissé la fiction, visiblement dans le seul but de donner un aspect abstrait à une histoire qui aurait pu rester plus simple. C'est là sa grande erreur car comme le disait Michael Cimino : "Il ne faut pas faire un film en partant d'une idée, mais d'une histoire, de personnages.". Dans "Holy Motors", on a l'impression que Carax énonce une idée sans soigner son exemple, ce qui donne à la fin un résultat biaisé de par la précipitation (fainéantise ?) de son auteur, désireux uniquement de montrer son idée du cinéma. C'est dommage car "Holy Motors" disposait d'une belle histoire (de nombreuses scènes sont très réussies, comme celle où Oscar joue un père de famille allant chercher sa fille à une soirée) et d'une belle interprétation, mais à trop vouloir montrer sa vision du métier d'acteur, il gâche cette histoire en la rendant inutilement compliquée et en essayant de s'en sortir par des pirouettes, dont je ne suis, pour ma part, pas dupe.
    Remi S.
    Remi S.

    19 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juin 2021
    Avant la sortie d’*Annette*, j’ai eu comme une envie soudaine d’écrire sur *Holy Motors* de Leos Carax, qui s'avère pour moi comme un des quatre films fondamentaux de la dernière décennie (avec *Twin Peaks : The Return*, *P’tit Quinquin* et *Tree of life*). C'est difficile de poser des mots sur *Holy Motors*, tant ce voyage si singulier à travers Paris cristalliserait presque en lui-même tout le cinéma. C'est d'ailleurs encore étonnent pour moi de dire ca, tant cet objet virtuose m'avait profondément déçu lors de mon tout premier visionnage il y'a 4 ans de ça, où j’étais surement encore trop jeune (dans tous les sens du termes). Mais une chose est sûr : ce saint-moteur m'obsède ! Leos Carax a su construire des images qui me hanteront surement pour toujours. Plus jamais je ne pourrai arpenter un cimetière sans avoir la crainte de croiser un Mr Merde sortir des égouts ; plus jamais je ne pourrai m'enlever l'apparition chantante de Kylie Minogue au cœur d'une Samaritaine à l'abandon ; plus jamais l'espace même d'une église me restera impénétrable, tant ces accordéonistes fous en ont scruté les quatre coins avec ferveur.

    *Holy Motors* synthétiserait peut-être aussi l'ensemble du cinéma merveilleux et unique de Leos Carax. Au-delà des nombreuses références, en passant de *Mauvais Sang* jusqu'aux *Amants du Pont-Neuf*, *Holy Motors* vient surtout célébrer une chose : l'acteur, comme moteur détraqué, fou et insaisissable ! Mais il y'a néanmoins deux moteurs fondamentaux dans le film (et dans le cinéma de Carax) : la caméra, et l'acteur. La première est souvent libre, enivrée, créatrice de révélation et de beauté. Une beauté qui vient se poser avec délicatesse et fantaisie sur les gestes gracieux et certains de l'acteur, deuxième machine ! Denis Lavant, tel un synonyme parfait, s'élance sans crainte, se rigidifie pour une vieille et pauvre femme, et se libère pour un étrange ballet numérique. Il fracasse et terrifie en père fatigué révélant une condamnation fatale à sa fille, et déambule en monstre déréglé avant de trouver l'amour divin. **La caméra saisirait l'acteur insaisissable. Celui qui vogue de vie en vie, croise et recroise d’anciennes compagnies de fortune, de vie, d’amour. Celui qui tiendrait l'inexplicable science, ou le fameux geste de cinéma ! (la « *beauté du geste* » que retorque Denis Lavant à un Michel Piccoli en force supérieure).** Mais où sont alors les caméras dans *Holy Motors* ? Celles, autrefois imposantes, puis devenues plus petites que nos têtes, avant de disparaitre complètement. Seraient-elles à l'image du public endormi en début de film ? Sans les caméras, il n'y a plus d'éveil, plus de magie. Comment rendre compte de l’exploit quand le champ des possibles se rétrécie, limitant le regard à un univers – cinéma – de la contrefaçon ?

