Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Peu de cinéastes ont le courage de questionner ainsi leurs spectateurs, à part Godard évidemment, sans s'ériger en petit juge comme le fait Haneke, mais avec l'angoisse profonde de l'artiste qui se demande s'il reste des spectateurs pour voir la beauté dans le monde.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
C'est par l'immense petite porte du cinéma de genre et des folles libertés qu'il permet, que [Carax] atteint ici le sommet. (...) Formellement prodigieux, "Holy Motors" navigue sur cette crête étroite qui sépare le kitsch de l'éblouissement et évite presque tous les écueils de sa structure éclatée.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Critikat.com
par Arnaud Hée
Comme quelques films qui déboulent de temps à autre, "Holy Motors" nous rappelle qu'il n'y a pas lieu de transiger, que l'on est toujours en droit d'attendre beaucoup du cinéma. On n'a pas fini de faire et refaire le tour de la prodigieuse dernière oeuvre de Leos Carax.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Borges, Dalì et Ionesco ont eu un fils, il s'appelle Leos Carax.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Anne Diatkine
["Holy Motors"] autorise le spectateur à entrer dans son univers, au lieu de rester à la porte de la perfection. (...) Au côté de Lavant, Edith Scob, vieille dame inquiétante, conduit la luxueuse roulotte. Deux merveilles. Plus l'image de Caroline Champetier, cela fait trois.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
Un film d'une liberté suprême.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Holy Motors" est un film de fulgurances, où rien n'est donné, où tout est offert, ses beautés multiples sont convulsives, de celles qu'André Breton célébrait et appelait de ses voeux, avant tout elles sont de cinéma (...) c'est ce qui éblouit aussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
La beauté et l'étrangeté s'imposent, irréfutables. Ces sentiments contradictoires qu'évoque le même film donnent une idée de son ampleur. (...) Ce qu'accomplit Denis Lavant dans "Holy Motors" tient du prodige.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Arrimé à un véhicule poétique surpuissant, Carax se laisse glisser et soulève de lumineuses gerbes de créativité, de fantaisie et de beauté.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Conquérant souverain, faussement mélancolique, incroyablement ludique, sidérant d'originalité et d'invention : Carax décoche un film génial.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Chacune des exténuantes incarnations [de Monsieur Oscar] transfigure le film lui-même, dans la clarté éblouissante de ses effets comme l'intensité mate de son mystère, en un jeu de dupes et de doubles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Carax, pactisant avec l'ennemi - le numérique -, réussit à nous entraîner dans un carrousel d'images aussi étrangement émouvantes que celles du cinéma des premiers âges, et, multipliant les réminiscences, les rémanences (...) nous fait monter sur son vertigineux manège des métamorphoses.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Alain Spira
Avec "Holy Motors", [Leos Carax] (...) a jeté au coeur du Festival de Cannes une grenade à fragmentation qui n'a malheureusement pas atteint le jury. Dommage, le film aurait mérité (de loin) la Palme d'or.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Dérive poétique, délire narcissique prophétisant la mort du cinéma, éructant (avec humour) le pourrissement du monde occidental, "Holy Motors" est forcément plus que cela, oeuvre buissonnière débordant sans cesse de son programme (...), Carax investissant chaque interstice pour y déployer une idée de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Carax revisite l'histoire du cinéma et jongle avec les correspondances. (...) [Le film], fort heureusement, n'est pas qu'un hommage au septième art. Il célèbre, aussi, la vie et ses illusions, la vie comme une succession vertigineuse de rôles, un tourbillon plus ou moins absurde de personnages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Sacré Léos Carax, qui déclare une nouvelle nouvelle fois sa flamme au septième art. "Holy Motors" est un film ultra-référencé, (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
La damnation, ici, n'est pas seulement celle d'un artiste qui a vu son oeuvre entravée. C'est celle d'un homme à qui, frêle fantôme, ces entraves furent d'autant plus douloureuses qu'il avait choisi de se condamner au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Excessif
par Romain Le Vern
Ce conte enchanteur passe par tous les états du cinéma, toutes époques confondues. Denis Lavant, lui, est capable de provoquer toutes les émotions (...). Carax a construit ce dédale méandreux en considérant le cinéma comme une forme artistique libre.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Eric Libiot
"Holy Motors" a plein de qualités. C'est un film original, singulier, souvent inspiré et qui n'appartient qu'à son auteur (...). [Mais] "Holy Motors" n'est pas exempt d'échappées pas forcément belles et d'écarts de conduite.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le périple semble parfois long, mais le sentiment de vacuité et l'ennui laissent parfois place à la magie pure. Un film déconcertant, à la puissance intermittente.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
La mise en scène brillante nous plonge dans les coulisses du septième art, cette folle "machine" à fabriquer des illusions. Ainsi va "Holy Motors", inventif, insolite, surprenant, fantasque...
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Mad Movies
par Gilles Esposito
(...) Un authentique "film fou" dont la progression donne l'idée d'un monde où la disparition de toute fiction pousserait les gens à jouer sans cesse leur(s) vie(s).
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Positif
par Elise Domenach
La mise en abyme se renverse en allégorie de la recréation de l'humain à l'écran. La grandiloquence a gagné. Avec elle, un sens du spectacle cinématographique dans sa concrétude qui se repaît de la splendeur des corps, des voix des décors...
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Thomas Agnelli
Le nouveau long-métrage [de Leos Carax] est magique, accessible et d'une prodigieuse légèreté. (...) "Holy Motors" ressemble à un miracle permanent, suscitant chez le spectateur toutes sortes d'émotions. (...) Carax s'autorise tous les décochages, tous les dérapages, toutes les rencontres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Il est définitivement certain que Leos Carax, estampillé "maudit", est le plus poète de nos cinéastes. C'est aussi un vrai metteur en scène, un fabricant d'images, de lumières, de situations. (...) Ne serait-ce que par la capacité de ce film à faire rêver, il serait dommage de le louper.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Théorique, autocentré et hermétique. Seuls points forts : Denis Lavant, Kylie Minogue et le morceau final de Gérard Manset.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Hélas, cette suite de sketches visant à désorienter ne provoque qu'une certaine perplexité que guette l'ennui. On se rattrapera avec quelques beaux plans (...). Mais pour ce qui aurait pu être un brûlot allumé par le génie du siècle, on repassera.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Metro
par Rania Hoballah
Malgré quelques scènes visuellement sublimes, et une sacrée dose d'humour, le film de Leos Carax reste un ovni cinématographique qui frôle le ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Cahiers du Cinéma
Peu de cinéastes ont le courage de questionner ainsi leurs spectateurs, à part Godard évidemment, sans s'ériger en petit juge comme le fait Haneke, mais avec l'angoisse profonde de l'artiste qui se demande s'il reste des spectateurs pour voir la beauté dans le monde.
Charlie Hebdo
C'est par l'immense petite porte du cinéma de genre et des folles libertés qu'il permet, que [Carax] atteint ici le sommet. (...) Formellement prodigieux, "Holy Motors" navigue sur cette crête étroite qui sépare le kitsch de l'éblouissement et évite presque tous les écueils de sa structure éclatée.
Critikat.com
Comme quelques films qui déboulent de temps à autre, "Holy Motors" nous rappelle qu'il n'y a pas lieu de transiger, que l'on est toujours en droit d'attendre beaucoup du cinéma. On n'a pas fini de faire et refaire le tour de la prodigieuse dernière oeuvre de Leos Carax.
Ecran Large
Borges, Dalì et Ionesco ont eu un fils, il s'appelle Leos Carax.
Elle
["Holy Motors"] autorise le spectateur à entrer dans son univers, au lieu de rester à la porte de la perfection. (...) Au côté de Lavant, Edith Scob, vieille dame inquiétante, conduit la luxueuse roulotte. Deux merveilles. Plus l'image de Caroline Champetier, cela fait trois.
L'Humanité
Un film d'une liberté suprême.
L'Obs
"Holy Motors" est un film de fulgurances, où rien n'est donné, où tout est offert, ses beautés multiples sont convulsives, de celles qu'André Breton célébrait et appelait de ses voeux, avant tout elles sont de cinéma (...) c'est ce qui éblouit aussi.
Le Monde
La beauté et l'étrangeté s'imposent, irréfutables. Ces sentiments contradictoires qu'évoque le même film donnent une idée de son ampleur. (...) Ce qu'accomplit Denis Lavant dans "Holy Motors" tient du prodige.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Arrimé à un véhicule poétique surpuissant, Carax se laisse glisser et soulève de lumineuses gerbes de créativité, de fantaisie et de beauté.
Les Inrockuptibles
Conquérant souverain, faussement mélancolique, incroyablement ludique, sidérant d'originalité et d'invention : Carax décoche un film génial.