    Mais *Holy Motors* n'est pas là pour apporter des réponses ou autre, il témoigne ! Il témoigne d'une magie peut-être perdue. D'un cinéma qui n'a pas peur de s'élancer, d'invoquer des gestes, des envies, des regards. Un cinéma qui peut autant flirter avec le grotesque qu’avec le dramatique. Ces deux « mondes », si je peux puis dire, sont liés par une chose : le courage ! **Faire un film aussi fou et aussi sincère qu’*Holy Motors*, effectivement, ca relève du courage. Faire du cinéma avec courage, ca résulte incontestablement sur de la beauté. C'est tout simple, mais lorsque Denis Valant porte avec grâce Kylie Minogue au cœur même d’une Samaritaine quasi-baroque, avant que le musical commence, il y'a tout un cinéma, toute une unique magie qui revient aux yeux : les enlacements de Juliette et Jean au fond du fleuve dans *L'Atalante*, John et Madelaine, isolés du monde, devant la baie de San Francisco dans *Vertigo*. Elle est surement là la beauté, la vraie !**
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 juin 2021
    C'est une œuvre réellement spéciale que ce Holy Motors, avec sa mise en scène classieuse et sa succession de sketchs étranges et hypnotisant. On accompagne l'excellent Denis Lavant dans une journée pleine de "rendez-vous", une allégorie permanente, la plus évidente étant celle sur la vie protéiforme d'un acteur, une éternelle renaissance. Difficile de comprendre toutes les références que Leos Carax a distillé dans son film, j'ai plusieurs fois été déstabilisé, mais nul besoin de tout saisir pour ressentir des émotions. Sans avoir adoré le voyage, je reconnais à Holy Motors cette ambition artistique débordante et sincère, une démarche qu'on ne peut que soutenir, réalisée avec un talent qu'on ne peut que saluer.
    Teddy F.
    Teddy F.

    18 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2020
    Une œuvre d'auteur qui paraît impossible à boire. Et pourtant. Holy Motors nous attire sans forcément notre consentement.
    Il nous pose des questions et nous en fait se poser sans toujours y répondre. Mais crie des vérités. En nombre.
    Certaines scènes sont profondément dérangeantes, d'autres nous rassurent, et on est coincés dans cet escalier infini ou un étage nous rapproche de la normalité du cinéma tandis que dans le prochain le dégout nous rattrape.
    Très spécial, je ne suis pas tant adepte du cinéma de genre aussi prononcé, mais Holy Motors a un quelque chose.
    Tout de même j'ai passé un moment enrichissant, mais le film divise à raison.
    Florent A
    Florent A

    3 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 novembre 2020
    Film de Leos Carax que j etais curieux de découvrir pour son originalité et le réalisateur que je ne connaissais pas encore.
    Assez rapidement on se rend compte que c'est un OVNI, très étrange avec toutefois une trame principale avec un acteur qui change de costume pour interpréter tous les jours un certains nombres de rôles tous différents les uns des autres.
    L'acteur principal est assez incroyable c'est sur, il y a une belle façon de filmer les femmes et assez évidemment un bel hommage au cinéma. J'ai aussi bien-aimé certaines scènes symboliques comme le retour à la maison avec les singes, les chiens dans le cinéma, les différentes ambiances de chaque scène qui sont un genre à part entière.. le film regorge de symboles mais il est dur de les interpréter. Pour moi j'y ai vu une métaphore de la vie où l'on enfile une succession de masques parfois avec joie, lassitude...
    Difficile à noter, je trouve ça dans tous les cas intéressant d'essayer de créer mais je n'ai pas aimé le côté un peu trop intellectuel, prétentieux peut-être du film, pourquoi chercher forcément à faire des choses inaccessibles pour que les spectateurs se disent: "ah tout est dans la symbolique, le ressenti, vous pouvez pas comprendre"! Pourtant parfois on n'est pas loin d'avoir quelque chose sur lequel se raccrocher pour être perdu rapidement après.
    mx13
    mx13

    241 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juin 2020
    C est un personnage blanc et chauve qui traverse les époques, les personnalités, les identités et les âges. En regardant Holy Motors, l on croirait pendant plus de la moitié du film, assister à une séance d ASMR, c est le calme, les images psychédéliques et douces qui règnent. Plus d une heure cinquante cinq de séquences qui s entrelacent sans être pourtant reliés, même si en tant que simple spectateur on a sûrement dû rater certaines nuances. Leos Carax a offert à Cannes 2012 une belle expérience cinématographique. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 521 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juin 2020
    Les choses à rechercher dans n'importe quel bon film sont une intrigue engageante, des dialogues étincelants, une connexion émotionnelle avec l'intrigue et les personnages, une direction étonnante et surtout un grand divertissement. Ce film si vous pouvez l'appeler ainsi ne parvient à livrer aucun des éléments ci-dessus. Il n'a aucun complot et le jeu des acteurs est aux mieux moyen. Les dialogues sont maladroit comme la boîte de vitesses Fiat Panda des années 1990. La réalisation ressemble aux meilleurs efforts d'un étudiant en cinéma fraîchement sorti de l'université. C'est le type de film pseudo-intellectuels qui affirment également que quelqu'un donnant un coup de pied dans une boîte à emporter vide dans la rue est un art. Ce n'est pas un film c'est une perte de temps...
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