Libération
Chacune des exténuantes incarnations [de Monsieur Oscar] transfigure le film lui-même, dans la clarté éblouissante de ses effets comme l'intensité mate de son mystère, en un jeu de dupes et de doubles.
Marianne
Carax, pactisant avec l'ennemi - le numérique -, réussit à nous entraîner dans un carrousel d'images aussi étrangement émouvantes que celles du cinéma des premiers âges, et, multipliant les réminiscences, les rémanences (...) nous fait monter sur son vertigineux manège des métamorphoses.
Paris Match
Avec "Holy Motors", [Leos Carax] (...) a jeté au coeur du Festival de Cannes une grenade à fragmentation qui n'a malheureusement pas atteint le jury. Dommage, le film aurait mérité (de loin) la Palme d'or.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Dérive poétique, délire narcissique prophétisant la mort du cinéma, éructant (avec humour) le pourrissement du monde occidental, "Holy Motors" est forcément plus que cela, oeuvre buissonnière débordant sans cesse de son programme (...), Carax investissant chaque interstice pour y déployer une idée de cinéma.
Télérama
Carax revisite l'histoire du cinéma et jongle avec les correspondances. (...) [Le film], fort heureusement, n'est pas qu'un hommage au septième art. Il célèbre, aussi, la vie et ses illusions, la vie comme une succession vertigineuse de rôles, un tourbillon plus ou moins absurde de personnages.
20 Minutes
Sacré Léos Carax, qui déclare une nouvelle nouvelle fois sa flamme au septième art. "Holy Motors" est un film ultra-référencé, (...).
Chronic'art.com
La damnation, ici, n'est pas seulement celle d'un artiste qui a vu son oeuvre entravée. C'est celle d'un homme à qui, frêle fantôme, ces entraves furent d'autant plus douloureuses qu'il avait choisi de se condamner au cinéma.
Excessif
Ce conte enchanteur passe par tous les états du cinéma, toutes époques confondues. Denis Lavant, lui, est capable de provoquer toutes les émotions (...). Carax a construit ce dédale méandreux en considérant le cinéma comme une forme artistique libre.
L'Express
"Holy Motors" a plein de qualités. C'est un film original, singulier, souvent inspiré et qui n'appartient qu'à son auteur (...). [Mais] "Holy Motors" n'est pas exempt d'échappées pas forcément belles et d'écarts de conduite.
La Croix
Le périple semble parfois long, mais le sentiment de vacuité et l'ennui laissent parfois place à la magie pure. Un film déconcertant, à la puissance intermittente.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène brillante nous plonge dans les coulisses du septième art, cette folle "machine" à fabriquer des illusions. Ainsi va "Holy Motors", inventif, insolite, surprenant, fantasque...
Mad Movies
(...) Un authentique "film fou" dont la progression donne l'idée d'un monde où la disparition de toute fiction pousserait les gens à jouer sans cesse leur(s) vie(s).
Positif
La mise en abyme se renverse en allégorie de la recréation de l'humain à l'écran. La grandiloquence a gagné. Avec elle, un sens du spectacle cinématographique dans sa concrétude qui se repaît de la splendeur des corps, des voix des décors...
Première
Le nouveau long-métrage [de Leos Carax] est magique, accessible et d'une prodigieuse légèreté. (...) "Holy Motors" ressemble à un miracle permanent, suscitant chez le spectateur toutes sortes d'émotions. (...) Carax s'autorise tous les décochages, tous les dérapages, toutes les rencontres.
Le Parisien
Il est définitivement certain que Leos Carax, estampillé "maudit", est le plus poète de nos cinéastes. C'est aussi un vrai metteur en scène, un fabricant d'images, de lumières, de situations. (...) Ne serait-ce que par la capacité de ce film à faire rêver, il serait dommage de le louper.
CinemaTeaser
Théorique, autocentré et hermétique. Seuls points forts : Denis Lavant, Kylie Minogue et le morceau final de Gérard Manset.
L'Ecran Fantastique
Hélas, cette suite de sketches visant à désorienter ne provoque qu'une certaine perplexité que guette l'ennui. On se rattrapera avec quelques beaux plans (...). Mais pour ce qui aurait pu être un brûlot allumé par le génie du siècle, on repassera.
Metro
Malgré quelques scènes visuellement sublimes, et une sacrée dose d'humour, le film de Leos Carax reste un ovni cinématographique qui frôle le ridicule.